Présentant les médecines douces comme des « portes d’entrée » pour les « mouvements à caractère sectaire », la Miviludes et les parlementaires préparent une série de mesures pour les encadrer ou interdire certaines d’entre elles.
Une commission d’enquête sur l’influence des mouvements à caractère sectaire dans le domaine de la santé s’est constituée à cet effet le 10 octobre 2012.
Revue des propositions présentées lors de la première audition.