Philippe Ogouz, comédien et président de l’Adami (voir encadré), est en colère. Il ne supporte plus de voir de grands comédiens, comme Jean-Pierre Léaud, par exemple, ou de bons musiciens, survivre à peine avec un salaire inférieur au smic ou une retraite de misère. La société doit se ressaisir et reconnaître aux artistes-interprètes le simple …