L’information “différente” dans le domaine de la santé est considérée par les autorités comme « contraire à l’ordre public ». Elle ne mérite donc pas l’aide à la presse que reçoivent les journaux. Une forme de soft censure (soft parce qu’indirecte) pratiquée en France au détriment du pluralisme démocratique. Le numéro qui a provoqué le retrait de …