La 2e Journée du Guérisseur aura lieu le dimanche 24 février 2019, de 9 h à 18h, toujours au Forum 104, salle Glycines, 104 rue de Vaugirard à Paris 6e, métro St-Placide ou Montparnasse. Trois intervenantes sont programmées : Geneviève Bérigaud, Martine Gardénal et Paule Ryckembeusch.
A côté de la médecine conventionnelle, de multiples approches thérapeutiques complémentaires sont proposées aux personnes qui souffrent.
Certaines d’entre elles s’inscrivent directement dans le paradigme de l’Esprit. Les Journées du Guérisseur réunissent des praticiens et praticiennes qui s’inscrivent dans cette perspective et s’efforcent d’en faire bénéficier le public.
Avec un souci central : inviter chacune et chacun à prendre sa santé et sa vie en mains, en conscience, le mieux et le plus complètement possible.
Les trois intervenantes
Geneviève Bérigaud
Naturopathe (diplômée d’État du Québec), enseignante en relaxation, sophrologie et Qi Gong et hygiène de vie naturelle. Le pouvoir de la pensée, de la parole, du Verbe et de l’imagination dans la guérison.
Martine Gardénal
Médecin homéopathe, médecin du sport, formatrice et auteure. La confiance dans le processus de guérison.
Paule Ryckembeusch
Heilpraktiker (homéopathie, phytothérapie, réflexologie…), chercheure indépendante en mémoire cellulaire énergétique et auteure. La santé physique, psychique et émotionnelle.
Le matin (9h30-12h30)
– Présentation de la journée, par Jean-Luc Martin-Lagardette, journaliste, essayiste.
– Présentation des démarches des intervenantes. Échanges avec le public.
L’après-midi (14h-17h30)
– Les praticiennes présentent leur démarche individuellement ou par ateliers.
– En fin de journée, partage permettant l’expression de critiques, d’avis et de suggestions.
✴
> Prix de la journée : 50 € (une personne) ou 80 € (deux personnes).
- S’inscrire en ligne.
- Réservation par chèque à :
Grilles de lecture (GDL), 13 rue des Millepertuis, 71710 Marmagne.
GDL est une association loi 1901. Le prix de la journée est destiné à couvrir les frais d’organisation (location de la salle, etc.). Les intervenantes sont bénévoles.
Journée organisée par J-L M-L (Débredinoire.fr) et parrainée par Ouvertures.net.
> Renseignements : 06 76 54 01 57.
(Photo de Une : Martine Gardénal)
Je reprends la phrase de l’avocat de Mességué (à l’un des procès de Mességué, citée dans le Bulletin de l’Ordre départemental de Cote d’Or : « “On reproche aux guérisseurs de ne pas être médecins, moi je reproche aux médecins de ne pas être guérisseurs ! “. C’est une réflexion que nous devons méditer ».
Effectivement, trop (pour ne pas dire l’énorme majorité) de médecins n’ont plus le charisme, l’attitude juste guidée par une authentique relation d’aide qui prend en compte notamment ce que croit le patient et ne le brusque en rien. De plus, ils ne passent plus le temps nécessaire pour que cette relation puisse être bénéfique et pire, de telles conditions déshumanisées provoquent alors des manquements au fameux principe d’Hippocrate avec des conséquences souvent mortifères : « d’abord ne pas nuire » (formulation bien plus exacte suivant la traduction littérale d’Émile Littré « je m’abstiendrai de tout mal et de toute injustice »).
Je la mets en lien avec la réflexion de ce célèbre microbiologiste le Pr René Dubos (inventeur du premier antibiotique – extrait de son livre ‘’Mirage de la santé’’, Éd. Denoël, Paris, 1961, p. 118) : « Grâce à leurs connaissances de la nature humaine, les médecins d’autrefois pratiquaient une forme de psychothérapie et aidaient certainement les forces naturelles à réagir contre la maladie en inspirant confiance à leurs patients »
J’ajouterais toutefois que je n’aime pas le terme de « guérisseur », car en fait, on SE guérit soi-même ! UN médecin ou un guérisseur devrait avoir l’attitude du Maïeute socratique : l’Art de faire accoucher l’autre à lui-même, à sa propre vérité, sachant que c’est le patient qui devrait/fait le travail en fait !
A cet égard, je pense que l’attitude que préconisait le célèbre Dr Albert Schweitzer est la plus appropriée « Le vrai médecin est le médecin intérieur. La plupart des médecins [et thérapeutes] ignorent cette science qui, pourtant, fonctionne si bien », car si l’ignorance est le fait des médecins, les patients ont leur part de responsabilité dans le pouvoir qu’ils continuent à donner à la gent médicale, dans l’attitude du « docteur, guérissez-moi ».
« Le plus navrant, c’est que le public est persuadé que la science a réponse à tout… » (John ECCLES, Prix Nobel de Médecine pour la découverte des processus chimiques responsables de la propagation de l’influx nerveux, 1963 – source revue Psychologies n° 100, juillet-août 1992, pp. 55-56).
Remarquez que le mot “guérisseur” est écrit avec une majuscule : c’est l’énergie de l’Esprit, ou de la Vie, qui guérit. Le praticien n’est que l’intermédiaire, le facilitateur. Les intervenant.e.s le savent et l’assument pleinement.
Certes, mais utiliser le mot guérisseur induit en erreur : le mot maïeute, certes moins médiatique, serait préférable !
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