«L´aluminium vaccinal met en danger le cerveau des enfants», affirment deux chercheurs canadiens

L´association belge Initiative Citoyenne soutient une marche pour la liberté vaccinale, ce vendredi 20 janvier 2012 à Bruxelles. Elle pourra s´appuyer sur  une nouvelle alerte de la part de chercheurs en neurosciences canadiens concernant les dangers de l´aluminium. Cet adjuvant peut porter atteinte au développement du cerveau des enfants et endommager le système immunitaire, affirment les scientifiques de la University of British Columbia dans un article paru dans Lupus.


Le chercheur canadien Christopher
A. Shaw, professeur à la l´université
de British Columbia
.

Nul doute que cette nouvelle prise de position sur les dangers de l´aluminium vaccinal aura ses détracteurs. Cet adjuvant est en effet considéré comme sûr par les autorités sanitaires et l´establishment médical[1], même si un grand nombre de médecins généralistes se posent des questions sur la sécurité des vaccins[2]. En plein scandale du Médiator et face à la polémique croissante sur les conflits d´intérêts qui minent les recommandations des institutions de santé publique, il y a tout lieu de considérer avec intérêt cette récente publication, synthèse de nombreuses études sur le sujet[3].

Christopher A. Shaw et sa collègue de l´université de British Columbia, Lucija Tomljenovic, tirent ainsi la sonnette d´alarme dans un article paru début janvier dans la revue Lupus, « Mechanisms of aluminum adjuvant toxicity and autoimmunity in pediatric populations » (mécanismes toxicologiques de l´aluminium comme adjuvant et problème d´autoimmunité en pédiatrie).

On peut lire, dans une traduction partielle effectuée par l´association belge Initiative Citoyenne : « L’aluminium (Al) est hautement toxique. Il a été démontré qu’il pouvait perturber le développement du cerveau en phases prénatales et postnatales tant chez l’homme que chez l’animal.

Des altérations permanentes du cerveau comme des fonctions immunitaires

« Au cours du développement du cerveau, il existe des périodes critiques au cours desquelles de subtils défis immunitaires (y compris ceux qui sont induits par les vaccinations) peuvent conduire à des altérations préjudiciables et permanentes du cerveau comme des fonctions immunitaires. En effet, un simple vaccin anti-hépatite B adjuvanté à l’aluminium et administré à de jeunes primates dans les 24 heures après leur naissance, s’avère suffisant pour provoquer des retards neuro-développementaux dans l’acquisition de réflexes essentiels à la survie.

« Au cours du développement prénatal et postnatal le développement du cerveau est extrêmement vulnérable aux agressions neurotoxiques. (…) La barrière hémato-encéphalique n’est pas complètement formée et est donc davantage perméable aux substances toxiques. A cela s’ajoute l’immaturité du système rénal des nouveaux-nés qui compromet de manière significative leur capacité d’éliminer les toxiques environnementaux. C’est pour toutes ces raisons, qu’avec les adjuvants aluminiques, les enfants courent de plus grands risques que les adultes.

Les vaccinations de routine des enfants associées à toute une série de problèmes autoimmuns

« Les vaccinations multiples peuvent précipiter une régression du développement, pour le moins chez les sujets sensibles. Finalement les vaccinations de routine des enfants ont été associées à toute une série de problèmes autoimmuns, comprenant la myélite transverse, le diabète insulino-dépendant (IDDM), la sclérose en plaques (MS) et l’encéphalite NMDA ».

Les chercheurs apportent une précision confondante : « Une formule de vaccin type contient tous les ingrédients nécessaires pour induire une maladie auto-immune ».

On n´a jamais comparé la santé des enfants vaccinés et celles des enfants non vaccinés

Les auteurs déplorent que les études cliniques susceptibles de démontrer sans ambiguïté la sécurité des vaccins ne soient toujours pas réalisées. On n´a jamais, par exemple, comparé la santé des enfants vaccinés et celles des enfants non vaccinés. « Le fait que ces études contrôlées n’aient pas été réalisées peut s’expliquer, par le fait que, historiquement, les vaccins n’ont jamais été considérés comme intrinsèquement toxiques par les Agences sanitaires.

A  voir

France 5 diffusera un documentaire de cinquante minutes le 22 janvier 2012, à 20h40 : « Aluminium, notre poison quotidien », réalisé par Valérie Rouvière, qui s´intéresse à l´aluminium en tant qu´additif multi-usages : cosmétique, alimentaire et vaccinal.

A noter que France 3 a déjà consacré un dossier sur ce sujet au cours du journal télévisé du 6 décembre 2010.

« En dépit d’un consensus largement répandu selon lequel les vaccins sont en grande partie sans danger et leurs effets secondaires extrêmement rares, il convient de se rendre à l’évidence qu’un examen plus approfondi de la littérature scientifique ne confirme nullement ces vues ».

Un très grand nombre d’essais cliniques utilisent  comme « contrôles » des placebos contenant de l’aluminium

Autre information lourde sur l´aluminium, il entrerait aussi dans la composition des vaccins témoins : « Le fait qu’un très grand nombre d’essais cliniques utilisent comme « contrôles » des placebo contenant de l’aluminium ou même un autre vaccin contenant de l’aluminium, empêche une évaluation correcte des complications liées aux vaccins. (…) ». Dès lors, le protocole de ces essais ne permet pas de détermier la toxicité éventuelle de l´aluminium.

Les auteurs concluent que « historiquement les essais cliniques des vaccins ont de manière routinière exclu les individus vulnérables présentant toute une série de problèmes de santé pré-existants (prématurés, histoire personnelle ou familiale de retards de développement, troubles neurologiques comprenant des convulsions de quelque origine que ce soit, l’hypersensibilité aux constituants des vaccins, y compris l’aluminium, etc.). Du fait de ces différents biais de sélection, la survenance d’effets secondaires graves résultant des vaccinations peut être considérablement sous estimée. (…) Pour toutes ces raisons, les véritables risques des vaccinations restent inconnus ».

Selon le programme vaccinal américain, les enfants de 6 ans ont déjà reçu pas moins de 126 stimulations antigéniques d´origine vaccinale. La France est au-dessous de ces chiffres, mais les jeunes enfants « bénéficient » tout de même d´un très grand nombre de vaccins. Si les parents suivent à la lettre le calendrier vaccinal, il y a déjà vingt stimulations antigéniques à l´âge de quatre mois, sachant que le système immunitaire n´est correctement formé qu´à six mois.

Le listing de l’Afssaps est incomplet

« L’Afssaps n’exerce aucune veille bibliographique sur le sujet de la toxicité de l’aluminium vaccinal, contrairement à ce qu’elle veut faire croire. Le listing de l’Afssaps est incomplet. Des publications essentielles portant sur la toxicité de l’adjuvant aluminique sont absentes », déplore l´association Entraide aux malades de Myofasciite à Macrophages, pathologie imputable à la présence d´aluminium vaccinal dans les muscles. « Le prétendu consensus sur l’innocuité de l’adjuvant aluminique n’existe plus. La majorité des publications remet en cause cet adjuvant », explique l´association dans un document de synthèse consacré aux études scientifiques sur l´aluminium.

Pour sa part,  l´Afssaps répond au micro d´Europe 1, le 13 octobre 2010, quant à la dangerosité de l’aluminium dans les vaccins : « aujourd’hui, nous n’avons pas de preuve et d’argument solide ». Néanmoins : « on a mis en évidence un certain nombre de risques suite à une forte exposition et répétée ». Pas de quoi, toutefois, actionner le principe de précaution : « on a besoin de vaccins et on risque de déstabiliser l’efficacité de l’injection en retirant trop vite un adjuvant ».

> Pourquoi M. Sirjacobs a voulu la marche citoyenne, à Bruxelles, pour la liberté vaccinale.

> Le groupe d´études de l´Assemblée sur la vaccination recommande un moratoire sur les adjuvants à base de sels d´aluminium.


[1] L´aluminium est considéré comme le “plus fidèle des adjuvants, bien toléré et qui donne les meilleures réponses avec les plus faibles quantités”, assure le Professeur Bégué, membre de l’Académie de médecine, à Europe 1.

[2] En 2005, une étude (non publiée) auprès d’un échantillon représentatif de 400 médecins généralistes et pédiatres montrait qu’une majorité d’entre eux (58%) se posait des questions sur l’opportunité de certains vaccins donnés aux enfants et 31% faisaient part de leurs craintes par rapport à la sécurité de ces produits (source INPES).

[3] On doit notamment au Docteur Jean Pilette un important travail de collecte sur les dangers de l´aluminium vaccinal.

Pour aller plus loin :

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3 commentaires pour cet article

  1. Bonjour,je suis étudiante en doctorat de psychologie à l´Université.  Je me permets de vous adresser ce mail car je cherche à diffuser une enquête anonyme de recherche sur la santé au travail. En effet, pour les besoins de mon enquête il faudrait que je dispose d´environ 250 participants qui se connectent à partir de mon lien (ci-joint, ci-dessous) mais je peine à les trouver. Aussi je vous serais très reconnaissante et cela m´aiderait beaucoup si vous pouviez passer et diffuser le lien via vos contacts mails et sur tous types de blogs ou sites où l´on peut toucher des salariés du public ou du privé.Voici ci-dessous le lien électronique de l´enquête si vous voulez nous aider (la passation dure 20 minutes) :
    http://acasaucau.com/enquete.html

    En échange et si cela vous intéresse je peux vous envoyer aussi une synthèse des données recueillies par l´enquête.

    Merci bien de votre soutien, bien respectueusement

  2. Tout à fait, j´avais eu connaissance de cette enquête, passée quasiment inaperçue, suite à de longues recherches sur le net.

    Les résultats sont sans appels, les données sources émanant de l´institut Koch lui-même.

    Un chiffre édifiant (parmi d´autres) :

    – Enfants non vaccinés atteints de scoliose : 0%

    – Enfants vaccinés atteints de scoliose : 5,3%

    Ensuite, pas besoin de beaucoup creuser pour se rendre compte que la majorité des vaccins (voir la totalité) sont soit inutiles (tetanos…), soit inefficaces (BCG…)

    La vaccination, c´est des milliards d´euro de chiffre d´affaires chaque année… Bref une affaire qui roule et qui doit continuer à rouler, quels que soient les moyens utilisés (voir les interventions de notre ministre de la santé lors de la soit-disant pandémie H1N1).

    Heureusement, on commence à entendre des voix dissonnantes parmi les médecins eux-mêmes, par exemple : http://www.infovaccins.ch/