Les politiques commencent à saisir leurs responsabilités face aux nouveaux outils de manipulation du cerveau. Placer des implants embarqués dans la boîte crânienne, généraliser les traitements de l’humeur, utiliser l’expertise des neurobiologistes pour dépister les « troubles de conduite » ou pour optimiser les campagnes publicitaires… Ces perspectives sont incontestablement des choix de société qu’il …