Non, affirme Michael P. Lynch, philosophe et essayiste américain. Préoccupé par la «pollution informationnelle» croissante qui mine le débat public et conduit au relativisme, l’auteur professe toujours sa foi en la raison, envisagée non plus comme unique source de vérité, mais comme champ commun, démarche collective pour établir des consensus entre opinions et savoirs.