L’expérience que Christian Manil et Laurent Lichtenstein nous font suivre pas à pas dans leur film On a retrouvé la mémoire de l’eau remet en cause, par ses résultats étonnants, plusieurs théories scientifiques. Si ceux-ci étaient confirmés, c’est à un véritable changement de paradigme que la biologie serait confrontée. Le vivant ne serait plus seulement régi par des réactions chimiques, mais aussi par des signaux électromagnétiques porteurs d’information. Est-ce pour cela qu’elle n’a pas encore été publiée dans une revue scientifique ? Ou du moins pas ses derniers développements ? Car le Pr. Montagnier a bien déjà publié trois articles relatifs à ses expériences, mais dans aucun d’eux ne figure l’aspect le plus spectaculaire de l’expérience du film : la régénération d’ADN à partir d’eau pure mystérieusement « informée » par des signaux électromagnétiques numérisés et transmis par email à un laboratoire italien. Expérience que le professeur qualifie de « transduction ».
Les publications du Pr. Luc Montagnier
Les travaux de Luc Montagnier dans le domaine de la mémoire de l’eau ne datent pas d’hier. Il en a dévoilé les grandes lignes en 2007 lors d’une conférence à Lugano et publié les résultats en 2009 et 2010 dans trois articles :
- (1) Electromagnetic signals are produced by aqueous nanostructures derived from bacterial DNA sequences, 2009
- (2) Electromagnetic detection of HIV DNA in the blood of AIDS patients treated by antiretroviral therapy, 2009
- (3) DNA waves and water, 2010
Les deux premiers ont été publiés dans Interdisciplinary Sciences: Computational Life Sciences, une revue à comité de lecture (dont Luc Montagnier fait partie). Son rédacteur en chef est le Pr. Dongqing Wei de l’université Jiatong de Shanghai, qui a accueilli son collègue français en 2010 pour lui permettre de poursuivre ses travaux.
Le troisième a été publié dans le Journal of Physics (Conference series) après sa présentation au 5th International Workshop DICE2010.
Mais plus rien n’a été publié depuis 2010, malgré l’avancée décisive dévoilée par le film.Les travaux du Pr Montagnier ne laissent pas indifférents. Mais qu’ils les dénigrent ou les portent au pinacle, peu nombreux sont les commentateurs qui prennent la peine d’analyser la qualité du travail scientifique. C’est toutefois ce qu’a fait ce blogueur scientifique qui a l’habitude de manier le stylo rouge et porte un jugement extrêmement critique et argumenté sur les articles et les travaux qu’ils rapportent. Et comme d’autres, il s’étonne que le processus d’acceptation d’un article aussi lourd de conséquences théoriques ait pris aussi peu de temps. L’article (1) a en effet été reçu le 3 janvier 2009, révisé le 5 et validé le 6 !
Pour ceux qui n’ont pas vu le film, reprenons le fil de l’expérience. Elle se déroule en deux phases.
La première a lieu à Jouy-en-Josas, dans les locaux de Nanectis, la société fondée par Luc Montagnier en 2006. Elle est menée par Jamal Aïssa, cosignataire des trois articles évoqués ci-dessus et ancien collaborateur de Benveniste. Un de ceux dont la présence s’était révélée constituer un élément clé du succès des expériences réalisées alors.
Phase 1 : « enregistrement » de l’ADN
Dans cette première phase, il s’agit de préparer les échantillons, de détecter puis d’enregistrer leurs émissions électromagnétiques.
Un fragment d’ADN de VIH, le virus du sida, est mis en solution dans de l’eau, à la concentration de 2 ng/ml. Cette solution mère, après avoir été filtrée [1], est l’objet de 10 dilutions successives au 1/10 dans de l’eau stérile. A chaque étape, comme dans les expériences de Benveniste, les tubes contenant les dilutions sont agités pendant 15 secondes. A ces 10 tubes sont adjoints 10 tubes témoins ne contenant que de l’eau pure stérile, et les 20 tubes sont codés par un membre de l’équipe de tournage, de manière à ce que l’opérateur ne connaisse pas le contenu des tubes pour la suite de l’expérience. Car c’est lui qui va alors placer l’un après l’autre les 20 tubes sur un capteur d’ondes électromagnétiques mis au point par Benveniste et déterminer lesquels ont émis un signal significatif.
Résultat : seuls les tubes D6 et D7 (6e et 7e étape de dilution) ont émis un signal. Les autres dilutions et les tubes témoins sont restés muets.
Phase 2 : synthèse de l’ADN à distance
Le signal numérisé d’un des tubes ayant donné un résultat positif est alors envoyé par email à l’équipe de Vittorio Colantuani, professeur de biologie moléculaire à l’université de Sannio Benevento en Italie. Avec Giuseppe Vitiello, professeur de physique à l’université de Salerne, ils vont exposer pendant une heure un tube d’eau pure à un rayonnement électromagnétique reconstitué à partir du fichier numérique reçu de la banlieue parisienne.
Ce faisant, les chercheurs s’attendent à ce que se reconstituent dans l’eau italienne les empreintes laissées par l’ADN viral dans l’eau française. Empreintes qu’ils attribuent à des nanostructures formées de molécules d’eau, les nanéons, et émettrices de rayonnements électromagnétiques à basse fréquence.
Ils ont fait le pari fou que ces empreintes restaient porteuses du code génétique de l’ADN de départ et étaient capables de le régénérer. Pour le vérifier, ils font appel à la PCR, une méthode communément utilisée pour amplifier des traces d’ADN et particulièrement utilisée en criminologie.
Qu’est-ce que la PCR ?
La PCR, abréviation anglaise de polymerase chain reaction (réaction en chaîne par polymérase), a révolutionné la génétique. Elle permet de dupliquer en grand nombre une séquence d’ADN à partir d’une très faible quantité. Une molécule suffit. Inventée à la fin des années 80, elle permet aujourd’hui de réaliser plus d’un milliard de copies en moins d’une heure.Comme expliqué dans cette animation, la PCR met en présence les traces d’ADN ou de fragments d’ADN avec plusieurs types d’ingrédients :
- une polymérase, enzyme qui catalyse la réaction de synthèse de l’ADN
- des nucléotides, briques élémentaires à partir desquelles l’ADN va être assemblé
- deux amorces (primers), courtes séquences d’ADN qui servent d’accroche pour démarrer la synthèse de l’ADN
Résultat : non seulement la PCR produit de l’ADN, preuve qu’il y a bien dans l’eau pure quelque chose à copier, mais l’ADN produit est identique à 98% à l’ADN d’origine resté à Jouy-en-Josas. La transduction a marché !
Que penser de cette expérience et de ses résultats ?
Comme le souligne avec humour Happyseal dans le forum de l’émission sur le site de France 5, ces résultats sont très improbables : « Pour faire cela, il faut que la cible [l’ADN à multiplier par la PCR] soit physiquement présente. Les “informations” apportées par les enregistrements ne peuvent se traduire en cible, pas plus qu’en trempant une recette imprimée dans une casserole, on va produire des spaghetti à la Bolognaise. » Y aurait-il une autre explication plus triviale ?
Dans une revue critique des premiers travaux du Pr Montagnier, le professeur Alain de Weck avait souligné les risques importants de contamination dans ce genre d’expériences, alors qu’une seule molécule suffit à fausser les résultats. En échangeant des fichiers numériques, les chercheurs se sont mis à l’abri de toute contamination chimique ou biologique. On ne peut bien sûr exclure une contamination au sein du laboratoire italien. Même si le Pr Montagnier affirme qu’il utilise de multiples témoins, et qu’ « ils sont toujours négatifs à chaque expérience », il laisse planer un doute en disant que « les tubes d’eau contrôles négatifs peuvent être influencés par des tubes positifs proches et aussi par les “antennes” humaines ». Il reconnaît ainsi que certains témoins d’eau pure ont pu être positifs. Mais en cherchant à exclure une contamination biologique et en invoquant une contamination électromagnétique qui supposerait que sa théorie soit établie, il recourt à un raisonnement circulaire !
Les réponses du Pr. Montagnier aux questions d’Ouvertures : Le Pr. Luc Montagnier explique son expérience de reproduction de l’ADN à distance
“C’est à nos collègues physiciens et chimistes que nous demandons de trouver l’explication : il est déjà connu que l’eau liquide peut changer de conformation sous l’effet de champs magnétiques, que dans l’ADN d’autre part existent des mouvements d’électrons à grande distance, notamment après son oxydation. C’est une énigme qui va sans doute être résolue un jour, à condition bien sûr qu’on ne commence pas par nier le phénomène !”
A contrario, si l’ADN détecté provient d’une contamination, comment expliquer que ce soit le même que l’ADN recherché ?
Nous avons contacté Freddy B., un chercheur en biologie moléculaire qui a participé activement au forum de l’émission. Celui-ci nous dit que le fragment d’ADN du virus HIV utilisé par le Pr. Montagnier, un LTR [2], est « aussi présent sous forme de multiples copies chez de nombreux autres organismes. Chez l’humain les LTR sont par exemple présents dans les rétrotransposons qui représentent à peu près la moitié de notre génome. »
Mais il a cherché à en savoir plus. A partir des résultats d’analyse du code génétique du fragment d’ADN identifié par le laboratoire italien, il affirme que la « séquence correspond très probablement à un LTR de HIV ». Il ajoute que « cependant, une contamination est toujours possible. En effet, le labo italien a sûrement déjà manipulé l’ADN HIV pour l’utiliser comme témoin positif et il est possible qu’il en reste des traces sur la paillasse, les pipettes ou encore dans l’air sous forme d’aérosol. » Pour en avoir le cœur net, il suggère de remplacer un seul nucléotide au milieu d’un ADN qui produit des signaux, puis de voir si cette mutation est détectée en Italie. Le Pr. Montagnier réplique en disant que le laboratoire italien a été choisi parce qu’il n’avait jamais manipulé de HIV.
Les observateurs attentifs auront noté l’aveu tout sourire du Pr Vitiello : « Vous avez de la chance, car ça ne marche pas aussi bien à tous les coups ! ». Ainsi Montagnier semble être retombé dans les mêmes problèmes inextricables que Benveniste. Tout marchait bien tant que Jamal Aïssa ou quelqu’un du laboratoire était aux commandes. Mais dès qu’un tiers intervenait, les résultats devenaient difficiles à reproduire. Dans une série d’expériences assez similaire à celle du film (relatée dans (3)), Montagnier indique qu’il a répété l’expérience 12 fois et que toutes ont réussi !
Bien que n’enlevant rien à la performance d’avoir fait réapparaître en Italie l’ADN de départ, des incohérences entachent la phase 1.
Le Pr Montagnier déclare en effet dans le film qu’à ces dilutions, il n’y a plus d’ADN : « On a des dilutions telles qu’il n’y a vraiment – probablement – plus de molécules d’ADN et que c’est simplement les structures de l’eau qui émettent ». Or un calcul basé sur ses propres données (et dont il nous a confirmé la justesse) indique qu’à la première dilution qui marche (10-6 – qui correspond à 3CH en homéopathie), il y aurait encore environ 17 000 molécules d’ADN en solution (voir détails en annexe).
Mais disant cela, il semble oublier que l’ADN a été enlevé par l’étape préalable de filtration de la solution mère, censée arrêter l’ADN mais laisser passer les hypothétiques nanostructures de l’eau. Les dilutions successives n’auraient alors pas pour objet de faire disparaître l’ADN, déjà éliminé par le filtre, mais les nanostructures. On se perd alors en conjectures : si, comme une patte de loup dans la neige, chaque ADN laisse une empreinte dans l’eau, pourquoi des signaux électromagnétiques sont-ils détectés à 10-9 ou 10-12 quand il n’y a plus rien, ni ADN, ni nanostructures (voir les réponses du Pr. Montagnier à nos questions) ?
Luc Montagnier est un médecin qui cherche de nouveaux moyens de guérir. Il est persuadé que derrière le Sida et d’autres maladies non microbiennes comme l’autisme se cachent des infections difficiles à détecter. En travaillant sur une classe d’agents infectieux, les mycoplasmes, il s’est aperçu que ceux-ci semblaient réapparaître dans des cultures stérilisées par filtration ultrafine (1). Il a alors fait l’hypothèse que le filtre qui retenait les mycoplasmes laissait passer des nanostructures gardant la mémoire de l’ADN de ces mycoplasmes dans l’eau. L’expérience du film semble effectivement étayer cette hypothèse. Mais en réponse à nos questions, il est moins affirmatif : « je ne proclame pas aujourd’hui que tout l’ADN d’un mycoplasme (400.000 paires de base au minimum) puisse être transmis en petits fragments par l’eau et reconstitué ! ». Le mystère reste donc entier.
Alors, réalité ou chimère ?
On ne peut, comme le souligne le principal intéressé, balayer des résultats scientifiques, même s’ils paraissent extravagants. La démarche expérimentale présente certes des faiblesses, mais il n’en demeure pas moins que de l’ADN identique à 98% à l’ADN de départ a été retrouvé par le laboratoire italien, alors qu’il n’y a pas eu d’échange d’échantillons et donc pas de contamination possible entre laboratoires. Il faut maintenant attendre la publication scientifique promise par le Pr. Montagnier, en espérant qu’elle sera soumise à un processus de revue par les pairs digne de ce nom. Mais celui-ci trouvera-t-il dans la communauté scientifique des chercheurs qui acceptent de mêler leur nom à cette sulfureuse saga ?
[1] L’étape de filtration, bien qu’essentielle, n’est pas montrée dans le film, mais a bien eu lieu, ce que confirment séparément le Pr. Montagnier et Laurent Lichtenstein, l’un des réalisateurs du film. Le filtre, avec une porosité de 20 nm, est censé arrêter les fragments d’ADN.
[2] Un LTR (Long terminal repeat) est une séquence nucléotidique caractéristique des extrémités des rétrovirus et des rétrotransposons.
>> Lire aussi sur Ouvertures :
Tout repose dans votre article sur la reproductibilité des expériences, ma fille qui a été chercheuse en génétique travailalnt sur du matériel neuf a été obligé d’exclure de son étude de l’impact réparateur de cellules puripotentes un comptage, pourtant un comptage répété durant deux semaines se fait avec des machines et l’on nettoie la solution, jamais elle n’a trouvé le même résultat. Je lui ai conseillé de balancer les tubes neufs en plastiques vu qu’il est prouvé que les substance s qu’ils contiennent peuvent se communiquer à l’homme, donc interagir.
Alors je rigolerai si le progrès scientifique ne se heurtait pas à des limites du fait des outils employés.
Est-ce que ça prouve que Montagnier ou Benveniste a raison, nullement, ça prouve simplement qu’on n’en sait rien et qu’on ne peut rien en savoir.
Les phénomènes inexpliqués sont mis de côté alors qu’ils sont les plus intéressants (ne serait-ce que par la découverte de sources de contaminations non répertoriées, nouvelles terra incognita du savoir, pour des questions de carrière et on appelle ça de la recherche scientifique.
Je suis tout a fait d accord que la vie est base sur l information.
Sur terre nous avons les 3/4 d eaux , dans le corps humain aussi et que l on ne pourra
pas guerrir le corps humain tans que l on n agiera pas sur l information, en particulier sur l information de l adn.
Avant 20 ans quand on nous disait que dans un USB on pourra introduire 50 livres
de 500 pages , cela nous semblait ridicule , aujourd hui c est normal. L homme n est il pas plus saufistique qu un simple ordinateur?
En physique on pensait il y a 100 ans que nous savons tout et que tout peut etre calcule
alors la physique quantique a tout changee.
Pour ma conception des choses cette experience ne sort pas beaucoup da la normale….
C’est incompréhensible de voir ce protocole se dérouler ainsi dans cette émission.
Pour commencer, le PC portable émet à peu près 100000000 de fois plus de champ EM qu’une goutte d’eau (même si elle était remplie d’ADN concentré) … et dans le reportage, on demande aux journalistes d’éteindre une ampoule ? Mais de qui on se moque ? C’est comme si je demandais à mon voisin de se taire parce que je vais descendre sur le périphérique mesurer la composition de l’atmosphère martienne. A ce niveau là, c’est plus du bon sens scientifique qu’on manque …
Le simple fait de faire tourner un logiciel (ou un autre) sur cet ordinateur peut très largement produire les effets mesurés à 1 m de lui.
Mais ce n’est que le début … ensuite on nous dit qu’un fichier PCM 44 khz … donc un enregistrement Y=f(t), ce qui implique que la séquence d’ADN mémorisée serait en quelque sorte “lue” en permanence, et de façon synchrone, par tous les “sites mémoriels” ??? Donc pas de cacophonie, pas de “canon à plusieurs voix” résultant d’une “lecture” en décalé ??? Et on est capable de recréer le brin d’ADN avec ça ? Mais il est où le bon sens ? Il était où l’enfant de 4 ans qui ne vous a pas dit que vous rêviez quand vous avez envisagé ça ?
Ensuite on nous glisse un tore dans du mu métal … précisément le genre de métal qui empêche le magnétisme de se propager … et on passe la “douce musique” à de l’eau en espérant recréer cette mémoire de l’eau ? Mais c’est l’île aux enfants ou un labo qu’on regarde ?
Enfin, comme d’autres l’ont fait remarquer, on se demande le rapport avec le schmilblic (en l’espèce le Pr Montagnier et le virus HIV) … c’est quoi le rapport ? Pourquoi nous montre-t-il un truc sorti de son frigo ? Pourquoi on n’a pas plutôt demandé la caution morale de maitre Collard, en prenant un bout du chromosome Y de Klaus Barbie ? Il fait quoi dans cette affaire Montagnier ? A part se faire arnaquer comme un nouveau né par les sbires de Benveniste ?
Il est curieux de constater que, des deux côtés des crédules et septiques, nul de fournit de certitude absolue.
Comme en mathématique, la proposition serait-elle “indécidable” ?
Décidez-vous, savants putatifs!
Je vous livre une piste.
Quelle que soit l’aversion des allopathes (qui préfèrent toujours “soigner” à “guérir” un patient), l’homéopathie soigne bel et bien, et même guéri parfois, ce sans intervention d’un quelconque effet placebo, éloigné par des expérimentations en “double aveugle”.
Impossible … mais vrai.
Supposons que l’eau a une mémoire et faisons un petit calcul :
Supposons que durant les 200 derniers millions d’années il y ait eu 200 millions d’animaux sur terre, y compris les être humains, chiffres bien inférieurs à la réalité mais faciles à utiliser pour le calcul. Supposons que ces animaux urinent en moyenne 2 litres par jour, (en moyenne et selon le poids, un homme produit 1,5 à 2 litres d’urine par jour, un chien 0,5 à 3 litres, un cochon 1,5 à 8 litres, un cheval 5 à 15 litres, un bœuf 10 à 25 litres et un éléphant 40 à 80, je n’ai pas ces infos pour les dinosaures…) cela donne le résultat suivant : 200 000 000 × 200 000 000 × 2 × 365 = 29 200 000 000 000 000 000 litres d’urine, soit 29 200 000 000 km3 d’urine. Le volume total de l’eau sur terre est de 1 400 000 000 km3. Cela veut dire que la totalité l’eau sur terre a déjà été pissée plus de 20 fois… Finalement je suis assez content que l’eau n’ait pas de mémoire sinon mon Côte de Beaune n’aurait pas le même nez…
L’homéopathie comme l’acupuncture sont basées sur une transmission d’ondes.
Dans un souci de rigueur scientifique, le Professeur Montagnier est allé au devant des difficultés en voulant démontrer un phénomène remettant en cause la conception actuelle du médicament. Il est forcément critiqué alors que celui ci est cliniquement évident à condition d’utiliser un méthode sérieuse d’analyse clinique.
La nature énergétique de l’homéopathie et de l’acupuncture est alors démontrable.
Le phénomène de transmission d’une information du patient à de l’eau est alors également simple, évident et reproductible.
c’est de la que fais tout l’interet de la terre, une étude a prouvé que des nappes de pétroles dans l’océan qui devais prendre 5ans a disparaitre n’on pris que 6 mois; et ce grace a des microorganisme qui transforme la matière, tout comme les végétaux qui transforme le gaz carbonique en air respirable, je ne suis pas scientifique, juste un ouvrier qui s’interesse a la science, mais la terre fonctionne bien depuis des millions d’années et si l’eau ne transformais pas tout ce que les êtres vivants (surtout les hommes…) y balance, l’on ne pourrais plus y habité. L’eau (H²O) n’a rien de particulier sous cette analyse mais il faut voir de plus près, et je pense qu’on est bien loin de connaitre sont pouvoir.
L’eau particulièrement encore plus pour elle, cette substance porteuse de vie, on doit l’accepter pour ce qu’elle est, capte et émet de fréquences EM de différents émetteur comme le soleil, appareils électriques et autres sources. Encore plus que toutes les substances existant sur cette terre et dans l’univers, car toutes les molécules émettent des fréquences facilement mesurables et vérifiables, je suis très surpris d’entendre les chientifiques accrochés aux recherches dépassées de l’obscurantiste se pomper à cette nouvelle! La médecine de demain sera fréquencielle et beaucoup plus basée sur les raisons de ces variations de fréquences dans les organismes vivants et surtout, moins attachée aux grandes société bio-chimiques qui nous maintiennent dans la pensée unique fermée et limitative des médicaments. Plus pour longtemps, soyez prêt chers confrères.
Capter et émettre des fréquences!
Fort bien.
Mais des fréquences … de quoi ?
D’ondes électromagnétiques, peut-être ?
Ou bien d’ondes d’éther, qui a la propriété principale de ne pas exister ?
Il s’agit d’une querelle purement métaphysique, c’est-à-dire moyenâgeuse.
Que l’eau puisse avoir de la mémoire j’aimerais bien le savoir… la seule chose que je peux dire, par expérience personnelle, est que pendant 60 jours j’ai bu un verre d’eau/j après l’avoir exposé à des ondes a haute fréquence. Résultat les taches que toute personne, a un certain age, a sur le dos de la main ont disparu en plus a d’autres bienfaits.
Pourriez-vous nous en dire plus sur votre protocole d’exposition de l’eau ? Quelle fréquence, quelle puissance, quelle durée, avec quel dispositif ? Et quels ont été les autres bienfaits ?
On se croirait revenu au temps du procès de Galilée, avec dans le rôle de l’Eglise, les labos pharmaceutiques .
Il est clair que si cette théorie s’avère exacte, quid des tonnes de médicaments tels que les statines tueuses qui assurent la fortune desdits labos !?
Que les septiques brûlent ce pauvre Pr Montagnier, d’autres prendront sa place.
Au fait…j’espère que vous ne doutez plus que la terre est ronde ?
cet article est excellent, en particulier, complet, très bien rédigé et documenté. On peut juste regretter que la conclusion soit si généreuse.
Les auteurs du “documentaire” ont pris soin de mettre partout le conditionnel, pensant ainsi se protéger de l’accusation de colporter de fausses informations. Mais pour des personnes peu au fait de la mécanique ondulatoire et des écueils de la PCR, et n’ayant aucune raison de douter de la parole de journalistes, le risque est grand d’oublier ledit conditionnel et d’accepter les conclusions que donnent les protagonistes de leurs “expériences”.
Quelques commentaires.
Premier point : Il est juste de dire “On ne peut, comme le souligne le principal intéressé, balayer des résultats scientifiques, même s’ils paraissent extravagants.” mais il faut déjà que ce soit des “résultats scientifiques”. Pour cela, évidemment le premier critère est la reproductibilité, ce qui est bien souligné dans l’article. Non moins évidemment, il faut que la reproduction de l’expérience ne pose pas de problèmes particuliers. Mais ici, une partie de cette expérience est d’une facilité qui la met à la portée de n’importe quelle personne entrant pour la première fois dans un laboratoire de biologie moléculaire pourvu que le dit laboratoire soit équipé d’un émetteur de “rayonnement électromagnétique”. Pour des spécialistes ce n’est pas difficile à trouver. Un enfant de 6e sait aujourd’hui qu’il n’y a rien de plus facile que d’envoyer un fichier en de multiples exemplaires aux 4 coins de la terre. Il n’y a rien non plus de plus simple, pour des milliers de laboratoires de faire une expérience de PCR pour amplifier et détecter une cible d’ADN donnée. Je suis sûr que des dizaines de chercheurs seraient ravis de refaire cette expérience.
A moins qu’ils ne soient carrément stupides, il est également certain que cette idée n’a pas manqué de venir à l’esprit des expérimentateurs concernés dans ce reportage. Mais ils savent bien que cela démontrerait le manque de reproductibilité des résultats.
Deuxième point : “le résultat scientifique”. L’expérience fondatrice de Benveniste, telle qu’elle avait été publiée par Nature était inattaquable du point de vue rédactionnel : la méthodologie était correcte, les contrôles également. On ne pouvait pas trouver de failles. Mais ici c’est loin d’être le cas. D’abord le 98 % peut sembler couper court à toute discussion : si on me dit que mes chances de gagner le gros lot sont de 98 %, je me précipite pour acheter un billet. Mais en ce qui concerne la détection d’une cible on doit avoir 100 % de coïncidence. Si L’ADN d’un individu est à 98 % identique à celui d’un malfaiteur inconnu, cela prouve sans doute possible que l’individu en question est innocent. Mais le pire, ici, comme il l’a été souligné dans le texte est le problème de la contamination. “le labo italien a sûrement déjà manipulé l’ADN HIV pour l’utiliser comme témoin positif et il est possible qu’il en reste des traces”. Ce n’est pas seulement possible : c’est certain. La première chose qu’on apprend aux étudiants est de se méfier des contaminations car elles sont universelles. Je pratique la PCR depuis 27 ans. La première fois cela était destiné à détecter une bactérie pathogène dont le diagnostic classique nécessite de longues cultures. Le génome de la bactérie a été séquencé, une cible choisie et des amorces synthétisées. La PCR a marché du premier coup : là où L’ADN bactérien était présent on détectait sur gel la bande adéquate et là où cet ADN était absent, on ne détectait rien. Merveilleux ! Dès le lendemain, comme il se doit, le chercheur concerné a répété l’expérience : ça a marché aussi bien, sauf que là où il n’avait rien mis, l’expérience était également positive. En fait, lors du mélange des réactifs, une contamination s’était produite à cause d’une ou plusieurs des 100 milliards de molécules cibles produites la veille. De ce jours les réactifs ont été mélangés dans des lieux éloigné du lieu où l’amplification était conduite et analysée et tout est rentré dans l’ordre.
Ce que je veux dire par là est que si le Pr Montagnier soumet un tel travail à une revue dont il n’est pas dans l’éditorial board, l’article en question serra rejeté après avoir bien fait rigoler les spécialistes.
Happyseal, je crois que vous êtes simplement limité à ce que vous pouvez comprendre et admettre, le reste vous le rejetez avec beaucoup de fermeture. Admettez que la recherche mérite d’être prolongée, dans ce cas précis plusieurs paradigmes des lois physiques confirment les possibilités. Malheureusement les fonds de recherches ne sont pas disponibles quand les risques de modifier l’entendement scientifique est assuré. Il ne faut surtout pas déranger si l’on veut garder notre notoriété dans ce milieu contrôlé par l’argent et le profit.
Vous aurez servi encore une fois à garder l’humanité limitée et asservie
Votre règne achève…
Richard
Richard,
Présentés comme dans le documentaire, ces résultats sont extraordinaires, leurs applications peuvent se développer à l’infini et rapporter des milliards d’euro. Ces travaux, mériteraient donc d’être poursuivis. Mieux, il serait incompréhensible que les autorités n’en décident pas ainsi. Dans ce cas, même si les fonds de recherche, comme vous le dites sont limités, ce qui est hélas parfaitement vrai, il n’est pas pensable que ces travaux n’aient pas été exploités. Quand on propose d’approfondir des résultats aussi importants, tous les bailleurs de fonds devraient se précipiter, le carnet de chèque à la main, les big pharma ou les fabricants d’émetteurs /récepteurs d’ondes électromagnétique en premiers, d’autant que l’investissement est en fait dérisoire.
Alors pourquoi n’y a-t-il pas eu (ou n’avons -nous pas entendu parler de) cette ruée ? L’explication est simple : si quelqu’un vous jure qu’il peut faire apparaître une voiture en agitant une clé de contact, vous exigerez qu’il en fasse la démonstration.
Mais ce quelqu’un va vous vous dire qu’il faut faire fabriquer la clé en chine, que le trottoir n’a pas été bien balayé, que vous êtes insultant en demandant une vérification et à la fin du compte il vous montrera peut-être une photo de la voiture.
Mais dans le reportage, il est dit plusieurs fois que le Pr Montagnier, ne pouvant poursuivre ses recherches en France s’est rendu en chine où un institut a été mis à sa disposition. Là, pas de doute, les moyens n’ont pas dû lui manquer et on peut s’attendre à un tsunami de publications et d’applications scientifiques et médicales mais… rien depuis 5 ans ! : concluez.
happyseal
Je vous laisse imaginer ce qui ce passerais si on découvrait un traitement efficace, simple et très peu dispendieux pour le cancer, qui serait perdant? La population ?
Imaginer aussi qui serait perdant si l’on découvrais un nouveau moteur magnétique super performant, non polluant et à des coûts de fabrication dérisoires? La population ?
Sachez que tout cela existe déjà, les intérêts n’y sont pas, pourquoi?
Par de petites recherches sur le net vous serez en mesure de vérifier que tout cela existe et est déjà en place, mais nos médias ne nous en parlent pas, pourquoi ?
Qui a intérêt à ce que l’on sache pas?
Bonjour Richard,
Ceci avec une pointe d’humour :
Le moteur à eau ? Il existe ! mais aucun industriel ne veut le développer, disent ses “inventeurs”.
La bombe à eau ? Elle existe ! Moi j’en ai fabriqué … dans la maison …étant adolescent.. Mais après quelle scène avec mon père ! mes ailleux !
La mémoire de l’eau ? Surtout il ne faut pas qu’elle existe ! du moins pour certains…
L’eau est le composé chimique qui finalement pose le plus de polémiques, parfois infantines.
En attendant en ce qui me concerne je trouve que c’est un sujet intéressant et je m’aperçois en faisant mes simulations dynamiques moléculaires, notamment sur la mémoire de l’eau qu’il y a des choses à découvrir .. Je ne manquerai pas d’en faire part au journal Ouvertures et dans quelques commentaires.
Par analogie, peut-être vous souviendrez-vous de la fusion froide. Moi j’ai bien vécu cette histoire en 1989 en tant que laborantin en Electrochimie.
Cordialement, Jean-Yves
Bonjour Jean Yves,
Je vous conseille pour commencer d’allez visionner quelques vidéos (You Tube) sur les moteurs à répulsion magnétique, vous découvrirez les bases d’un autre monde d’énergie.
Je vous répète que l’intérêt coopératif et par ricochet gouvernemental (parce que désinformé) n’est pas très chaud à ce que l’on utilise cette l’énergie incommensurablement puissante qui nous entoure et gratuite.
Souvenez-vous que tout le monde vivant est électromagnétique, et qu’un jour nous pourrons transporter toute l’information nécessaire à la reconstruction cellulaire et peut-être bien aussi créer des structures encore inconnues et des mondes comparable au notre.
Restez ouvert, nous avons besoin de vous.
Richard
Bonsoir Richard et Happyseal,
J’ai cherché des indications sur le moteur à répulsion magnétique (j’ai eu cependant un souci de connexion avec youtube). En fait, ce terme est générique, comme d’ailleurs le terme “moteur à eau”. Par exemple : une usine marémotrice utilise un moteur à eau qui est une turbine. Un moteur électrique est basé sur la force de Laplace qui est la force exercée par un champ magnétique sur un courant. Par contre, il n’est thermodynamiquement pas possible de fabriquer un moteur à combustion chimique directe entièrement à eau dans l’air. On peut cependant utiliser l’eau comme combustible (ou comburant) avec des métaux réducteurs. Pour les moteurs à répulsion magnétique, on peut tout à fait utiliser le champ magnétique terrestre et créer un courant électrique très intense dans une spire supraconductrice pour faire un moteur ascensionnel, ou propulsif selon la direction du champ magnétique local (vertical aux pôles et horiszontal à l’équateur). Pour en revenir à la mémoire de l’eau, je pense après examen de mes essais de simulation dynamique moléculaire que oui, il exite bien un phénomène de mémoire de l’eau, mais dont la manifestation est statistique, surtout sur des laps de temps importants, ce qui pourrait expliquer en partie le caractère capricieux des expériences qui ont été menées à ce sujet. Ces expériences font appel à un procédé de réponse cellulaire dont je ne mets pas en doute le bien fondé, n’ayant pas toute la compétence dans ce domaine pour en répondre, mais qui me paraît à moi physicochimiste un peu complexe. Je ne suis d’ailleurs pas certain, dans la mesure de mes compétences, que le phénomène de mémoire de l’eau soit l’explication unique et absolue de l’efficacité de l’homéopathie, par contre, il pourrait bien constituer une part d’ explication à des phénomènes, physiques ou biologiques. Quant à l’émission électromagnétique de l’eau en présence de molécules étrangères, chimiques ou biochimiques, voire de bactéries ou autres cellules, j’ai pu effectuer des simulations dynamiques moléculaires qui mettent en évidence l’effet de molécules d’hydrocarbure sur le moment dipolaire moyen d’un ensmble de molécules d’eau, ce qui peut être à l’origine d’une émission électromagnétique particulière.
C’est effectivement bien regrettable que le lobbying industriel tue certaines progressions scientifiques pour des histoires financières ou de mode de gestion du monde. On se souviendra d’Héron d’Alexandrie qui a inventé un encêtre du moteur à vapeur au 2ème siècle avant JC. Cet appareil est resté un simple objet de divertissement.car le pharaon de l’époque a décrété que comme les esclaves ne coûtaient pas cher, on ne développerait pas le projet. Il a donc fallu attendre l’abolition de l’esclavage et la fin du 18ème siecle avec Denis Papin pour enfin faire une machine à vapeur. Et entretemps, en 1410 après JC, la bibliothèque d’Alexandrie a été détruite dans un incendie… par accident…
Bien cordialement
Jean-Yves
La chasse aux sorcières ne cessera donc jamais ! Défenseurs contres détracteurs, intérêts financiers privés contre intérêts publics, toujours la même histoire qui recommence, nous n’avons rien appris ! pratiquement tous ne faîtes que compromettre et démotiver la faculté de certains, trop peu nombreux, à débroussailler les terrains inconnus, voire interdits qui gènent les propriétaires des clefs de la gestion du monde. Chercher et se tromper parfois vaut mieux que immobilisme, conservatisme et ignorance réunis. Laissons les audacieux travailler, analysons et critiquons positivement en apportant sa pierre à l’édifice. Mais faisons tous un pas vers l’avant, même si ce serait un saut de puce. La critique tue l’imaginaire !
” La critique tue l’imaginaire ! ” : exactement ; c’est son rôle, elle permet de retourner au réel.
“Mais dans le reportage, il est dit plusieurs fois que le Pr Montagnier, ne pouvant poursuivre ses recherches en France s’est rendu en chine où un institut a été mis à sa disposition. Là, pas de doute, les moyens n’ont pas dû lui manquer et on peut s’attendre à un tsunami de publications et d’applications scientifiques et médicales mais… rien depuis 5 ans ! : concluez. ”
okay, alors il suffit d’avoir de l’argent pour faire accepter le phénomène, vous êtes un marrant vous
“rien depuis 5 ans ! : concluez.” et vous réfléchissez un peu.
Luc Montagnier admet se rapprocher des recherches et thèses du docteur Benveniste. En décembre 2010 dans une interview à la revue Science il répond:« on me dit que certains ont reproduit avec succès les expériences de Benveniste mais ils ont peur de les publier à cause de la terreur intellectuelle de la part de ceux qui ne les comprennent pas »
je vais donc en conclure que Luc Montagnier n’est sans doute pas un menteur et que l’expérience est répliqué depuis longtemps, mais que ça bloque en amont.
Hey oui, pour les “experts” ça ne peut pas marcher car ils se sont tous prononcés contre tout accrochés qu’ils sont à le science académique et maintenant que c’est prouvé ils ne peuvent pas faire machine arrière et doivent continuer à soutenir mordicus que ce n’est pas possible.
Bonjour,
J’ai pour ma part effectué des simulations dynamiques moléculaires sur l’eau. J’ai constaté que les molécules d’eau simulées ont des comportements spontanés particuliers propices à la création de nanocavités intermoléculaires de la taille de quelques dixièmes de nanomètre : Elles s’orientent alors de façon à placer leurs atomes d’hydrogène sur les parois de ces cavités. Les forces électrostatiques répulsives qui en résultent maintiennent la nanocavité en équilibre pendant un petit laps de temps de quelques picosecondes. Si on place une petite molécule d’hydrocarbure au milieu d’un ensemble de molécules d’eau et que l’on fait disparaître artificiellement la molécule (dans la simulation), la cavité qui en résulte peut persister plusieurs dizaines de picosecondes avant de se résorber, mais les temps de résorption sont cependant assez variables et obéissent probablement à une loi d’extinction exponentielle décroissante. Pour des molécules organiques un peu plus grosses, les temps de résorption des cavités sont sensiblement plus longs. J’ai donc parlé de ces résultats au professeur Montagné dans un e-mail que j’ai envoyé à sa secrétaire en septembre 2014. Par ailleurs, d’après des résultats expérimentaux sur les coéfficients d’autodiffusion des molécules organiques dans l’eau, on remarque que des molécules de taille pourtant très différentes ont des coéfficients de d’autodiffusion dans l’eau du même ordre de grandeur. Je pense que l’existence de ces nanocavités dans l’eau et de leur temps de résorption pourrait être à l’origine de ces observations. L’eau posèderait ainsi en tout cas une mémoire évanescente de très courte durée qui pourrait donc être être une piste d’explication de certains phénomènes. J’invite alors les personnes intéressées à me contacter pour donner une suite à ces expériences de simulation. Bien qu’étant en contradiction vis à vis du Professeur Montagné et du Docteur Benvéniste sur les temps de persistence de la mémoire de l’eau, je pense que les recherches sur la mémoire de l’eau devraient être approfondies et je reconnais pour ma part au Docteur Benvéniste le mérite d’avoir soulevé cette hypothèse même si ses expériences restent contestables.
Jean-Yves Dolveck (Docteur en chimie macromoléculaire)
Bonjour,
Après avoir lu quelques commentaires dans la présente discussion j’ai trouvé quelques remarques en fait intéressantes sur les expériences personnelles de certains d’entre vous. Si cela peut intéresser les personnes concernées, voici les résultats sur les propriétés électromagnétiques de l’eau évalués en simulation dynamique moléculaire en mesurant les fluctuations des moments électriques dipolaires, ces fluctuations de moments électriques dipolaires étant en fait responsables des ondes électromagnétiques émises par l’eau.
Lorsque l’on compare les fluctuations de moments électriques dipolaires résultants d’un groupe de molécules d’eau pure et d’un groupe de molécules d’eau polluée par une petite molécule organique fixe (ceci est important) en son centre, on constate les comportements suivants : Alors que le nombre de molécules d’eau est le même dans les deux groupes, au début de la simulation, le groupe qui contient la molécule organique en son centre génère des fluctuations de moment dipolaire global plus importantes que le groupe de molécules d’eau pure durant les deux ou trois premières dizaines de picosecondes. Lorsque l’on poursuit la simulation, les différences entre les moments dipolaires globaux des deux groupes sont de moins en moins importantes et ne sont plus perceptibles au dela de la centaine de picosecondes. Ces durées sont très petites et elles correspondent au temps de relaxation des molécules d’eau pour acquérir une structure stable, Dans la réalité, les molécules organiques ou biologiques se déplacent entre les molécules d’eau en permanence et les molécules d’eau qui les entourent ont sans cesse besoin de se réorganiser et donc le moment électrique dipolaire du groupe de molécules d’eau fluctue en permanance, ce qui entraîne un l’émission continue d’un signal électromagnétique. Ce signal se propage dans la masse des molécules d’eau environantes et pourrait effectivement influer sur la répartition de ces molécules de telle sorte que celles ci-se répartissent dans l’espace de façon à construire comme par un phénomène d’imitation des cavités semblables à celles qui contiennent les molécules organiques. on a un effect de multiplication qui peut être corrélé avec les comportements non linéaires de certaines propriétés (sur les nanobulles notamment) avec la concentration, qu’a cités le professeur Luc Montagnier en argument en faveur de la mémoire de l’eau. Les phénomènes mettant en oenvre les propriétés électromagnétiques sont généralement réversibles et il est tout à fait légitime de supposer que l’eau à l’inverse acquiert des propriétés particulières en présence d’ondes électromagnétiques. Pour argumenter face au scepticisme qui règne autour des simulations informatiques, je précise que les baes fondatrices de mes simulations reposent sur des observations scientifiquement vraies : l’eau est effectivement une molécule dipolaire électrostatique.
Pour ma part, les polémiques sur la mémoire de l’eau et ses propriétés électromagnétiques, souvent liées à des histoires d’école ou d’argent me font sourire. Pendant ce temps se cachent des possibilités de découvertes scientifiques probablement remarquables laissées pour compte. Soyons gonflé ! Un futur prix Nobel est peut-être en suspens ! Les chercheurs feraient bien de se mettre au travail. C’est un peu le remake de la fusion froide : 25 ans après on a réalisé enfin la vraie nature du phénomène. Pour ma part, je ne vais pas attendre l’an 2041 pour contribuer à élucider les propriétés de la mémoire l’eau, même s’il me faut mettre en oeuvre des moyens plus importants que ceux que je possède actuellement.
Jean-Yves D
Ping : SUJET CONTROVERSE TOTALE : LA MÉMOIRE DE L'EAU - Mon Carré De Sable
Il faut absolument examiner les travaux du professor japo-americain Dr. Yoshiaki Omura, New York City, qui utilise une technique pareille basee sur electromagnetisme pour detecter les maladies. http://Www.icaet.org.
Bonjour,
J’ai bien noté le lien Internet des travaux du professeur Yoshiaki Omura. J’ai commencé à le consulter. Merci à Robert pour cette information.
J’ai de mon côté mené une série de simulations sur le signal électromagnétique émis par l’eau en présence de molécules étrangères. Pour envisager une approche simple, j’ai pris des molécules de méthane. Même si je suis loin de la molécule d’ADN, j’ai le projet de me rapprocher de celle-ci en mettant en oeuvre d’autres molécules par la suite. … Et bien on trouve une différence de comportement électromagnétique entre l’eau pure et l’eau polluée ! Cependant le phénomène mis en évidence dans la simulation (perturbation du moment dipolaire électrique moyen de l’eau) est aléatoire et les différences de comportement se remarquent sur un ensemble d’essais (ici des groupes de trois essais chacun) de simulations (en tout 12 essais de 40 heures chacun réparties en quatre groupes d’expériences). En présence des molécules de méthane, le moment dipolaire électrique moyen de l’eau évolue de façon plus erratique et dispersée que si l’eau est pure. La présence des molécules de méthane, mais également leurs mouvements sont en cause. Je vais rédiger une note sur les résultats que j’ai obtenus. En même temps, je continue par une série d’essais de simulation sur l’effet mémoire de l’eau. Bonne prospection à tous sur le sujet.
Jean-Yves
Bonjour,
Toutes ces expériences sont très intéressantes. Je m’étonnerais toujours qu’une telle expérience ne stimule pas l’envie des autres chercheurs de la reproduire ou de creuser dans ce sens… A moins qu’il y ait des pressions…
Je me demande quand l’homme et la presse (notamment par le ton de certains articles (sic)) cesseront de ridiculiser, de piétiner et de jeter à la poubelle les penseurs ou chercheurs qui ont le courage d’avoir des idées qui sortent du commun de ce que la société nous met dans le crâne depuis l’enfance via l’école en premier lieu. Nous sommes éduqués à penser comme des moutons et nous croyons forts que nous détenons LA Vérité…
Il serait temps que l’on se rende compte que la méthode scientifique telle qu’elle fonctionne depuis des décennies est impuissante à démontrer certaines choses… et que l’on accepte un changement de paradigme, nécessaire à l’évolution de notre société.
Il serait temps que l’on accepte de voir les choses sous des angles différents, que l’on soit ouverts aux différentes recherches avec des “pourquoi pas ?”, que l’on travaille main dans la main au lieu de chercher à ridiculiser son collègue chercheur afin de publier en premier, etc.
Pourquoi les expériences de Montagnier n’ont pas été reproduites? Encore un coup à la Boiron (pas ensemble en tous cas)…
encore du bluff et plus c’est gros plus ça passe:
l’expérience n’est pas reproductible (et n’a pas de fondement ni de valeur scientifique), donc il y a doute…
idem pour l’astrologie, les miracles du petit Jésus/papa Noël etc…
donc il y a doute? supercherie plutôt.
Avec la même démonstration que Beneventi et Montagnier je peux prouver que la terre est plate. C’est la même chose ici: l’homéopathie ne prouve rien et ne s’appuie sur rien sauf l’anecdocte et fait sa théorie (depuis Hanneman) à partir d’anecdotes… or c’est l’inverse qui doit être fait: établir une théorie et la vérifier.
De la même façon que l’homéopathie on peut démontrer que la terre est plate:
moi je l’ai vue elle est plate, il n’y a pas de courbure et on n’a pas mal à la tête donc c’est plat.
Or ‘est bien entendu ignorer les lois physiques connues pour en inventer des nouvelles + la terre n’est pas plate, la gravité ça vous dit quelque chose?
Bien sûr cet(te gravité, la masse et l’attraction sont mesurable.
Tout comme le nombre d’atomes contenus dans un liquide(la concentration molaire) qui après une dilution de 10ch est déjà proche de 0.
Or que nous dit l’homéopathie? Que les sciences ont tort et que c’est eux qui ont raison. On peut toujours argumenter que ce sont des pionniers et qu’ils découvrent un champ scientifique nouveau… encore faudrait il qu’il découvrent quelque chose, tout d’abord qu’il soient scientifiques…mais bon quand on commence par dire que la physique et les sciences que l’on connait(et [que l’on]peut démontrer théoriquement et par l’expérimentation) se trompent pour indiquer des résultats qui ne sont pas reproductibles et n’ont aucune rigueur scientifique(voir les avis de la communauté scientifique sur ces soi disant expériences probantes) cela s’appelle au mieux de la supercherie…
La terre est elle plate? L’astrologie et Paco Rabane nous informent? Bien sûr qu’on peut le prouver! sauf que ça oblige à ignorer les réalités des sciences, à les réécrire pour y faire coller une autre réalité; en un mot un mensonge.
Mais ça marche? Ah bon qui dit ça et peut on reproduire l’expérience? Sur quoi cela s’appuie les médicaments homéo(principe actif)? Pourtant mon voisin a essayé l’astrologie/l’homéopathie/la terre plate et comme il l’a viu par lui même(ça c’est scientifique!-ironie bien sûr) cela prouve la véracité de la théorie même si celle ci ne peut être réelle au regard des sciences que connaîtrait un lycéen(calcul du volume molaire = 2nd de lycée).
Mais bon le marabout/professeur/extra-lucide/grand maître qui le dit a forcément raison.. puisqu’il le dit.
Sandra:”Toutes ces expériences sont très intéressantes. Je m’étonnerais toujours qu’une telle expérience ne stimule pas l’envie des autres chercheurs de la reproduire ou de creuser dans ce sens… A moins qu’il y ait des pressions…”
Une expérience c’est avant tout ses résultats qui comptent, or ceux ci n’étant pas possible sauf quand c’est le professeur “Untel” qui les fait indique déjà une piste sur le sérieux de celles ci.
D’autres remarques sur ces expériences et les conditions de celle ci invalides aussi leur résultats. Donc pas besoin de s’étonner s’il n’y a pas de recherches là dessus, c’est simplement qu’il y a supercherie!
Au delà de la mémmiore de l’eau les principes de l’homéo sont:
la similitude, la dilution, la dynamisation et la personnalisation.
Aucun n’a de valeur scientifique mais par contre il est prouvé le contraire.
Alors il existe la mémoire de l’eau? Non seulement un papier de croyants faits par les croyants et prouvant par lui même qu’il a raison, croyant ou est ce gourou Si le mot est fort on parle bien de manipulateur qui font passer des mensonges pour des réalités.
Et comme pour toute manipulation plus c’est gros plus ça passe:
Ce qu’on dit est impossible n’est pas prouvé et remet en cause ce qu’on sait de l’univers sans aucune justification ou preuve possible donc c’est vrai.Il s’agit bien d’un phénomène de croyance, autrement dit l’opposé de la science et l’obscurantisme en général.
Bien sûr ceux qui mettent en question la réalité des mensonges font partie d’une classe dirigeante(la majorité et les scientifiques-les vrais-) ce sont eux qui trichent et font la supercherie, car la croyance en l’homéopathie(remplacer par la pseudo-science que vous voulez) à raison et les autres (ceux qui ont des arguments scientifiques)mentent pour masquer le Grand Complot…
Une affirmation n’est pas un fait. Un fait n’est pas une science, un résultat (anecdote)n’est pas une règle générale. Une théorie doit être vérifiée par des fait probants(tests avec protocoles stricts pour éviter justement de nous laisser influencer par une interprétation à posteriori).
C’est comme cela que nous humains avons fondés des sciences et pouvons nous y fier.
La manipulation mentale, la superstition et les croyances sont l’exact opposé mais c’est aussi notre système de fonctionnement.
Notre imagination doit être pondérée par notre sens critique.
Il y aura toujours des gens qui ont besoin de voir et de mesurer, c’est humain. Le doute est normal dans toute réflexion.Cependant sii vous coupez un fil électrique, vous vous ne voyez rien d’écouler et pourtant personne ne doute plus que quelque chose passe dedans et entraîne une réaction à son extrémité. L’homéopathie comme l’acupuncture sont pareillement des techniques qui utilisent l”énergie.
Leur action est immédiate et évidente à l’examen clinique d’un patient à condition d’utiliser une méthode précise pour sélectionner le bon produit à la dose efficace. L’eau peut effectivement être “chargée” avec des ondes et son efficacité thérapeutique est excellente à condition d’avoir sélectionné les bonnes ondes pour chaque cas. Il n’y a rien de magique là dedans et c’est cliniquement évident.
Bonsoir, je vais me permettre de laisser un commentaire, excusez moi si il y a des fautes d ortographes car je ne suis pas un habitant de la France.
Je ne vais pas parler d homeopathie car je n ai pas beaucoup d experience avec ce sujet mais je peux dire que l information existe. Nous sommes fait de matiere, d energie et d information. Dans notre ADN l information est inscrite avec un alphabet de 4 lettres qui est A, T, C,G puis qui esr convertis en ARN messager, avec ces lettre nous formons des mots composes de 3 lettres qui sont les acides aminnes GAU,GAG,GAA etc….. Si ces mots ne sont pas formes de bonne lettre l information pert sont sens. Comme si j inverse dans le mot FRANCE les lettres, par examples ANCEFAR nous avons les memes lettres que dans le mot France mais le sens n est pus le meme, nous ne comprenons plus l information. Notre corp est un logiciel beaucoup plus complexe que tout ordinateur. Nous avons fais des recherches a l institut de Protopov a Kiev sur l electrophysiologie et l electrobiophysique des cellules excitables.
Nous avons prouves en 1989 qu il etait possible de transmettre une information sur un recepteur membranaire et que par consequant la cellule allait produire un potentiel d action. Cette information etait transportee par un champ electromagnetique de 5hz. Jusqu a la nous savions que l information dans notre systeme nerveux pouvait se transmettre soit par un neurotransmetteur soit par une impulsion electrique.
Des chercheurs nous on montrer qu il estait possible de coder les informations d un livre et de les envoyer sur une synapse dans notre systeme nerveux, nous pourrions alors avoir appris tout ce qu il y a dans ce livre sans l avoir lu. Ceci a l air comme de la science fiction mais c est bien reel. Nous avons le meme adn dans toutes nos cellules, nous savons bien que nous captons les champs magnetiques par nos yeux, donc l information nous arrive par cet organe, pourquoi l information ne pourrait pas emprinter un autre chemin et etre transmis a un autre groupe de cellule puisque nous avons le meme adn dans chaque cellule. Le sujet est la memoire de l eau, c est pourquoi je vais dire ce qu on a fait par la suite apres avoir fait ces decouvertes.
Nous avons par la suite magnetiser de l eau avec un champ electromagnetique de 5hz qui etait porteur d informations( nombre binaire) que l on a fait au debut directement sur les cellules. Nous avons par la suite mis en contact l eau avce ces cellules, celle ci reagissait en produisant les memes potentiel d action que que dans la premiere exoerience ou elle n avait jamais etees en contact avec cette eau . Nous n avons pas pus prouver ou mieux dire demontrer comment l eau gardait cette information. Je pense que nous n avons pas encore les techniques necessaires a l heure actuelle pour le demontrer mais que dans un futur proche cela serra possible. Nous avons retenus l hypthese que les molecules d eau avaient piegees entre elles les champs magnetiques et c est pourquoi l eau gardait ces informations si on peut dire memorisees, mais c etait qu une hypothese qu il faut dans le futur prouver.
Je voudrais apporter une petite pierre à l’édifice. chercheur pendant 30 ans dans une entreprise d’état j’ai beaucoup travaillé sur les propriétés de l’uranyle. Cet ion placé en milieu acide (pour simplifier) présente une fluorescence importante. Pour éteindre la fluorescence il existe des inhibiteurs normalement de deux types: soit dynamiques ( collisions désactivantes ), soit statiques (complexes de coordination). Dans les deux cas il faut que les concentrations uranyle-inhibiteurs soient du même ordre. Mais il suffit d’une infime quantité de thallium pour obtenir l’extinction complète et immédiate. Aucune explication valable n’étant donnée à ce phénomène je ne peux qu’invoquer une restructuration trés rapide de l’eau solvant. Compte tenu des vitesses de diffusion ioniques (Nernst) il ne reste que les ondes pour justifier les effets observes
Merci M.Paris pour votre mise au point très intéressante!
J’ai bien connu le docteur Benveniste, étant un lointain parent. Je veux bien être suspecté à ce titre de partialité, et c’est donc pour cela que je le mentionne!
Mais je me borne à rapporter des paroles prononcées quelques mois avant son décès, quand je l’ai interrogé sur la non-reproductibilité de ses expériences.
Il avait constaté qu’une personne en particulier dans son laboratoire placée à moins d’un mètre environ de cette expérience la faisait échouer et cela d’une manière systématique. Après avoir creusé un peu la chose, il était arrivé à la conclusion qu’environ un quart des personnes prises au hasard étaient capables d’interférer avec l’expérience et de la faire échouer, sans rien faire de particulier, sinon d’être là.
Au lieu de ridiculiser cette assertion par un commentaire moqueur, je pense qu’il serait assez utile et facile de la vérifier d’une manière systématique et scientifique.
Je crois savoir par ailleurs que trois machines automatiques n’impliquant aucun interférence avec un être humain ont déjà été mises au point et que dans ces conditions l’expérience de Benveniste marche à plus de 96 %.
@ Jean-Jacques Benveniste
Nous avons rencontré en 2008 Francis Beauvais , un chercheur qui a bien connu Jacques Benveniste et son équipe, à l’occasion de la parution d’un gros livre dans lequel il réexamine méthodiquement toutes les expériences réalisées. Il le fait sans a priori, avec le souci de comprendre. Comme je le rapporte dans un encadré de l’article (https://www.ouvertures.net/la-memoire-de-leau-et-apres/), eh bien, même avec le robot complètement automatique qui effectuait lui-même le codage, le système répondait comme prévu tant que l´expérimentateur habituel de Benveniste était là, mais après le départ de Benveniste et de son équipe, il n´y a plus eu aucun effet, ni avec les produits supposés actifs, ni avec les témoins.
L’homéopathie n’a encore jamais prouvé le moindre effet supérieur à un placebo et ce n’est pas faute d’essais. Quant à Mr Montagnier, pour qui j’ai le plus grand respect, je ne peux l’imaginer n’être qu’un bonimenteur et se faire embobiner par son équipe n’est pas drôle ! Ce vieux Monsieur devrait plutôt se reposer…
il est vrai que l’on n’a pas prouver scientifiquement l’efficacité de l’homéopathie et comme le dit Michel c’est pareil à un placebo, seulement dans certains cas d’expériences à l’aveugle on a prouvé que le placebo était bien plus efficace que le médicament allopathique et si l’homéo à la même efficacité que le placebo on se fait rouler dans la farine en payant une fortune certains médicaments allopathiques qui pourraient être remplacés par de l’eau informée et du sucre. que l’on critique ou non l’expérience de Montagnier dans 20 ans j’espère moins on aura des appareils suffisamment fins pour détecter ce qui nous échappe encore aujourd’hui, l’information véhiculé par les ondes et les relations entre les émetteurs et les récepteurs.
Concernant le capteur electromagnetique USB utilisé dans l’expérience (que l’on voit en photo), est-ce que quelqu’un à une idée du modèle, marque? Je recherche un équipement du même style.
Merci par avance pour toute information sur le sujet
Bonjour,
Voici quelques nouvelles de simulations dynamiques moléculaires que j’ai effectuées sur mon PC en amateur :
Les temps de persistance de cavités après le départ de petites molécules d’hydrocarbures sont très courts (quelques dizaines de picosecondes pour le néopentane) mais le temps de persistance augmente exponentiellement avec la taille de la molécule. Je poursuis actuellement les simulations avec l’ion phosphate qui est un élément de structure de l’ADN.
D’après un programme émulateur de statistiques, si on a un ensemble de cavités, le temps maximal de survie d’au moins une cavité encore présente au bout augmenterait avec le logarithme du nombre de cavités initialement présentes dans un échantillon. C’est en projet de le vérifier en simulation dynamique moléculaire.
La fluctuation du moment dipolaire moyen (qui engendre un signal électromagnétique) d’un ensemble de molécules d’eau et de molécules de méthane a une période de décorrélation plus longue que dans le cas de l’eau pure (elle est supérieure à 300 picosecondes contre 200 picosecondes pour l’eau pure. Tester des molécules d’hydrocarbure plus grosses ou des molécules polaires ou ioniques est en projet.
Je contacterai un centre de calcul pour voir si le projet les intéresse de travailler sur un oligomère d’ADN utilisé pour les PCR (pour 18 paires de bases, il contient quand-même entre 1200 et 1500 atomes, sans compter peut-être 1000 molécules d’eau environnantes, ce qui est au dessus de mes capacités de calcul actuelles).
Bon week-end à tous
Jean-Yves
Merci pour ces expériences Jean-Yves, quand on cherche on trouve!!
Sciences et Avenir révèle dans son numéro de mai 2017 que le Pr Montagnier commercialise sous le manteau un test de détection de la bactérie Borrelia, responsable de la maladie de Lyme, basé sur les expériences décrites dans cet article : https://www.facebook.com/Ouvertures/posts/1274090619342636
Bonjour,
Merci Eric Lombard pour le lien sur la maladie de Lyme. Il y a encore des polémiques au sujet de remèdes à base d’huile essentielle. On manque en France de pragmatisme ou bien il y a encore des luttes d’intérêt.
Par curiosité, je vais chercher la formule chimique de l’huile essentielle de sauge.
Pour Mr Boulanger : On trouve … et je peux vous dire que parfois en se trompe ! Je suis en train de reprendre un mois d’essais de simulation sur le temps de persistance de cavités laissées dans l’eau par l’ion phosphate … essais qui à la suite d’un mauvais paramétrage des charges électriques, donnent des résultats finalement bizarres. Il faut un peu de détermination pour tout reprendre, mais le jeu en vaut la chandelle. Quand tout est préparé correctement, effectivement cela marche déjà mieux ! Jour après jour les résultats tombent … seuls juges.
Bon week-end
Jean-Yves.
Bonjour,
Pendant que les simulations dynamiques moléculaires se poursuivent (Les simulations sur le phosphate donnent des résultats mieux crédibles à présent), voici les questions de fond sur lesquelles je m’appuie pour vérifier l’hypothèse d’un possible effet mémoire de l’eau :
1) Quel rôle joue la structure chimique (et les propriétés) des molécules étrangères dans l’eau ?
2) Le phénomène de la mémoire de l’eau qui paraîtrait relativement persistant à l’échelle de temps humaine pourrait-il résulter de la moyenne de fluctuations à l’échelle de temps moléculaire ?
3) Existe-t-il un effet de coopération qui induit que même si à l’échelle moléculaire le temps de mémoire est très court vis à vis une molécule de substance isolée, ce temps est rallongé vis à vis un groupe de molécules du fait d’interactions qui peuvent exister (par exemple électromagnétiques) entre ces molécules ?
4) Cet effet mémoire est-il une mémoire de la forme des molécules ou de leur perturbation en terme d’interactions (électromagnétiques) ( ou même les deux) ?
Et de leur côté, les expérimentateurs ont-ils repris leurs essais de réplication de l’ADN ?
Si les constatations expérimentales sur l’ADN (bonnes ou mauvaises) reste sans suite, il n’en reste pas moins que l’hypothèse d’un effet mémoire (structurel ou basé sur des interactions) pourrait expliquer certains phénomènes physicochimiques de l’eau encore mal connus. Cette hypothèse pourrait-elle alors être applicable à d’autres liquides ?
La bataille de la mémoire de l’eau ne serait ainsi pas complètement perdue même si “le poisson était un peu noyé” au niveau expérimental.
Bon week-end.
Jean-Yves.
Bonjour,
Je viens de terminer des séries d’essais de simulation dynamique moléculaire sur la durée de persistance de cavités laissées par un ou deux groupements phosphate chargés (comme ceux qui sont présents dans la double hélice de l’ADN) en mouvement libre et non solidaires (comme des ions quelconques en solution) au milieu des molécules d’eau.
Les groupements phosphate ainsi que les cavités qu’ils laissent après l’annulation de leur champs de force, se meuvent beaucoup. Les cavités se déplacent sous l’effet des mouvements des molécules d’eau. Elles sont entourées au début de leur existence par des chaînes de molécules d’eau reliées entre elles par des liaisons hydrogène. Ces chaînes ont une structure assez ordonnée. Les atomes d’hydrogène libres (qui ne sont pas engagés dans des liaisons hydrogène) des molécules d’eau sont tournés préférentiellement vers l’intérieur des cavités. Le réseau filamenteux ainsi constitué se disloque petit à petit avec le temps. Les temps de persistance sont assez longs à l’échelle des temps moléculaires (de l’ordre de la centaine de picoseconde) mais il n’y a pas d’effet notable de coopération qui augmente la durée moyenne de persistance des cavités : pour des séries de 30 essais, le temps de persistance moyen est augmenté de seulement 10% avec un degré de certitude inférieur à 40 % quand on compare les essais avec deux cavités vis à vis de ceux avec une seule cavité.
Pour se rapprocher des caractéristiques structurelles de l’ADN dans lequel les groupements phosphate sont liés entre eux par un ribose et ont une vitesse de diffusion lente devant celle des molécules d’eau du fait de la masse importante du brin d’ADN, de nouveaux essais ont débuté avec un ou deux groupements phosphate fixes au milieu des molécules d’eau. Lorsque deux groupements phosphate sont mis en oeuvre dans les essais, ils sont séparés par une distance de 5 à 6 angströms (qui est à peu près la dimension du ribose). Je suppose également que les cavités restent immobiles après l’annulation du champ de force des groupements phosphate (en partant de l’hypothèse que la structure que laisse le brin d’ADN après son départ garde sa forme au milieu des molécules d’eau). D’après les premiers essais effectués, les temps de persistance sont alors sensiblement plus courts que quand les groupements phosphate et les cavités sont mobiles. Le but de ces essais est toujours cependant de rechercher un effet de coopération qui allonge le temps de persistance moyen des deux cavités par rapport à une cavité seule. Si cela est constaté, on aura un indice qui permettrait de justifier un effet mémoire de l’eau vis à vis d’un brin d’ADN et que sa structure a une importance.
Pour l’instant il y a 3 essais comparatifs effectués. Même si les premiers résultats obtenus vont actuellement dans le bon sens (!), c’est trop tôt pour conclure, les variations statistiques réservant parfois certaines déceptions (…).
Pour ce qui est d’une explication quantique de la mémoire de l’eau, j’espère que l’on en reste pas à la prose et que des formalisations mathématiques vont voir le jour ainsi que des expériences variées sur différents types de solutés dans l’eau. Les conférences du Professeur Marc Henry sur le sujet que j’ai pu trouvé sur le web sont intéressantes.
Jean-Yves
Bravo monsieur pour ce témoignage et vos expériences qui apportent des éléments de réponse ou du moins des réflexions sur la mémoire de l’eau.
La passion qui vous anime fait chaud au coeur et je vous encourage à poursuivre vos travaux.
Merci et à bientôt.
Bonjour,
Merci, Monsieur Dupin pour vos encouragements et l’intérêt dont vous témoignez pour mon travail.
Je prends plaisir à effectuer ces essais de simulation dont certains vont dans le bon sens pour illustrer un effet mémoire de l’eau. C’est bien dommage que le Docteur J.Benveniste a subi un tel désaveu scientifique de la part de chercheurs parfois éminents (Gilles de gennes, Georges Charpack) qui ont pourtant du eux aussi parfois batailler de longues années pour faire entendre leurs résultats. Le livre du Dr J Benveniste “Ma vérité sur la mémoire de l’eau” est très intéressant et passionnant. Je ne suis pas étonné de l’aigreur du DR J Benveniste devant le contexte dans lequel il s’est retrouvé à la suite de ses expériences sur la mémoire de l’eau. J’ai moi aussi travaillé dans la recherche (doctorat) et je sais que l’on ne peut pas dire tout ce que l’on suppose ou observe comme on veut. Il est vrai qu’il faut respecter un ordre des choses notamment quand on est jeune chercheur, bien que l’on jouit aussi d’une certaine liberté qui disparaît quand on devient chercheur professionnel. Le Dr J. Benveniste en a fait les frais malgré sa renommée. En temps que chercheur amateur sur le domaine, je prends pour le moment peu de risque en travaillant seul et en communiquant sur un espace de convivialité comme celui-ci.
Il y a maintenant de nombreux chercheurs qui poursuivent les investigations sur la mémoire de l’eau (Professeurs L.Montagnier, M Henry, Pr Vitiello …). J’aime bien leur état d’esprit en temps que chercheurs. C’est finalement une grande aventure à laquelle je serais heureux pour ma part d’apporter en toute humilité ma petite pierre.
Jean-Yves
Bonsoir Monsieur DOLVECK,
En plus de vos recherches minutieuses, vous prenez le temps de les commenter et de répondre sur ce forum. Votre travail vous honore et nul doute qu’il sera à hauteur de vos espérances.
Bonne soirée étoilée.
Denis DUPIN
Bonjour à tous,
Quelques nouvelles de cette semaine :
Je note au fur et à mesure de mes essais de simulation qu’effectuer une étude statistique est en fait très important : Outre les valeurs moyennes des données obtenues, les “effets de pointe” sont également à considérer. Il faut faire un certain nombre d’essais pour tomber sur un résultat qui sort du peloton et qui a une valeur d’indice, même s’il influe peu en fin de compte sur la moyenne. Le Dr J. Benveniste en avait déjà fait la constatation lors de ses essais sur la dégranulation ou l’appareil de Pogendorff (avec un coeur de cobaye). Le Pr Vitiello signale d’ailleurs que l’expérience du laboratoire italien ne marche pas toujours.
Quel lien peut-on faire avec l’efficacité de l’homéopathie par exemple dans ce cas ?
Sur le plan médical, tous les patients ne sont pas satisfaits de l’homéopathie comme également d’ailleurs, de l’allopathie qui n’est pas toujours une médication efficace. En effet, par exemple il est reconnu que pour un rhume (!), il n’y a pas de remède miracle et tout au plus on peut diminuer l’intensité des symptômes. (Les virus mutent beaucoup mais ce n’est peut-être pas la seule raison). Parfois un traitement homéopathique soulage aussi bien (je l’ai moi-même expérimenté).
Ce qui me surprend personnellement dans ces expériences (en ce qui me concerne, des simulations dynamiques moléculaires), c’est que les résultats ne se présentent pas de manière conventionnelle : (hypothèses, modèle et prédictions —> expériences —> résultat conforme ou non conforme —-> validation ou invalidation). La réponse ici est en fait beaucoup moins tranchée. L’approche du phénomène de mémoire de l’eau (et transmission électromagnétique) par la théorie de la mécanique quantique serait la plus prometteuse (cf le Pr Marc Henry de l’université de Strasbourg).
Pour ma part, je ne peux relever pour l’instant par mes essais de simulation dynamique moléculaire que des indices de probabilité de vérification des observations expérimentales puisque je possède des moyens de calcul restreints (bien que déjà efficaces en fin de compte). Il faudra passer par un centre de calcul, mais les prix des prestations sont élevés en raison du nombre d’heures de mobilisation des consoles nécessaires. Le Pr Marc Henry, que j’ai contacté sur un blog du journal Santé résumant une de ses interwiews, est ouvert à une investigation de plus grande envergure car les moyens de calcul sont conséquents dans son laboratoire. Pour ma part, j’attends d’avoir une synthèse un peu plus précise et exhaustive des résultats que j’ai obtenus avant de souhaiter le contacter plus officiellement. J’ai encore 15 jours d’essais à effectuer. Je pense que je ne serai pas complètement bredouille au regard des essais déjà effectués.
Bon week-end.
Jean-Yves.
Bonjour,
Je continue toujours à faire mes simulations dynamiques moléculaires sur l’eau et je m’intéresse au comportement de l’eau en présence d’un champ électromagnétique (alternatif oscillant) dans le but de comparer les résultats obtenus entre des molécules d’eau “classiques” et des molécules d’eau “activées” que l’on aurait dans les domaines de cohérence selon la théorie du Pr italien G.Préparata et du Pr M.Henry.
Or voici que je place 8 molécules d’eau dans une petite boite de simulation (dont je me suis aperçu après coup qu’elle était un tout petit peu trop grande pour représenter la densité moléculaire moyenne avec précision dans l’eau). Pour certaines fréquences du champ électromagnétique, les huit molécules d’eau se sont arrangées en un petit cerceau relativement bien circulaire en se tenant les unes les autres par les “liaisons hydrogène”. J’ai repris ensuite les essais de simulation avec une boite plus ajustée par rapport à la densité moyenne de l’eau mais la place manque pour que le cerceau puisse apparaître, bien que les résultats numériques que j’ai obtenus semblent plus en accord avec les prédictions théoriques et le comportement expérimental des propriétés diélectriques de l’eau. L’eau n’est cependant probablement pas un milieu de densité moléculaire homogène à petite échelle et il n’est pas impossible que des structures particulières apparaissent dans des zones au sein desquelles la densité moléculaire locale est plus faible, lors d’une stimulation électromagnétique.
Le lien entre cette expérience et un effet mémoire de l’eau n’est pas immédiat mais l’investigation pourrait apporter quelques résultats intéressants puisque l’action des ondes électromagnétiques sur l’eau est une piste d’explication.
Mes essais sur les ions groupements phosphate n’ont rien donné de plus : il n’y a pas d’effet coopératif significatif entre les groupements phosphate sur le temps de persistance des cavités moléculaires. En fait on soupçonne plutôt les groupements phosphate d’être le siège de transfert fluctuant d’électrons donc de charges électriques et donc de générer un champ électromagnétique autour de la molécule d’ADN. Mais les structures hydrocarbonées (des riboses et des bases de l’ADN) qui laissent ainsi des cavités moléculaires dans l’eau sous l’effet du mouvement (de la molécule d’ADN), abaissent la densité moléculaire locale et permettraient probablement aux molécules d’eau situées dans ces zones de s’organiser en structures particulières. … investigations à poursuivre. Que va-t-on obtenir avec de l’eau “cohérente” ?
Jean-Yves
@Jean-Yves DolvecK
Monsieur,
Merci pour vos lumières, votre approche professionnelle et rationnelle me plaît.
Je préviens tout de suite que je suis à classer parmi les profanes, qui s’intéressent à la physique quantique.
– Pour démarrer le sujet sur la polémique, je me demande comment le Pr Montagnier (respect !) peut espérer exploiter avec un capteur téléphonique et un environnement bruité, des signaux qu’émettraient des molécules d’eau ou d’ADN dont l’ordre de grandeur des signaux électromagnétiques est infiniment plus faible, pour moi il aurait été abusé. Quels signaux, quelles fréquences superposées détecter, je ne vois pas appliquer de transformées de Fourrier sur des signaux aussi intriqués, le bruit blanc l’emportant d’ailleurs massivement sur celui d’une pauvrette molécule. On est peut-être même plus apte à détecter le rayonnement à 3K. L’analyse de l’ADN serait plus pertinente en diffraction ou avec un MET, non ?
– Ensuite, considérant vos travaux, je me demande avec combien de molécules vous travaillez dans votre simulation. J’imagine qu’avec 8 molécules d’eau on n’est pas encore à la limite de ce que les modèles quantiques (Hartree-Fock ou autres ?) permettent d’aborder, mais je n’imagine pas la puissance de calcul aujourd’hui pour étudier le comportement (encore quantique ?) de molécules de taille très importante (protéines).
– Entre le modèle informatique et la réalité, le cartésianisme recommanderait votre approche (décomposition réductrice en problèmes de complexité croissante). Mais comment nommer à cette échelle la faible inertie des quelques molécules d’eau de votre modèle, aisément perturbées par la présence / disparition d’une molécule en leur sein ? Hors simulation, le comportement d’une quantité phénoménale de molécules ne permettrait-il pas d’ “amortir” les perturbations induites par les molécules “incluses” ? Auquel cas la persistance des cavités serait accrue ?
Pardonnons cette approche par trop simplificatrice, mais le bon sens est perturbé sans outils adéquats à cette échelle.
Bonne continuation et merci pour vos travaux.
Bonjour,
Merci pour ces encouragements.
Pour répondre à vos remarques Mr T., je me suis procuré la publication du Professeur Luc Montagnier. Le système d’analyse et d’exposition aux signaux électromagnétique y est en fait explicité de manière assez sommaire. L’analyse de l’ADN a été effectuée par séquençage après amplification génique par PCR (polymérisation par réaction en chaîne) qui permet d’augmenter considérablement la quantité d’ADN à l’identique. La justification théorique invoque l’existence des domaines de cohérence et, les auteurs l’avouent quand-même, il y des maillons manquants dans la chaîne des explications. Cette expérience très médiatisée a fait donc l’objet d’une publication dans une revue scientifique avec comité de lecture. On s’attache beaucoup à critiquer ou dénigrer les résultats trouvés mais pour ma part je cherche des preuves (publications) de la contre-expérience. Avec un peu d’humour … Voyons voyons … Y a t’il un ou des laboratoires qui ont fait ces contre-expériences ? Cela devrait d’ailleurs être très médiatisé, la preuve d’un canular … non ? Je recherche ces contre-expériences (pas des “preuves” par de longs discours “cartésiens”) ! … Toute aide est d’ailleurs bienvenue en toute sympathie. Aussi, en ce qui me concerne, faute d’avoir trouvé la preuve expérimentale du contraire je crois pour le moment en la réalité des résultats des expériences du Professeur Montagnier.
le problème est il est vrai, complexe à étudier un simulation dynamique moléculaire (taille des boites de simulation, nombre de molécules, 125 à 216 dans mes essais). Effectivement il faut balayer du geste certaines conjectures. mais il y a quand-même certains résultats de simulation qui attisent aussi la curiosité pour aller plus loin. Je recherche aussi des travaux effectués dans cette direction.
Sans prétendre être un “grand chercheur fou” à mettre à l’index, je cherche à mon niveau. Durant mes années d’études en laboratoire, on était en ébullition devant l’hypothèse de la fusion froide qui a mobilisé tout le labo … pour ne rien trouver sur le coup ! Et pourtant, des années après seulement, enfin on a compris ce qui s’était réellement passé ! Il n’y a de honte que pour ceux qui n’aiment pas la recherche.
Bien cordialement.
Jean-Yves
Bonjour M. Dolveck,
Merci de votre attention.
J’ai reçu hier un mail renvoyant à https://www.alternativesante.fr/homeopathie/homeopathie-la-contre-attaque
Le sujet est brûlant (sujet : déremboursement de l’homéopathie, santé) mais personnellement je n’exprime aucun avis.
On y lit : “L’arrêt du financement de 18 types de traitements – dont les plantes médicinales, la glucosamine-chondroïtine, les antioxydants… et l’homéopathie, présentée comme n’ayant « aucune preuve solide de son efficacité clinique ».”
Vous n’ignorez pas qu’il faut souvent déployer plus d’énergie pour contrer un argument que pour l’énoncer.
On peut rester dubitatif, mais être d’accord pour accompagner la recherche d’une interprétation.
Je me prêterai volontiers au jeu en faveur de votre position parce-que j’aime la Recherche.
Mais il faudrait pouvoir éclaircir des zones d’ombres.
I) Revenons d’abord aux doutes : il est surprenant de voir sur
https://www.youtube.com/watch?v=a_2_Qap3G1s
1) que le capteur (à 14’12s) à induction électromagnétique (“le transducteur”), est du genre utilisé pour capter (et amplifier) le son (de vieux téléphones S63 par exemple) ! Pas de refroidissement des équipements visible (qui permettrait de stabiliser l’expérience et la rendre plus aisément reproductible).
– comment un bobinage à bande passante réduite peut-il capter une onde émanant d’une molécule, dont la fréquence de résonance est de l’ordre de plusieurs dizaines de milliers de GHz ? Même capteur que le Dr J. Benvéniste à 40’20s.
2) si on regarde l’écran de son PC sur la vidéo, le Pr Montagnier révèle des basses fréquences. Que capte-t-il en basses fréquences ? Que caractérisent-elles ? En plus, des pics de fréquences se superposent, cela fait beaucoup de signaux en basses fréquences, apportant une information étonnamment riche. Les graduations des axes ne sont pas lisibles. Des fréquences de résonance sont presque lisibles à 34’17s.
– l’énergie de “vibration” des molécules est infime. L’expérience met en rapport des ordres de grandeurs trop différents. On n’est même pas dans le cas d’une IRM avec des champs EM énormes.
Quelle amplification parvient à dépasser le bruit même de l’électronique ? L’agitation thermique des composants est-elle compensée, à l’instar des caméras thermiques utilisées en astronomie ?
– quel algorithme de traitement du signal est utilisé, pour représenter ainsi clairement des signaux superposés ? Extraire un signal aussi clairement d’un bruit blanc serait prodigieux. D’où mon analogie précédente au rayonnement fossile.
3) A 8’50s, l’écran montre un message pas très engageant (qui ne suscite aucune réaction) : “Windows n’a pas été arrêté correctement”, que tout le monde ou presque a déjà rencontré …
A ce point, je m’interroge déjà sur les conditions de maîtrise et reproductibilité des mesures, l’amplitude des signaux, les fréquences étudiées, la quantité d’information traitée, l’absence de réaction du Pr devant un écran d’erreur, le flou des graphiques, …
Il ne faudrait pas que l’instrumentation crée des mystères ou des artefacts.
II) Eléments de réflexion en faveur de l’expérience :
– le codage du vivant opère par la magie d’un alphabet réduit à 4 lettres : A, C, T, G, sans vouloir évoquer l’Uracile et les expériences qui ont pu créer des bases de synthèse (X, Y).
Une explication déterministe téléologique nous enverrait vers la métaphysique. Si vous possédez des éléments expliquant les propriétés émergentes à chaque niveau du vivant vous êtes un Maître : énergie, particules, atomes, molécules, protéines, cellules, tissus, être vivant, société … pour faire très court.
Rares ceux qui tutoient les premiers niveaux de complexité … la thermodynamique peut-elle tout expliquer ? Je ne vois pas d’algorithme de compression de données dans le vivant, qui permettrait de faire fi du hasard opéré en 4 milliards d’années sur Terre.
Le système immunitaire est tellement élaboré qu’on finirait bien sa vie en prenant le pari de l’explication divine, à l’instar de Pascal.
Le Pr Montagnier est une figure incontournable qui poursuit sa quête de démystification, et dans ce cadre doit être collectivement soutenu.
– Si l’on visualise la vidéo sus-citée et https://www.youtube.com/watch?v=7tva66YGzsA qui abordent les domaines de cohérence, on voit tout de même plus loin, juchés sur les épaules de géants.
– A 40’33s, la vidéo du Pr Montagnier montre un article sur “Human basophil degranulation triggered by very dilute antiserum against IgE.” lisible sur Internet : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/2455231 Les IgE sont contenus dans les mastocytes (qui contiennent également des IgG) et dont le contrôle de la dégranulation
laisse espérer de chroniciser des cancers, mais aussi des maladies inflammatoires et dégénératives du système nerveux (évoquées dans la vidéo) ; le Pr Olivier Hermine travaille sur une molécule appelée “masitinib” avec une société privée sur le sujet, société qui rencontre des barrages et on peut s’interroger sur la connexité des sujets.
– la dualité onde-corpuscule est un pilier de l’étude, la mécanique quantique sous-jacente a déjà tellement offert de solutions et d’applications qu’on ne peut négliger aucune piste.
Voilà pour ce jour, je tenterai d’approfondir le sujet si je dispose d’assez de temps.
A bientôt je l’espère.
Bien cordialement.
Bonjour et a l’attention de Mr Truny,
Merci pour vos remarques et les liens internet.
Il est clair que le matériel utilisé pour l’expérience de transduction de l’ADN paraît rudimentaire. Les auteurs de l’expérience ont pris soin toutefois de mettre la bobine transductrice dans un cylindre en mu-métal : on voit effectivement cet acte d’introduction de la bobine dans le cylindre dans la vidéo de l’émission. Je ne me souviens pas avoir vu si les câbles électriques utilisés étaient blindés. (L’ordinateur l’était-il ?) … Effectivement, le rayonnement fossile pourrait probablement être un piège dans l’expérience.
Par ailleurs, dans la vidéo de l’émission, on voit que les tubes sont manipulés, une fois scellés certes, à mains nues. Personnellement, ayant travaillé en génétique auparavant, j’aurais porté des gants pour manipuler les tubes afin d’éviter tout risque de contamination accidentelle. Le laboratoire n’avait toutefois jamais travaillé sur le type d’ADN transcrit.
Pour moi, la meilleure façon de trancher sur la validité de l’expérience, c’est de la refaire avec les améliorations qu l’on peut lui apporter. Je dirais, avec certes un certain toupet mais sans plus de prétention, que “j’attends ! …”
S’il est effectivement socialement, philosophiquement ou économiquement “dangereux” pour le moment de vérifier ipso facto cette expérience d’ailleurs très (voire peut-être trop) médiatisée – et c’est peut-être ce qui rend la question de la vérification épineuse – on peut toujours le faire plus discrètement dans des laboratoires spécialisés. Certes, les personnes curieuses comme vous et moi vont peut-être “rester sur leur faim !” sans savoir le “mot de la fin”.
Peut-être connaît-on quelque part d’ailleurs déjà la réponse (?).
Pour ce qui est des explications théoriques, il y a effectivement plein de pistes dont certaines me paraissent – cela n’engage que moi de le penser ici – parfois un peu “fantasmagoriques” tout en considérant toutefois la qualité et l’originalité des démarches analytiques qui leur sont associées : on apprend un fait autant dans les méthodes d’investigation analytique que dans la physique même de l’eau. Pour dire les choses avec humour : si même un canular fait progresser la science ! alors tant mieux ! D’ailleurs, le passé nous enseigne que cela est arrivé plus d’une fois.
Pour expliquer mon entêtement avec les simulations dynamiques moléculaires sur ce sujet complexe, je peux dire sans être un spécialiste chevronné que j’ai fait auparavant des simulations dynamiques moléculaires sur les propriétés physiques connues de l’eau : elles ont bien marché avec des résultats conformes avec la réalité expérimentale, ainsi de même avec des diagrammes de distillation des alcanes, des diagrammes de phase ternaires, la structure des alcools liquides … quand les résultats des simulations donnaient des écarts avec la réalité expérimentale, j’en ai trouvé les explications. Oui ; les cas d’école, ça marche bien ! Finalement avec la “mémoire de l’eau” on sort du cas d’école : les mises en oeuvre deviennent délicates. les résultats deviennent “incertains”, les pièges et les conjectures sont nombreux … et c’est bien plus intéressant ! Mais également cette investigation n’est pas totalement ingrate et c’est ce qui me pousse à la continuer. Cela peut faire sourire et susciter l’humour ; pourquoi pas ? En même temps moi non plus je ne me prends pas toujours au sérieux ! Quand je vois la polémique sur la mémoire de l’eau tourner parfois à des “discussions de comptoir”, je me dis que j’ai (on a) encore le temps …
Bien à vous.
Jean-Yves.
M. Truny, vous aspirez à ce que l’expérience du Pr Montagnier soit dupliquée et améliorée. Eh bien, j’ai transmis il y a deux ans à celui-ci deux idées d’expériences proposées par des biochimistes qui devraient permettre de trancher, mais il ne m’a jamais répondu.
https://www.ouvertures.net/pr-montagnier-sourd-aux-interpellations-de-biochimistes-sur-ses-experiences-sur-la-memoire-de-l-eau/
Et je ne suis pas sûr que d’autres chercheurs aient envie de s’engager dans cette controverse avec un chercheur qui ne fournit pas les détails de ses conditions expérimentales.
M. Lombard, M. Dolveck,
Merci, j’ai consulté les messages détaillés et qui collent de près aux considérations sur l’expérience du Pr. Montagnier.
Elle est à la rencontre de la physique quantique, de la médecine (biologie / chimie / immunologie …), de l’électronique, de l’informatique, des statistiques, … autant de domaines requérant des experts de haut niveau, mais dont la logique d’ensemble réside dans l’algorithme informatique. Le PC pilotant l’expérience connait les caractéristiques physiques du capteur, ce qui est attendu, arrive avec des signaux à reconstituer des séquences de nucléotides, etc. Les graphes de fréquences affichées sont explicables.
Toute expérience part d’un “cahier des charges”, de modèles, il y a des hypothèses, des raisonnements à démontrer, des étapes, des résultats à exprimer avec des unités, des tableaux, etc.
Ici, rien de tout cela n’est présenté et la vidéo fait redouter de l’enfumage de profanes.
Il faut solliciter et obtenir des communications tangibles.
Le Professeur n’est pas l’expérimentateur dans la vidéo, mais comme M. Jamal Aïssa a eu la chance de coopérer avec le Dr Jacques Benveniste, il devrait pouvoir présenter sa démarche et les procédés.
S’il s’agit d’une recherche avec des brevets à la clé, on se souvient de la lutte pour la reconnaissance de paternité du VIH, traumatisante.
S’il s’agit d’un projet qui peut être partagé, on attend que lumière soit faite, le cœur de l’étude est dans l’algorithme. On bon programme ne comporterait pas d’ “artefacts” ou ceux-ci ne seraient pas insolubles.
Bien à vous.
Rémy Turing
Bonjour,
Mes excuses pour l’orthographe de votre nom, Mr T. mais ma vue n’est pas très bonne et je ne suis pas très littéraire. Un moteur de recherche ne vous trouvera cependant pas avec votre patronyme. Ce fut mon cas avec le message de Pierre qui pourtant était intéressant puisqu’il m’a permis d’aller plus loin dans mes investigations même si elles ont pris un an de plus pour tout vérifier.
Je partage ce que vous dites, E.L. Moi aussi j’ai écrit au Professeur Luc Montagnier et je n’ai jamais eu de réponse. Et pourtant les observations initiales que j’ai faites sur mes photos des essais de simulation dynamique moléculaire vont bien dans le sens des hypothèses qu’il avançait même si les temps de mémoire mesurés avec de petites molécules sont évidemment courts. Je suis bien resté sur ma faim. (j’avais adressé mon message en français et en anglais ! svp.). Je veux bien croire qu’il n’a que faire du petit soutien d’un chercheur amateur, mais dans l’état de médiatisation de son expérience, je me suis senti légitimé de procéder ainsi.
————
En fait je pense que à travers cette expérience médiatisée, le Professeur Montagnier voulait réhabiliter son ancien ami décédé le Docteur Jacques Benvéniste qui a été destitué par une polémique médiatique il est vrai sans précédent.
Pourtant et sans me faire l’avocat du diable, je pense que la médecine allopathique et les industries pharmaceutiques pondérales ont tout intérêt (voire lucratif) à exploiter les conséquences de ces découvertes si elles en sont. L’action d’un médicament est souvent biphasique en fonction de la dose d’administration. L’aspirine qui épaissit le sang à faible dose et le fluidifie à dose pondérale en est un bon exemple.
Pour terminer, je viens de finir une nouvelle série de 30 essais de simulation sur les temps de mémoire et le petit résultat trouvé qui n’est pas celui que j’espérais au départ va tout de même dans le sens de “la mémoire de l’eau”. Ah ? … Et bien j’ai entamé une nouvelle série d’essais pour recouper les résultats. C’est besogneux, mais on en conviendra, qu’est-ce que la Recherche quand il n’y a pas de coup d’éclat dans les découvertes ? D’ici quelques mois, j’écrirais une nouvelle note de synthèse.
Bien à vous tous.
Jean-Yves
Bonjour,
Vous aurez noté quelques fautes de rédaction. Lire notamment :
“Un bon programme ne comporterait pas d’ “artefacts” ou ceux-ci ne seraient pas insolvables.”
A Jean-Yves Dolveck : Effectivement, je n’ai pas eu besoin de me faire connaître sur les réseaux sociaux pour exercer dans 3 des domaines évoqués plus haut.
Le travail de tout professionnel dans l’industrie est généralement très encadré par des procédures, des documents à produire, j’en passe, et de la discipline dans la communication.
Le chercheur peut avoir plus de latitude, l’intuition étant assez souveraine.
La recherche appliquée s’est rapprochée de l’industrie avec une certaine obligation de résultat.
Passées ces généralités, il reste assez facile de donner des gages du sérieux de son étude sans en révéler le secret, c’est même le principe de la clé publique en cryptographie.
Je comprends que le Professeur Montagnier veuille réhabiliter le Docteur Jacques Benvéniste, mais qu’il en partage plus ferait moins de mystère.
Vous modélisez “à votre échelle” (sourire) le comportement de molécules et disposez d’un savoir-faire très pointu. Je ne prétendrai pas rivaliser sur ce savoir-faire, car c’est l’approche globale de l’étude qui m’intéresse, n’avez-vous pas évoqué un travail impliquant plusieurs disciplines ?
Pour commencer, je suis assez sidéré par le codage des bases, ce qu’elles arrivent à développer dans un tout infiniment complexe où intervient le chimiotactisme, où des molécules comme les protéines jouent un rôle sur mesure comme dans une partition d’opéra. Lucifer (ange déchu) est dans les détails, il s’en est pris au Dr Benveniste.
La poésie s’invite en mathématiques, en physique ? On peut aussi lire Michel Cassé, poète et grand professionnel https://www.odilejacob.fr/catalogue/sciences/astronomie-astrophysique-cosmologie/energie-noire-matiere-noire_9782738113252.php
ou André Maeder https://www.unige.ch/communication/communiques/2017/cdp211117/
sans évoquer la transformation de Lorentz ? Voilà pourtant de quoi concilier la théorie de grande unification avec la gravitation ? Je n’ai pas posté une seule équation.
A l’échelle des bases (ARN, ADN), n’y a-t-il pas des produits vectoriels à effectuer pour comprendre cet alphabet au travers du prisme électromagnétique ? J’aurais besoin de vos lumières pour commencer à y comprendre quelque chose. Car toute cette machinerie semble basée sur l’électromagnétisme à tous les niveaux. C’est bien ce qui concerne l’étude du Pr Montagnier … Il faudra insister sur ce paragraphe.
Merci de votre écoute et pour les travaux que vous accomplissez.
Bien à vous.
Rémy Turing (je n’ai pas choisi ce hash code par hasard)
Bonjour,
Je ne suis qu’un physicien-chimiste de base mais toute cette histoire me semble assez loufoque.
Les labos Boirons ne seraient-ils pas derrière pour mousser l’affaire ? Benvéniste,
même si ses recherches étaient au départ certainement honnêtes, a été démenti. Pourquoi reparler de lui ?
Bien à vous.
Bonsoir,
Merci Mr Turing pour ces liens Internet (sur la théorie de l’expansion de l’univers) que je trouve très intéressants. Effectivement, avant de chercher à créer de nouveaux concepts théoriques pour expliquer des faits scientifiques, il faut d’abord exploiter toutes les conséquences d’une théorie déjà en application (C’est le raisonnement par le “rasoir d’Occam”). La théorie de la mémoire de l’eau devrait s’en inspirer, sous réserve que les résultats expériences qui la mettent en évidence soient vrais.
Il n’est pas impossible que l’on se soit fait “rouler dans la farine” avec l’expérience de transduction de l’ADN qui “marche” et dont les expérimentateurs concernés ne veulent pas donner plus de détails. C’est une issue un peu négative ! D’ailleurs, une expérience unique n’est pas à elle seule une preuve suffisante d’une découverte. Il faut la reproduire plusieurs fois pour être sûr de sa validité. On en conviendra, les lauréats du prix Nobel en savent quelque chose puisque l’on ne leur “donne” pas ce prix le lendemain même de leur découverte si éclatante soit-elle.
A la suite de ces quelques échanges sur ce blog (et des autres du même dossier), on remarque que l’on peut réunir grâce aux intervenants toutes les compétences nécessaires à la conduite de cette expérience avec même des améliorations clefs qui ne laisseront peut-être pas indifférents certains laboratoires.
Pour amener un complément sur mes simulations dynamiques moléculaires de temps de mémoire, j’ai étudié pour comparer au cas de l’eau, des “temps de mémoire” (temps de persistance de cavités) dans le méthane liquide simulé à -161°C. Ces temps de persistance sont bien plus courts que dans l’eau à taille de cavité égale (laissées par des molécules d’hydrocarbure dissoutes). Et pourtant les molécules de méthane liquide ainsi simulées n’ont pas plus de mobilité que les molécules d’eau simulées à l’état liquide à 20°C. Pour expliquer les différences entre les “temps de mémoire” on peut mentionner la propriété de polarité, connue, de la molécule d’eau. Les molécules d’eau s’arrangent de façon particulière autour de la cavité (images des simulations à l’appui – Est-ce que dans la simulation la mobilité des molécules d’eau précisément autour de la cavité est diminuée durant le temps de persistance ? C’est une bonne question à laquelle que je pourrais répondre en écrivant une routine adéquate dans le programme de simulation). Cela n’explique pas (loin de là) en entier la mémoire de l’eau mais c’est tout de même un fait curieux à recouper avec d’éventuelles observations expérimentales.
Je cherche également par simulation dynamique moléculaire à voir si la présence de molécules modifie le comportement électromagnétique de l’eau. Oui, c’est le cas avec des molécules de méthane en forte concentration dans l’eau (le signal du aux fluctuations du moment dipolaire moyen des molécules d’eau change de fréquence statistique).
Pour ce qui est des domaines de cohérence, j’ai trouvé par la simulation que la relaxation aux fréquences micro-ondes d’un ensemble de molécules du domaine de cohérence suit la même loi (relaxation simple de Debye) que pour une molécule seule. Ce n’est pas le cas pour un ensemble de molécules dans l’eau liquide à l’état fondamental.
Il y a de quoi faire …
Bien à vous.
Jean-Yves
Bonsoir, il me faudra un peu de temps pour visiter le contexte de M. J-Y Dolveck, je suis actuellement un peu pris.
Parcourant de nouveau la file, je souris en lisant l’intervention du “9 décembre 2014 à 5 h 01 min, fiduce a dit :”. Surtout à la fin. In cauda venenum.
Et comme l’histoire ne se répète jamais à l’identique, mais qu’un dénominateur commun réside dans le (logiciel du) PC de l’expérience, il est à analyser d’abord et avant tout.
Ensuite, nous sommes confrontés à un phénomène, qui sait (?) peut-être analogue à celui décrit par ” Le corps quantique – Le fabuleux pouvoir de guérison de votre esprit
Chopra, Deepak”, qui à la médecine allopathique ajoute la perception ayurvédique.
Je l’ai commencé et espère y trouver quelques éléments réductibles (?) selon nos modèles.
Par ailleurs, la découverte récente d’un 80è organe (interstitium) ajoute à la perception des canaux cachés jusqu’à maintenant, ou pour le moins négligés. Un point dans le camp des réalités objectives.
Evoquant les canaux cachés on rencontre aussi Einstein et ses variables cachées, puis l’expérience d’Alain Aspect et la cryptographie quantique. Dieu ne joue pas aux dés, mais les statistiques (leurs descriptions incomplètes de la réalité) donnent des résultats exploitables. Mais j’ai du mal à imaginer un signal unique et cohérent délivré par une molécule d’ADN.
Tout cela nous ramène de toutes façons au niveau du comportement des particules, qui n’ont pas fini de livrer leurs secrets. Encore et toujours de l’énergie, des flux et de l’entropie dans tous les modèles. L’entropie qui serait responsable de la diffusion du signal d’une molécule d’ADN dans un “réseau” de molécules d’eau, rendant impossible une mesure localisée.
C’est avec les mathématiques que l’on a tenté de modéliser la physique (exemples : Maxwell pour Faraday, l’intrication quantique de Schrödinger, le paradoxe EPR, les inégalités de Bell, Dirac avec ses matrices, Feynman avec ses diagrammes, plus tard la théorie des cordes, … ). Ce n’est pas fini.
Des théories mathématiques permettent-elles de modéliser les interactions des bases (G,C,T,A) ? Celles des protéines (déjà décrites par la physique) ? Celles du solvant le plus pratique – l’eau – avec les autres molécules ? Je ne les connais pas. Mais la chimie se fait “avec” des électrons, c’est donc à tous les niveaux de la construction des molécules qu’il faut calculer les puits de potentiel, les interactions, il y a du boulot … avant de voir émerger des ondes.
La température de fusion de l’eau étant assez élevée, l’eau de la cellule autorise ces fameux compartiments où le pH – un autre paramètre – autorise des réactions, toujours de très faible énergie. Ce qui se passe dans une vésicule à l’abri de nos regards met en jeu des énergies qui n’ont rien à voir avec celles d’une combustion, phénomène macroscopique que l’on peut capter.
Nous avons besoin de nano-robots pour effectuer des nano-mesures.
Ce n’est pas à l’échelle d’un capteur électromagnétique que cela se situe.
Il faut du vide, de l’amplification, quand on utilise un MET. Et non pas une capsule polluée par l’air ambiant.
La MécaQ avertit que la mesure perturbe les états propres des particules et les mesures quand on travaille à cette échelle. La superposition d’états quantiques n’arrange rien. Quels états de l’ADN peut-on mesurer ?
Le savoir est immense ; avant de pouvoir détricoter un phénomène en court-circuitant les échelles et faisant fi du bon sens, il faut à mon humble avis commencer par les bases (physiques) ; l’approche proposée par Jean-Yves va me réduire au silence le temps que je digère un peu.
Je recentre donc mon approche sur la sienne. Puis-je trouver un simulateur, où me conseillez-vous de le chercher ? D’avance merci pour votre soutien.
Avec mes amitiés.
RT
L’homéopathie n’a pas plus d’effet qu’un placebo. Peut-être une “mémoire” de l’eau mais quel rapport avec l’homéopathie ? Certains propos que je lis sur ce forum me semble n’être qu’un véritable charabia…
Bien à vous
Bonsoir,
Le livre ” Le corps quantique – Le fabuleux pouvoir de guérison de votre esprit
Chopra, Deepak” date de 1990 (!), pourrait être plus concis et plus précis, mais fait état d’interactions (à double sens) entre les neurones et le système immunitaire, des interactions entre tous les organes (reins, foie, …) qui ont un langage riche. L’esprit et le corps sont liés, ce n’est pas qu’un truisme, mais l’effet placebo y trouve sa place.
Le corps fait mieux que la pharmacopée, qui fait figure de brute (sature les sites récepteurs des cellules, …). Exemple des corticoïdes.
Je reviens sur la présence ou l’absence d’une molécule dans l’eau, si parfois une molécule déclenche une réaction dans le vivant (exemple du papillon page 97), les instruments de l’expérience de la mémoire de l’eau ne sont apparemment pas à l’échelle.
Bien à vous aussi.
Bonjour,
Pour ma part, je dirais plutôt :”L’Homéopathie a des effets qui sont délicats à prouver.” Mais cela vient de la nature de la Médecine Homéopathique même. C’est une médecine individuelle dans laquelle le médecin homéopathe cherche une relation optimale entre son patient, sa santé et son traitement. Le cas général ne l’intéresse donc pas. Les études statistiques sont alors complexes car elles comportent tous ces paramètres individuels, qu’ils soient purement psychologiques, ou (en partie tout au moins) physiologiques. Les homéopathes essayent néanmoins d’exploiter leurs résultats avec une grande rigueur. Il y a de bons articles dans le “Journal de l’Homéopathie” en ligne qui expliquent tout ceci bien mieux que dans ces quelques lignes. Pour terminer, “on y croît – on y croît pas”, la question de l’ouverture d’esprit est aussi à se poser. J’ai essayé un médicament homéopathique (pastilles pour les maux de gorge) et il a eu sur moi un effet soulageant à ce moment-là (pour mon cas etc…). Essai donc positif … Mais il y a aussi des échecs en homéopathie, tout comme en médecine allopathique : Les médecins allopathes le savent très bien et certains le reconnaissent volontiers sans pour autant passer pour de mauvais médecins … Même en Médecine Allopathique, le processus de guérison peut échapper au praticien. La Médecine est une science pragmatique … Pour la mémoire de l’eau comme tentative d’explication de l’Homéopathie ? Elle n’est aujourd’hui pas la seule en lice.
Pour les aspects quantiques de la mémoire de l’eau, même si je ne suis pas très “branché” sur la théorie de corrélation non locales au sujet de la mémoire de l’eau (voir le dossier “mémoire de l’eau et après”) et que je sais pas trop quoi penser de celle-ci, je dirais après coup qu’il “faut voir”, dans des expériences aussi fines que les hautes dilutions. D’ailleurs, l’article est objectif en disant qu’il faudrait vérifier la théorie sur d’autres types d’expériences. Mais le processus d’analyse scientifique qui y est attenant est de grande qualité.
… Et les simulations dynamiques moléculaires là au milieu ? … Et Bien moi je cherche aussi ! (avec enthousiasme, il est vrai) … Allez petit ordinateur ! Travaille ! …
Pour faire un peu d’humour : “Le premier qui aura trouvé la bonne réponse !? … …”
Bien à vous tous.
Jean-Yves.
Chers amis,
Le 1er ne sera pas parmi nous, mais avec un peu de chance il est déjà lancé :
https://globenewswire.com/news-release/2018/07/06/1534057/0/fr/Atos-et-GENCI-annoncent-les-laur%C3%A9ats-du-Prix-Atos-Joseph-Fourier-2018.html
https://pubs.rsc.org/en/content/articlelanding/2018/sc/c7sc04531j#!divAbstract
…
“Tinker-HP allows for long polarizable MD simulations on large systems up to millions of atoms.”
…
“The possibilities, performances and scalability of the software are demonstrated via benchmarks calculations using the polarizable AMOEBA force field on systems ranging from large water boxes of increasing size and ionic liquids to (very) large biosystems encompassing several proteins as well as the complete satellite tobacco mosaic virus and ribosome structures. ”
…
Might help?!
Cheers.
Bonjour,
D’accord, nous avons de grands chercheurs qui contribuent à de grandes avancées technologiques dans le domaine quantique mais quel rapport avec l’homéopathie (à base parfois de bave de crapaud ou tout autre pur débilité).
Aux Etats-Unis c’est quasiment inutilisé. Soyons un peu sèrieux.
Si l’Etat continue à rembourser cette supercherie c’est pour éviter les pertes d’emploi en France du baron Boiron (pas ensemble en tout cas)
et permettre à l’effet placébo de jouer son rôle mais avec un prix du sucre quand même assez élevé…
Bien à vous
Bonjour à tous.
Et bien grand Merci pour le lien vers le prix ATOS et le lien vers la publication sur les capacités des logiciels de simulation dynamique moléculaire mis au point dans ce projet.
So far so good ! We go ahead ! We come on ! …
Les grands esprits se rencontrent ! Pour ma part, je me félicite de ne pas rester farfelu dans un coin sans connivence. Maintenant il suffit de suivre ce qui sera fait, et en ce qui me concerne, cela me motive à continuer de travailler, même en petit écuyer derrière de grands chevaliers de la simulation. Il y a peut-être aussi des contacts à prendre.
pour faire un peu d’humour : Quand on roule en 2CV et que l’on se fait doubler par une Mazzerati, une constatation est déjà sûre : on roule à ce moment là sur la même route et dans la même direction !
Effectivement, il faut pouvoir travailler avec un grand nombre de molécules d’eau pour obtenir un résultat à rapprocher de la réalité expérimentale des systèmes biologiques.
Pour la bave de crapaud ? Elle n’atteint pas la blanche colombe !… même aux USA ! … Les laboratoires pharmaceutiques traditionnels ont eux aussi “sorti” un sirop pour la toux à base de bave d’escargot … Vous aimez ? … A chacun son animal ! Les laboratoires Boiron pour ne pas les citer, ne sont donc pas les seuls à essayer des remèdes farfelus ! Qui ont bu Boiron(t) ! …
… Remboursez ! Remboursez ! …
C’est pour cela qu’à mon avis il ne faut pas trop se poser certaines questions …
Bonne soirée à tous !
Bien à vous tous.
Jean-Yves.
Bonjour,
Comme d’habitude avec l’homéopathie, tout part vite en délire !
La physique l’est parfois, relativité du temps, intrication quantique mais là on reste dans le domaine scientifique (reproduction des expériences, réfutation possible de Popper, etc.).
Le problème avec l’homéopathie est que ce n’est même pas une religion (non réfutable) mais une science non scientifique donc rien du tout.
Mais ça m’amuse de voir tous ces escrocs pharmaciens vendre ce qu’ils savent n’être que de la poudre de perlimpinpin (ils ont leur piscine à payer…). Et pourtant, je ne suis pas scientiste !
Bien à vous
Bonjour,
Pour préciser mon information si mes souvenirs sont bons, le sirop pour la toux à la bave d’escargot n’a pas été fait par un laboratoire homéopathique.
Pour revenir à l’expérience de transduction de l’ADN, l’explication qui est avancée par le Professeur Montagnier et par le Professeur Marc Henry de l’Université de Strasbourg est que les molécules biologiques, qui sont entourées d’eau, émettent des ondes électromagnétiques. Ces ondes sont véhiculées par les domaines de cohérence. Le phénomène est probablement réversible dans de l’eau “vierge” de la substance biologique, ce qui permet lorsque les composants élémentaires de la substance sont présentes, de synthétiser cette substance (ADN ici) grâce aux ondes électromagnétiques véhiculées (dans l’eau).
En fait pour ma part mais sans prétention je peux déjà étayer un peu l’explication théorique ainsi avancée par mes simulations dynamiques moléculaires même si celles-ci sont de petite dimension :
Ainsi :
-Est-c qu’une molécule dissoute, biologique ou non, peut émettre des ondes électromagnétiques dans l’eau ?
*Oui : Les molécules d’eau qui entourent cette molécule biologique sont du fait de leur caractère polaire, probablement responsables en grande partie de l’émission de ces ondes et cela même si la molécule dissoute n’est pas polaire. La simulation dynamique moléculaire avec de l’eau et du méthane apporte un début d’illustration qu’il faudra compléter avec des molécules plus complexes.
-Est-ce que les domaines de cohérence peuvent véhiculer une onde électromagnétique ?
* Oui, c’est fort probable : contrairement à l’eau ordinaire (dans son état fondamental), les molécules d’eau à l’état excité dans les domaines de cohérence se comportent en présence d’un champ magnétique à la manière d’une seule molécule avec une relaxation en fréquence qui suit la loi de relaxation simple de Debye (Béta = 2). Les effets dispersifs y sont négligeables alors qu’ils sont très importants dans l’eau à l’état fondamental. Les simulations moléculaires dynamiques que j’ai effectuées pour illustration montrent très bien ce phénomène.
– Est-ce que les ondes électromagnétiques peuvent avoir une influence sur la disposition des molécules d’eau qui les reçoivent ?
* Oui, c’est le cas pour des petits groupes de molécules isolés qui peuvent parfois prendre des aspects particuliers sous l’effet d’ondes électromagnétiques sinusoïdales, en simulation : des formes annulaires notamment. Pour des molécules d’eau dans la masse liquide, une illustration par simulation est à effectuer.
– Quelle rôle le temps de persistance de cavités moléculaires joue-t’il éventuellement dans le phénomène d’émission et de réception des ondes électromagnétiques ?
*Le temps de persistance des cavités, qui ne fournit pas à lui seul l’explication des propriétés des hautes dilutions, pourrait être corrélé avec la structure du signal électromagnétique émis par la molécule dissoute (biologique ou autre) notamment quand cette dernière se déplace ou subit modifications de structure. Pour des petites molécules de méthane, le temps de persistance est très court et le signal électromagnétique est très pauvre. Il faut vérifier la corrélation avec des molécules plus complexes.
Les logiciels de simulation du prix ATOS pourraient permettre d’étudier des molécules biologiques complexes, on l’espère, sur des échelles de temps suffisamment longues pour voir si le signal électromagnétique émis a une structure particulière, unique spécifique de la molécule biologique simulée. Ces logiciels permettraient de simuler un ribosome et ses 3 millions et demi d’atomes. C’est déjà pas mal !
On est encore loin du résultat de l’expérience de transduction, et une preuve expérimentale supplémentaire permettrait de bien avancer. Il est sûr que cela ne sert à rien de “pondre” des théories dans le “vide”.
Pour ceux qui ont vécu par exemple la période de la découverte scientifique des propriétés des “champs intenses” dans le début des années 1990 (maintenant, tous les dispositifs de stockage d’information de grande capacité utilisent cette propriété physique – prix Nobel Albert Fert), il s’en est suivi une période d’effervescence dans la recherche sur les propriétés des matériaux “multicouches”. Le domaine des supraconducteurs a même bénéficié des avancées trouvées. voilà bien une issue positive. Mais l’expérience d’Albert Fert n’est pas restée “boudée sous le boisseau” et elle a été refaite et vérifiée – sans doute – plusieurs fois … A bon entendeur !
Bien à vous tous.
Jean-Yves
Bonsoir,
Je pense que Remy Turing n’est qu’un pseudo. Je ne peux croire que vous soyez de la famille D’Alan Turing.
Ce n’est que de l’humour, je précise.
Comme si les scientifiques “purs et durs” n’avaient pas d’âme. Certains même sont croyants.
On peut aimer les arts, la poésie, les sciences humaines et même s’y intéresser de près, etc. et être un vrai scientifique.
Ce qui me gêne c’est le refus d’admettre que l’homéopathie ne vaut pas plus qu’un placebo (fonctionnement qui commence à être expliqué par la libération d’endorphines du cerveau (véritable usine chimique) et autres substances avec même une atténuation
de la zone de la douleur dans le cerveau (expériences avec IRM, etc.)).
De nombreux articles peuvent être trouvés sur la toile. Ce n’est donc pas de la magie noire…
Mémoire de l’eau, pourquoi pas ! mais arrêtons de l’associer à l’homéopathie. Je m’étais amuser à avaler une boite, en une fois, de pilules homéopathique de je ne sais quoi.
Aucun effet, ni en bien, ni en mal. Qu’en conclure ? Question pour un champion…
Bien à vous
Bonjour,
Très rapidement ce jour, on peut lire les pages 151-158 du livre ” Le corps quantique – Le fabuleux pouvoir de guérison de votre esprit” par Deepak CHOPRA datant de … 1989.
Dans ces pages, il parle très précisément de J. Benvéniste, de ses expériences sur les IgE ; cela dit, l’ensemble de cet ouvrage conduit à respecter formellement les travaux de J.B. Et je comprends (un peu) mieux que le Pr Montagnier s’interroge à ce sujet. L’expérience avec le capteur (PC, tube à essais, télétransmission, etc) me semble faire diverger les préoccupations.
L’ouvrage ouvre l’esprit (!) sur la communication très subtile des cellules, tissus, organes (y compris le cerveau), l’être vivant … ; chaque molécule (à dose donc homéopathique) compte, DANS LE VIVANT ; l’homéopathie est évoquée.
Je reviens sur mes avis de principe et continue de lire, mais dans le sens proposé par Jean-Yves. Et il ne s’agit pas non plus de confondre le VIVANT, le LABORATOIRE, la MODELISATION.
Car le docteur CHOPRA a été formé à Boston en médecine allopathique à très bon niveau, en Inde à la médecine ayurvédique par un Maître, et entreprend des raisonnements où intervient le principe (très vulgarisé) de l’état quantique des particules.
Ses appels d’il y a 29 ans (!) résonnent encore à notre époque, sachons les écouter.
Il a également évoqué les soins par ondes sonores (pour simplifier), je me moquerai pas.
Je suis en haleine sur ses propos sur les particules corrélées, puisqu’en physique cela a déjà un sens ! Il s’agit de l’esprit dans ses propos, il y a une âme dans son esprit … avec et sans jeu de mot.
Bien à vous.
Remy Turing
Bonjour,
Ce livre du Docteur Chopra doit être très intéressant, d’autant plus que l’auteur a une expérience de médecin allopathe avec d’autres formations (médecine ayurvédique). Le Docteur Chopra a donc une idée précise de la Médecine Allopathique et de ses limites.
Cet ouvrage a probablement été lu par plusieurs chercheurs qui tentent d’expliquer les expériences biologiques invoquant l’hypothèse la mémoire de l’eau car les théories que ces derniers développent parlent beaucoup de la mécanique quantique. Il est un fait qu’avec les domaines de cohérence on est d’ailleurs en plein dedans.
Pour la Médecine Homéopathique, le procédé de fabrication des médicaments par les hautes dilutions pourrait effectivement faire penser à des placébos puisque la substance médicamenteuse de départ est “sensée ne plus être présente dans le produit”. En fait il faut bien se rappeler qu’à l’époque du Docteur Hahnemann, le père de l’Homéopathie, la limite d’Avogadro n’était pas connue. On pensait donc avec légitimité que la substance généralement toxique introduite au départ (Homéopathie = soigner le mal par le mal) était devenue inoffensive mais pouvait être tout de même reconnue par l’organisme qui apprenait ainsi à s’en défendre. D’ailleurs, cette façon de se soigner de manière préventive était connue de l’Antiquité puisque pour se protéger de l’action des poisons (par exemple : la cigüe), Certains romains en buvaient une petite goutte chaque jour en prévention.
Aujourd’hui, on sait mesurer des concentrations de substances dans l’eau jusqu’à une dilution de 1E-10 à 1E-12. Au delà, les mesures sont très imprécises. On est encore bien au dessus de la limite d’Avogadro qui est égale à 1E-24. Certains chercheurs pensent que lors des procédés de haute dilution généralement mis en oeuvre on ne suit pas la progression théorique des dilutions et que le produit actif est toujours présent dans une dilution même poussée, ou bien que d’autres substances, la silice par exemple dans les tubes en verre notamment, entrainent un effet de réponse.
Pour ce qui est de la légitimité de la Médecine homéopathique et de son coût, les médecins homéopathes rendent quoi qu’il en soit, un service qui est efficace à beaucoup de patients, effet psychologique ou non à la clef. De même, les médicaments homéopathiques ont leur efficacité chez beaucoup de personnes, effet placebo ou non. même si en France notamment on ne veut plus la rembourser.
Dans son principe, la médecine homéopathique n’est pas mauvaise. Mais bien entendu on peut toujours se poser la question de son optimisation : Est-il nécessaire de faire parfois autant de dilutions pour rendre un médicament homéopathique efficace ? Pour l’expérience de transduction de l’ADN par exemple (sous réserve de sa validité et donc à refaire …), on montre que la 6ème ou la 7ème dilution donnent les meilleurs résultats. Si on montre que de la substance est toujours présente même en infime quantité dans les tubes des hautes dilutions, on mettra tout le monde en accord.
Par analogie, le système immunitaire du corps humain -adulte- (environ 30 milliards de globules blancs pour un poids de 500 g à 1Kg) est capable de réagir à de très petites fractions d’agents pathogènes. Il est programmé pour “réagir aux départs de feu”. au delà, il est vite “débordé”; A titre comparatif, 30 milliards de bactéries occupent le volume d’une goutte d’eau !… Après, c’est les antibiotiques … et tous leurs effets secondaires …
Un remède “homéopathique” optimisé, classique (contre les virus) : le vaccin !
Bien à vous tous !
Jean-Yves
On est chez les fous !
Je suis juste prof de sciences physiques et ne passe pas mes cours à raconter n’importe quoi.
Je ne parle jamais d’homéopathie (sujet trop sensible…) mais je n’en pense pas moins. Si Feynman vous lisait, il rirait beaucoup. C’était un être exceptionnel et n’hésitait pas à participer à des colloques de philosophie ( discipline que j’aime néanmoins beaucoup) pour faire des remarques quand les enfumeurs empêchaient de respirer et de penser…
Bien à vous,
Bonjour,
Jean-Yves, réponse très bien ciblée, merci. Je suis d’accord avec presque tout ; mais les adjuvants utilisés pour des vaccins (aluminium, bactéries) posent des questions, et des prises de position qui ont valu des poursuites à certains. Et les quantités diffèrent de l’expérience considérée ici.
L’arnica utilisée en cas de chocs à 5CH (effet local) agit sur moi, mais pas à 9CH (effet global), il en est de même pour le Borax (pour soigner les aphtes).
La dilution pourrait conduire l’ADN à ne plus se comporter comme une somme de particules (construction complexe d’atomes) mais comme des ondes (superposées et difficilement différentiables) , auquel cas il ne resterait que la probabilité de présence des molécules à étudier, donc un signal ondulatoire ?
La résultante formerait un signal qu’il m’est impossible d’imaginer. Mais ces logiciels, s’ils prennent en compte des propriétés quantiques (fonctions d’ondes), que donneraient-ils ?
Alors, si je me permets de paraphraser la question de départ, peut-on parler d’induction EM pour reproduire un tel signal à distance (le Pr Montagnier l’évoque entre 2 tubes à essais) ? Peut-on s’adresser à l’énergie du vide, donc comment et par quel canal passer pour séparer non pas matière et antimatière, mais pour faire naître des particules du néant ?
Un bon logiciel de modélisation devra prendre en compte l’énergie du vide.
Bonjour la télékinésie, la téléportation, etc !
Bien à vous.
RT
Bonjour,
Pour le traitement homéopathique que personnellement j’ai utilisé, je ne me souviens plus de la dilution. Mais effectivement, la question de la dilution est importante. Certains degrés de dilution sont peut-être plus efficaces que d’autres.
Pour les vaccins, c’est bien ce que j’ai compris moi aussi. Les adjuvants (notamment des sels d’aluminium) qui servent de stabilisateurs d’acidité et de d’antioxydants sont ajoutés en quantité significative. cela pose d’ailleurs un problème pour les enfants en bas age et les nourrissons car ces quantités sont très élevées du coup en regard des petits volumes sanguins de ceux-ci. Les pédiatres se sont d’ailleurs interrogés sur les effets de tels vaccins chez les enfants.
Dans l’expérience de transduction de l’ADN, le tube récepteur soumis à la réception du signal électromagnétique ne contient que de l’eau pure. Alors effectivement : dans cette eau pure, est-ce que c’est une mémoire électromagnétique pure ou est-ce que c’est la génération des atomes à partir de l’énergie du vide, qui est responsable de la génération du brin d’ADN, sous l’effet des ondes électromagnétiques reçues ? Pour ma part et bien que je ne suis pas très compétent sur cet aspect, je pense qu’il faut extraire localement beaucoup d’énergie du vide pour arriver à faire apparaître un atome (donc de la matière) et son anti-atome (antimatière) qui va de paire. Ce n’est cependant pas impossible : le mécanisme qui est mis alors en oeuvre s’appelle “l’effet tunnel” étant donné les faibles ambiances énergétiques de l’expérience. Simplement la probabilité de réunir l’énergie nécessaire localement est très faible. La mise en place d’une structure moléculaire avec les molécules d’eau voire des domaines de cohérence est beaucoup plus probable car les énergies nécessaires sont bien moins grandes. Ce qui par contre est peu probable (mais pas impossible – simulations dynamiques moléculaires à l’appui), c’est que cette mémoire électromagnétique ou structurale persiste assez longtemps pour que le tube garde les informations de l’ADN transcrit jusqu’à son introduction dans l’appareil de PCR alors que l’énergie thermique tend à les dissiper ( notons à contrario au passage que si des atomes sont apparus à partir du vide, ils vont persister définitivement et la mémoire de l’ADN est donc dans ce cas effectivement permanente jusqu’au démarrage de la PCR …) C’est donc en fait le mécanisme qui a la probabilité globale la plus élevée qui sera responsable du succès de l’expérience.
Comme la génération d’atomes à partir de l’énergie du vide et la mémorisation sur le long terme d’une onde électromagnétique ou d’une structure ont des probabilités globales très faibles, les biochimistes ont trouvé ces hypothèses invraisemblables et ont pensé tout simplement à une contamination… Mais attention ! La probabilité de conservation des structures ont des ondes ou de l’apparition d’atomes n’est pas nulle ! La PCR est une technique qui permet quand elle est bien conduite de multiplier (“d’amplifier”) une quantité d’ADN par 35 milliards de fois. Et la solution finale obtenue est loin d’être de l’ADN pur : il est dilué peut-être à 1 pour 100 ou 1 pour 1000. Cela dépend de la concentration des constituants de base mis au départ. En faisant le calcul à l’envers on voit que l’on est en dessous des limites de détection actuelles mais au dessus de la barrière d’Avogadro (pour l’hypothèse des ondes électromagnétiques ce serait un point de vue soutenu par la présence des domaines de cohérence ou de structures de cavités moléculaires).
Remarque : Pour l’hypothèse de la génération d’atomes donc de matière, l’annihilation d’antimatière qui est produite conjointement, avec d’autres atomes produit dans certaines conditions d’équivalence (par exemple “un anti-atome d’oxygène s’annihile avec un atome d’oxygène” et notamment surtout, les positons des l’anti-atomes s’annihilent avec les électrons des atomes) une nuée de photons gamma de haute énergie aisément détectables même à l’unité. Voici donc une autre amélioration de l’expérience qui permettra de trancher sur le processus quantique qui a eu lieu.
Bien à vous tous
Jean-Yves.
Bonjour Jean-Yves, tous,
Nous savons que les atomes ont été synthétisés dans le cœur des étoiles à partir des premiers atomes d’Hydrogène fusionnés en Hélium, puis avec une pression croissante en atomes jusqu’au Fer et jusqu’à l’explosion en supernovas (nucléosynthèse explosive). Plusieurs schémas, mais un point commun, la mise en jeu des hautes énergies.
Il n’y aurait même pas assez de chaleur pour tenter de faire appel à une autre théorie controversée, la fusion froide. Autre contexte.
Les atomes apparaissant étaient-ils cachés sous une autre forme ? La matière noire n’interagit qu’avec la gravitation et aucune autre force n’a permis d’interagir avec, d’ailleurs plus haut j’envoyais vers un article qui contestait son existence.
Alors, magie noire ? magie blanche ? Pas même de transmutation ? Mais pour le moment seule la pierre philosophale produit son effet, car nous cherchons et parcourons la Connaissance. Ouroboros ? certes. Des lumières, avec ou sans Dieu.
Je ne vois pas comment l’effet tunnel peut être mis en œuvre sans passage d’un courant, sans apport d’énergie, surtout pour des atomes. Où est la barrière de potentiel ?
On pourrait utiliser des diagrammes de Feynman, représenter des particules virtuelles et des anti-particules, mais les énergies ne sont pas celles de particules relativistes. Et dans le cas d’une molécule d’ADN au repos, voire absente, mathématiquement il n’y a plus que les résonances.
Sinon j’ai vaguement lu sur la “Dynamique Moléculaire « ab initio »”, est-elle plus adaptée à la biologie ? Et que donne le spectre d’absorption à chaque étape de dilution de l’ADN ?
Bien à vous.
Bonjour,
Le terme “effet tunnel” est peut-être mal choisi. Il y a par contre un apport d’énergie par la stimulation électromagnétique pendant une heure. Il se pourrait avec une probabilité très faible que certaines parties de l’eau dans le tube stimulé puissent atteindre le niveau d’énergie pour faire apparaître l’ADN dans le tube. Le calcul de cette probabilité donnerait probablement une valeur déconcertante par sa petitesse, ce qui rend “impossible” ce phénomène, c’est certain. On procède ainsi par élimination de cette hypothèse.
Le terme “résonance” est vague en physique. On y associe une multitude de phénomènes. D’une manière générale on peu dire qu’il y a résonance entre deux phénomènes quand les énergies, ou les fréquences ou les longueurs d’ondes correspondent (si les phénomènes sont des onde)s. Il y a dans ce cas une réponse maximale du système. On peut avoir des résonances par accumulation maximale d’énergie (système masse-ressort, macroscopique par exemple), ou par dispersion maximale d’énergie (molécule d’eau dans un champ électromagnétique micro-onde, par exemple).
Le réflexe de penser à un phénomène de résonance est assez immédiat, je le reconnais. celui-ci peut d’ailleurs très bien expliquer l’émission électromagnétique par le tube d’eau de la 6 ou 7ème dilution. Pour le tube d’eau réceptrice, on peut tout à fait penser à une réversibilité du phénomène en considérant que l’eau acquiert sous l’influence du signal électromagnétique qui la stimule, une mémorisation de la structure ou de l’énergie etc. identique à celle de l’eau du tube émetteur.
Comme la chaîne des phénomènes est complexe à simuler dans son ensemble, j’ai pour ma part opté pour la stratégie de diviser le problème en trois étapes élémentaires : émission (temps de persistance des cavités et fluctuation du moment dipolaire moyen), transport (domaines de cohérence), réception (création de cavités et de structures par exemple).
La simulation dynamique moléculaire “ab initio” pourrait être un très bon outil pour l’étude des phénomènes précités. Personnellement je ne la maitrise actuellement pas, mais cette méthode permet de recréer des atomes et des molécules simulées à partir de conditions complètement “aléatoires” au départ. Il suffirait par exemple de voir l’influence d’un champ électromagnétique dans la boite de simulation …
Etudier par spectroscopie (infrarouge, ultraviolet) chaque dilution serait peut-être un plus expérimental. Les concentrations varient de plusieurs décades pendant les dilutions et il serait cependant probablement difficile d’obtenir des résultats significativement exploitables à toutes les dilutions. Mais on peut toujours “essayer”; On pourrait alors peut-être mettre en évidence des amorces d’écarts à la loi théorique de dilution entre autres.
Remarque : associer le fonctionnement de l’homéopathie à la “mémoire de l’eau” est effectivement dépassé depuis maintenant “longtemps”. Certains homéopathes se demandent d’ailleurs ce que l’on cherche ainsi avec cette hypothèse. Leurs approches sont souvent plus axées sur les manifestations dont certaines peuvent être corollaires à un effet placebo (“tromper” le cerveau etc …). Mais il y a aussi des tentatives d’explication physiques autres, notamment en ce qui concerne les hautes dilutions.
La “mémoire de l’eau” est aujourd’hui un terme générique assez général.
bien à vous tous
Jean-Yves
Bonjour,
Jean-Yves, l’effet tunnel pourrait s’appliquer à des molécules à l’état ondulatoire, qui pourraient traverser de la matière, on considèrerait alors un nuage de probabilité de présence, mais il faudrait un apport d’énergie.
Feynman, mon idole … maggam, lisez un peu :
“Although we humans cut nature up in different ways, and we have different courses in different departments, such compartmentalization is really artificial… The imagination of nature is far, far greater than the imagination of man.” ~Richard Feynman
sur toute la page : https://creativesystemsthinking.wordpress.com/2015/05/16/the-imagination-of-nature-richard-feynman/
On a déjà condamné des hérétiques : Giordano Bruno, Galilée, etc.
Le jeu auquel on se prête avec quelques connaissances est de transcender les acceptions des modèles communément admis, pour tenter d’aller plus loin. “L’essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenir.”. Il n’est pas question de faire de l’ésotérisme, peut-être un peu d’herméneutique. Nous sommes limités par nos sens et par les outils que nous avons créé, il s’agit comme pour les cordes d’aller conquérir d’autres dimensions.
Le plan complexe répond à des besoins que l’ensemble des réels ne pouvait satisfaire. Même démarche, ici nous faisons un brainstorming. Oui, peut-être un délire. Mais la physique n’est pas une science bornée. On croyait avoir tout découvert en physique au début du XXè siècle.
Gardons seulement à l’esprit http://www.charlatans.info/pseudoscience/pseudosciences_physique.shtml
Bien à vous.
Bonjour,
je maîtrise un peu l’anglais Remy Turing et j’ai bien compris le mot de Feynman. Je suis tout a fait d’accord avec lui (donc vous).
L’esprit humain est étriqué. On ne perçoit déjà par nos sens qu’une toute petite partie du réel ( je ne veux pas faire de philosophie donc j’évite toute majuscule). Nos grands instruments (télescope, laser, etc.) nous permettent de connaitre une grande partie de ce qui nous est invisible (son, lumière, etc.) qui nous apporte tellement d’informations.
Nous ne sommes plus à l’époque de Diderot où l’on pouvait encore avoir une vue d’ensemble, l’époque des encyclopédistes.
Chacun est aujourd’hui dans sa spécialité (tout est devenu tellement complexe). Même la matière noire, l’énergie noire, la théorie des cordes semblent pour certains (par ex, Jean Audouze) des pistes très brinquebalantes, aléatoires…
Nos cerveaux sont aussi très limités. Il faudrait pouvoir capter, sentir l’incroyable comme la dilatation du temps, par exemple. Ce n’est pas le cas.
Je comprends que dans les arts, la poésie, la musique, etc. on peut tout se permettre. Peu d’entres nous savent que dans le monde il se parle plusieurs centaines de langues.
Nous sommes tous enfermés dans nos préjugés.
Mais, pour moi, la science ne doit pas se permettre le n’importe quoi. Les fraudeurs, les malins aiment tout embrouiller. Ça me gêne.
Descartes était Français ? Je suis un fils de Descartes. Boiron est un filou, pourquoi pas ! il donne des emplois et permet aux Françaises d’aller mieux. Pourquoi pas ! mais Baudelaire
chanté par Ferré m’enchante bien plus que lui…
Bien à vous,
Bonsoir Jean-Yves, maggam, tous,
D’accord pour un peu de bon sens et de Descartes dans tout cela, même si le bon sens est la chose au monde la mieux partagée …
Pour revenir au sujet, j’ai beaucoup aimé la vidéo
https://www.youtube.com/watch?v=SO1AZ5rjEnM
Perspectives en spectroscopie moléculaire : quand les lasers s’attaquent aux molécules biologiques – CEA Sciences – Ajoutée le 1 avr. 2015
Colloque de l’Orme du 26 mars 2015 par Michel MONS, CEA Iramis- LIDyL-LFP, Laboratoire Interactions, Dynamique et Lasers
qui donne une petite idée de l’immense complexité des molécules organiques, leur repliement dans l’eau, l’importance de la théorie, …
Nous spéculons très loin de ces professionnels expérimentés et très bien outillés.
Le verbe contre l’équation, l’intuition contre l’expérimentation, mais le rêve de comprendre.
Sur l’homéopathie, une petite échappée : https://www.homeophyto.com/les-dilutions-korsakoviennes-ou-hautes-dynamisations
Bien à vous.
RT
Bonjour à tous,
Merci Remy pour le lien à propos de Richard Feynman. Notamment les diagrammes d’interactions qu’il a tracés sont très précieux pour étudier les interactions entre particules dans les accélérateurs. Pour ce qui est du charlatanisme (J’ai visionné aussi le lien), il est clair qu’il faut aller au devant des premières constatations interprétées par des aberrations de la perception, des suppositions et des croyances.
Pour ma part, et bien inscrit dans une démarche kantienne de vérification des observations, suite aux divers commentaires (et cela prend du temps), je me disais ce soir en prenant un bon apéro que si je gagnais le gros lot au loto (mettons dans les trois ans qui viennent et pourquoi pas ce soir), j’entreprendrais sur le champ un projet pour refaire l’expérience de transduction de l’ADN avec les améliorations qui ont été suggérées pour éliminer les incertitudes. Ce soir, le pari est encore en bouteille car je n’ai pas gagné. Mais une autre échéance approche inexorablement même si elle met du temps : celle de pouvoir présenter les résultats d’un projet d’études (en simulation dynamique moléculaire)…. Si d’autres font mieux et plus vite, tant mieux car ils l’auront fait.
En attendant, l’ordinateur tourne… Allez Allez !
Bien à vous tous.
Jean-Yves
Bonsoir,
J’aime bien venir parfois passer quelques temps sur ce site. Vous me semblez tous un peu farfelus mais j’ai l’habitude.
Côtoyant chaque jour des ados, plus rien ne me surprends mais je l’avoue, ils m’amusent. L’art, la science, sans folie, plus rien…
https://www.bing.com/videos/search?q=gainsbourg&&view=detail&mid=A3CD1E041B226319C718A3CD1E041B226319C718&&FORM=VRDGAR
Bien à vous,
maggam,
Bonjour maggam,
Reviens quand tu veux, plus on est de fous, plus on rit 🙂
C’est un compliment que tu fais ici, car un peu de jeunesse est nécessaire pour oser suggérer des voies sortant des poncifs. L’impertinence n’est pas de trop, si elle débride l’imagination.
Si le 22 et le 25 septembre tu as réinterprété mes propos je n’ai pas réagi, pour ne pas surcharger la page, mais as-tu résolu les problèmes de l’Univers “restant” ? As-tu fini de répondre aux 23 problèmes de Hilbert ?
Ce n’est pas ici que se trouve la connaissance universelle, mais des dialogues constructifs peuvent aider un dilettante à s’exercer.
Bien à toi.
_____________________________________
Jean-Yves, tous,
Depuis le début, considère-t-on notre molécule d’ADN dans le monde quantique ou dans le vide quantique ?
==> On évoquait l’effet tunnel, qui s’appliquerait non aux électrons mais à la matière qui se comporte comme une onde. Que se passerait-il si elle était temporairement dissociée de ses particules de Higgs ?
Par “temporairement” on signifie un temps infiniment bref, à l’échelle des fluctuations du vide.
Quels comportements peut-on attendre de cette “onde” (qui correspond à notre molécule perçue par nous comme des particules) privée de ses bosons de Higgs ?
Comment interagit-elle dans votre cavité composée de molécules d’eau ?
Quels comportements de groupes peut-on formuler ?
Bien à vous tous.
Bonjour,
On peut tous se tutoyer mais, quand même, quel bazar ce site ! Même si je sais que la clarté n’est qu’un leurre…
Désolé, c’est l’un de mes artistes préféré. C’est sûr, j’ai plus 15 ans… mais la jeunesse est toujours bien là !
https://www.bing.com/videos/search?q=gainsbourg&&view=detail&mid=67CA37F974B772D5B37E67CA37F974B772D5B37E&rvsmid=A3CD1E041B226319C718A3CD1E041B226319C718&FORM=VDQVAP
Amicalement Remy Turing,
maggam
Ah, pardonnez-moi les tutoiements et vouvoiements alternés, peut-on tous se tutoyer ?
Amicalement.
RT
Bonjour,
Merci Maggam pour le lien vers le grand Serge sympathique et poétique. Ce fut un détour agréable.
En effet, pour éviter de trop polariser :
https://www.youtube.com/watch?v=wLu387iIBmM
et pour méditer un peu en contemplation :
https://www.futura-sciences.com/sciences/videos/nebuleuse-crabe-revivez-terrible-explosion-4619/
Merci Remy pour le lien vers la méthode du Dr Korsakof pour les hautes dilutions. Elle me paraît moins rigoureuse que la méthode du Dr Hahneman mais exige bien moins de matériel pour faire des hautes dilutions. Peut-on d’ailleurs peut-être l’améliorer en graduant le flacon afin d’avoir une idée un peu plus précise – bonne question – de ce que l’on garde comme solution à l’intérieur (1/100ème c’est difficile mais 1/10ème je pense que c’est plus faisable) ? Je vais me lancer dans quelques essais avec de l’eau de source faiblement minéralisée et une substance de départ pas trop spécifique.
Merci aussi pour le lien vers la vidéo du colloque de l’Orme au sujet de la spectroscopie laser sur les biomolécules. Comme elle dure 1H15, cela va faire une bonne soirée vidéo.
Je n’ai pas les réponses théoriques précises aux questions de Remy sur les interactions du vide mais voici le lien suivant :
https://www.prevention-sante.eu/actus/eau-informations-memoire-marc-henry
Pour ma part, je me suis posé un certain nombre de questions et j’ai essayé de contacter le Professeur Marc Henry. J’aurais voulu assister également à une formation donnée par un de ses collaborateurs sur l’application de la Mécanique quantique à la Biologie, mais faute de moyens financiers actuellement je n’ai pas pu le faire. Néanmoins c’est toujours dans mes souhaits.
Je suis personnellement très content d’avoir eu ces échanges entre nous ce qui m’a permis d’affiner certains de mes points de vue sur l’expérience de transduction de l’ADN du Professeur Montagnier (C’est quoi qu’il en soit le sujet principal de ce blog). Le sujet me paraît loin d’être tari et au fond, que cette expérience donne des résultats authentiques ou des artéfacts n’est peut-être pas le problème de fond. Aujourd’hui il y a une remise en question petit à petit de nos connaissances, conduite par des chercheurs de haut niveau. Internet est un grand moyen de veille et d’expression pour suivre ce grand débat. J’en attends la suite avec intérêt.
Bien à vous tous
Jean-Yves
Bonsoir,
J’avoue que je suis se site en dilettante mais vos liens me semblent intéressants. Dés que j’aurai un peu de temps, j’irai voir de plus près.
Merci Jean-Yves pour nos goûts communs.
Bien à vous,
maggam
Bonjour maggam et Jean-Yves,
Le site aura-t-il suffisamment de ressources pour héberger indéfiniment nos échanges ?
A titre préventif je vous propose d’échanger nos emails.
Il existe une manière pour se préserver des SPAMs : passer par des adresses mails jetables.
J’utilise http://www.yopmail.com/
1) je choisis une adresse mail privée jetable impossible à trouver (mauvais exemple ici, juste pour un essai) : essai_rt
2) à droite sur la page, le site me donne l’adresse publique : ‘E-mail alias’ pour cette boîte: alt.tm-7eadq6b@yopmail.com
3) je vous communique cette adresse alt.tm-7eadq6b@yopmail.com et communique avec vous sur yopmail, car vous y avez créé une adresse yopmail de manière analogue.
4) sur yopmail, nous échangerons nos adresses mails utilisables. Exemple : joe_le_taxi@chanson.com
5) les mails sur yopmail sont effacés automatiquement après 8 jours ou à notre initiative.
Voici le mail sur lequel vous pouvez déjà me joindre : alt.ju-58jpqyo@yopmail.com
Amitiés.
maggam, Jean-Yves,
Un autre grand Serge : Serge Brunier.
A lire, écouter, contempler, … entre autres exemples sur http://www.sergebrunier.com/gallerie/vl/
Et n’oublions pas Jean-Pierre Martin, sur http://www.planetastronomy.com/
où l’on peut s’inscrire pour recevoir ses news, une mine d’or !
Espérons que vous aussi aurez l’occasion d’aller observer (en privilégiés, que du bonheur) au http://picdumidi.com/fr/preparer-votre-sejour/nuit-magique-au-sommet
Nous sommes passés de l’infiniment petit à l’infiniment grand, pas grave, nous restons dans l’infiniment complexe 😉 et cultivons notre Chardin 😉 😉 😉
Amitiés.
RT
Re-,
Merci JY pour le lien sur la vidéo du Professeur Marc Henry.
Nous y retrouvons les idées débattues ici, quel bonheur !
Retour à la médecine indienne, au corps-esprit, aux domaines de cohérence travaillés par JY, …
Le champ … de Higgs, certainement à la clef.
Nous pourrions ajouter pour la topologie, le fibré principal, mais c’est de la Moldau (la crème de la crème) …
Merci pour vos références musicales, voici en retour Celibidache, son esprit participe tellement à l’harmonie qu’il est incontournable. Le DVD offre une meilleure définition que https://www.youtube.com/watch?v=b0EJ8U2dwEg
Bien à vous.
Bonjour,
Remy, Merci beaucoup pour le lien vers Sergiu Celibidache : 1H10 en première partie de leçon musicale étonnante et remarquable d’un Maître (J’ai également lu son parcours sur wikipédia). Et justement, les domaines de cohérence sont un orchestre dirigé par le chef d’orchestre qu’est le vide, au moyen de l’onde électromagnétique, sa baguette :
https://www.bioresonance-destress.com/upload/L%27homeopathie%20une%20th%c3%a9rapie%20quantique.pdf
et :
https://www.youtube.com/watch?v=7tva66YGzsA
Il y en a d’autres dont je retrouverai les liens.
J’ai visionné la vidéo du colloque de l’Orme (Michel Mons – CEA) : un exposé très clair et passionnant qui m’a d’ailleurs donné des nouvelles idées de simulations.
Pour la boite mail par yopmail, j’ai bien noté et je vais essayer de créer une adresse.
Bien à toi.
Bien à tous.
Jean-Yves
Bonjour Jean-Yves, maggam, tous,
Celibidache fut une révélation d’un ami qui l’a connu. Une personnalité si bienveillante, profonde, un génie qui puisait dans l’Harmonie. Il a peu enregistré mais j’ai de ses coffrets, qui sont généralement d’une très bonne qualité (chaine audiophile). Les “vibrations” parlent.
Il est passionnant de lire les intuitions d’un physicien aguerri comme Marc Henry (ton URL). Le sentiment partagé d’une lecture différente de la physique parvient même à un profane (comme moi), les coïncidences ne s’inventent pas, voici quelques sujets que j’explore actuellement :
– dualité onde-corpuscule, fentes de Young diffraction et … champ de Higgs. Comment passer du photon (sans masse), de l’électron (onde et particule), à l’atome, à la molécule, à la macromolécule comme le fullerène, à quand (le fera-t-on) l’ADN ?
A partir de quand disparait le caractère quantique d’une molécule ? Dépend-il seulement de nos outils ? Quels paramètres en décident “à nos yeux” ? Y a-t-il un seuil pour la masse, une courbe à suivre ?
– La température fait partie des données, on sait maintenant que le champ de Higgs est beaucoup moins fluide aux températures actuelles qu’au moment du Big-Bang (ou Big-Bounce). Dispose-t-on d’une courbe expérimentale (grâce au LHC …) ?
– à la température de 293,15 K, le champ de Higgs “freine” les particules ayant une masse. A ces 20°C, l’expérience suivie par le Pr Montagnier met-elle en jeu des liens avec les fluctuations du vide, les mouvements (imperceptibles) du champ de Higgs, ou “plus simplement” 😉 une fluctuation électromagnétique qui en serait une résultante ?
– une simple expérience de physique classique me ramène aux cavités bien plus complexes de Jean-Yves : https://www.youtube.com/watch?v=W1TMZASCR-I&feature=youtu.be
Dans quelle “mesure” les vibrations de l’ADN et celles de l’eau ne s’ “accordent-elles” pas, au rythme précisément qui permet la poursuite de cet “accord” pendant quelques picosecondes à qq nanosecondes ? Y a-t-il ensuite un amorti de ces signaux ?
– de même que la force électrostatique ne permet pas à ma main en appui sur un mur de le traverser (Feynman l’explique très bien dans son cours 🙂 ), elle empêche l’ADN de traverser la capsule, mais cette force électromagnétique lui permet de rayonner, pour peu qu’elle reçoive une excitation suivie d’une relaxation (comment ?), ou qu’elle bénéficie d’un apport d’énergie par les molécules d’eau qu’elle a elle-même excitées (d’où vient l’énergie ?).
Voici quelques questions un peu maladroitement posées.
Pour les mails, si vous le souhaitez, nous pouvons voir ensemble.
Je retourne à mes études, en musique.
Bien à vous.
RT
Précisions :
– quels rapports entre les fluctuations du vide et le champ de Higgs en mouvement ? Je pense plus à la manifestation du boson de Higgs (particule d’échange) dans les fermions qu’à sa désintégration, ici impensable aux faibles énergies. A son sujet (hautes énergies) : https://www.refletsdelaphysique.fr/articles/refdp/pdf/2015/03/refdp201546p4.pdf
– je m’interroge sur les oscillations de molécules (ADN) autant que sur l’électron qui ne s’écrase pas sur le noyau de l’atome. Cela a beau être “basique”, une particule puise bien son énergie quelque part, alors autant s’interroger à nouveau sur la présence ou non d’un éther, car le vide a bien une impédance (photons virtuels, effet Casimir, champ de Higgs, etc) => nouvelle donne ?
– enfin, il nous manque une ou quelques dimensions dans notre perception, en anglais c’est souvent mieux expliqué (Fibré principal) : http://www.popflock.com/learn?s=Principal_bundle
Bien à vous.
RT
Notes :
– je voudrais (hypothèse) faire la part d’interactions qui se déroulent dans le vide quantique, de celles qui mettraient en jeu le champ de Higgs.
Avec un vide qui met en jeu des particules de masse nulle ou faible et chargées éventuellement, un champ de Higgs qui n’interagit pas avec un proton, mais avec des bosons (qui peuvent appartenir à un proton, chargé), (l’impédance ne le concernerait pas).
– le vide étant l’état d’énergie minimale, se prête-t-il à la création de tous types de particules ? Pas les hadrons ?
– les particules virtuelles sont-elles forcément de faible énergie ?
En fait, derrière ces questions (comportant des erreurs, je m’en suis aperçu), je cherche à savoir quelles activités de créations/annihilations peuvent se passer en coulisse, qui produisent suffisamment d’énergie pour émettre des signaux supérieurs à l’énergie de “repos” des molécules, c’est-à-dire des émissions électromagnétiques qui puissent être captées par ce petit machin noir 🙂 .
Il faut être hérétique pour formuler autant d’hypothèses absurdes, ok.
Nous pouvons lire http://www.astrosurf.com/luxorion/quantique-particules3.htm qu’en pensez-vous, je n’ai parcouru que les extraits qui m’intéressaient.
Enfin, en médecine, on ne cherche pas à imposer un diagnostic à un patient, mais plutôt à savoir dans quel moule il pourrait rentrer ; en physique je force le trait, c’est hâtif, désolé.
Bonjour,
Voici des liens bien intéressants à conserver. Ca m’a bien plu de revoir cette expérience des métronomes qui a d’ailleurs été montrée en illustration par le Professeur M. Henry pour expliquer le comportement des molécules d’eau dans les domaines de cohérence.
Pour ma part, bien que mes connaissances au sujet du boson de Higgs sont peu étendues, je suis convaincu que faire intervenir ce concept dans l’explication théorique des phénomènes qui interviennent dans la “mémoire de l’eau” pourrait aboutir à une explication moyennant un raisonnement théorique adéquat. Les propriétés du boson de Higgs englobent certainement largement les phénomènes intervenant dans par exemple l’expérience de transduction. Cependant est-ce bien nécessaire de choisir cet arsenal théorique aussi puissant pour expliquer les phénomènes rencontrés dans le cas présent ? Pour faire un peu d’humour, c’est peut-être comme si on expliquait la chute d’une pomme à partir du pommier par la relativité générale alors que la loi de la pesanteur suffit avec les équations de Newton.
Il serait bien aussi de chercher à expliquer par des connaissances “classiques” – fussent-elles quantiques – les phénomènes de la mémoire de l’eau notamment (il est vrai que “j’y tiens” !) dans l’expérience de transduction de l’ADN. C’est la démarche du “rasoir d’Occam”. Il est vrai que les domaines de cohérence sont un concept nouveau mais celui-ci ne me paraît – je peux me tromper faute d’initiation suffisante – pas si éloigné que cela des connaissances quantiques “de base”. Les fluctuations énergétiques du vide me paraissent déjà un concept déjà très général et puissant ; Il faut faire le lien.
Pour moi il y a une question : c’est comment l’eau a pu conserver “la mémoire” électromagnétique de l’ADN durant le temps pendant lequel le tube initialement soumis aux ondes en est isolé une fois sorti du conteneur en mu-métal, ouvert puis additionné des éléments biochimiques pour la PCR. Je pense que ce temps de manipulation est de l’ordre de quelques secondes à une minute. Mais au niveau des molécules, c’est un intervalle de temps très grand. Il est vrai que des phénomènes de relaxation magnétique peuvent durer autour d’une seconde : comme en RMN par exemple. Pour les domaines de cohérence et les cavités moléculaires de grande taille comme l’ADN, quel est ce temps de relaxation (ou de persistance) des effets? C’est tout l’objet de mes simulations de chercher à l’évaluer. Mais expérimentalement que sait-on ?
La question vaut pour le tube émetteur surtout si dedans il n’y a peut-être pas de domaines de cohérence.
Eventuellement, est-ce que le paramagnétisme des molécules de dioxygène dissoutes dans l’eau intervient ? …
Si dans l’expérience de transduction, le tube d’eau soumis aux ondes électromagnétiques avait déjà contenu, de manière très diluée peut-être, les ingrédients de base pour la PCR au moment d’être soumis aux ondes électromagnétiques, pour moi la question ne se poserait pas puisque sous la stimulation électromagnétique, les bases d’ADN auraient pu commencer à s’assembler en ADN , même en petite quantité.
De même, si le tube émetteur des ondes avait contenu l’ADN, le fait qu’il émette des ondes électromagnétiques serait moins surprenant étant donné la structure chargée électrostatiquement de l’ADN :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_d%C3%A9soxyribonucl%C3%A9ique
Cela dit, merci Remy pour ta recherche pertinente. Cela commence à faire une bonne bibliographie (audio et vidéographie). Partons en effet de la démarche qu’il faut tout envisager.
Mais on va trouver ! C’est certain.
Bien à tous.
Jean-Yves
Bonjour Jean-Yves, tous,
Il y a un problème qui me perturbe beaucoup, c’est celui de l’ordre de grandeur.
Tu l’as lu, je suis équipé d’amplis audiophiles, c’est-à-dire optimisés par les meilleurs ingénieurs, il n’y a pas de souffle, les préamplis peuvent être “shuntés” par des relais, l’amplification à certains étages est directe, rien que pour éviter UN couplage par condensateur, générateur de bruit, et nous ne sommes pas dans l’instrumentation puisqu’en final c’est l’oreille humaine le détecteur.
J’ai conçu des amplis à transistors, à amplis opérationnels, avec des composants de qualité supérieure pour réduire le souffle. Ils donnaient de bons résultats mais il y a toujours beaucoup de problèmes à gérer :
– les masses (boucles, potentiel, radiations environnantes, etc
– la sensibilité, le nombre d’étages, le filtrage et passe-haut / passe-bas, la contre-réaction ou non, la linéarité, etc.
Le seul fait d’être en boucle ouverte peut déclencher une amplification infinie, la saturation, la distorsion, etc.
Lire sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Amplificateur_op%C3%A9rationnel
Le premier étage le plus sensible peut comporter un transistor à effet de champ (FET) ; le seul fait de toucher sa grille peut le détruire (décharge électrostatique). Je n’imagine pas le gain énorme pour capter le signal d’une molécule, l’amener jusqu’à quelques mV.
Il faut imaginer la bande passante du capteur = bobinage soumis à un aimant permanent, le parasitage, le rapport Signal/Bruit, etc.
Par conséquent, même si on arrive à amplifier la tension d’un million de fois, il faut aussi que le courant induit dans la bobine soit suffisant, d’ailleurs en l’évoquant je crois qu’il faut plutôt réaliser un amplificateur de courant : le potentiel induit par l’opérateur est déjà de l’ordre du mV. Le champ magnétique terrestre est verticalement de 100V/m je crois (relire Feynman 😉 ), donc il faut tout blinder sur tout le parcours.
Si on en arrive là, il faut que la molécule d’ADN émette des signaux supérieurs à ceux que le capteur peut attraper de son environnement. Imaginons une personne qui passe à 2m avec une montre …
Je suis un peu perdu encore une fois.
Il faudrait puiser dans de plus hautes énergies.
On peut toujours demander au laboratoire http://www.apc.univ-paris7.fr/APC_CS/ ce qu’ils en pensent, ils ont quelques génies, des capteurs puissants dans différentes longueurs d’ondes, la pratique du refroidissement par cryostat, etc.
Amitiés.
Bonjour,
… Oui …
Merci Remy pour tes références en électronique. Ce fut une révision d’un cours d’école bien intéressant. Il faudrait effectivement convaincre un laboratoire de faire des mesures précises dans les conditions rigoureuses qu’ils savent mettre en oeuvre (le laboratoire d’analyse des particules en cosmologie paraît bien captivant).
Devant les sceptiques, gardons ici le sens de l’humour pour ce qui suit :
Effectivement, le matériel qui est utilisé dans l’expérience de transduction de l’ADN paraît tellement sommaire que l’on peut se demander comment ils ont pu détecter un signal électromagnétique aussi tenu que celui de la mémoire de “quelques” molécules (d’ADN). D’ailleurs au fond, moi je me demande même après coup si la variation de signal montrée par Jamal Aïssa ne serait tout simplement due à un effet capacitif dû à la simple présence du tube rempli d’eau sur le dispositif de détection.
Pour ce qui est de la restitution de finale de l’ADN de départ : pour le Professeur Montagnier, ça marche à tous les coups (!). En Italie, ça ne marche pas à tous les coups. Ca fait plus réaliste .(…). L’hypothèse d’une contamination intempestive est alors suspectée numéro 1 ! On bombe ainsi toutefois le torse en disant :”Voyez-vous, demain on soignera par les ondes !”. Comme pamphlet d’explication théorique on “invoque” jusqu’à l’intervention du boson de Higgs ! (rien que ça ! – de qui ça vient en premier ? …) … Ca fume !! … mais ce n’est pas grave. Ca fait trente ans que cela dure … On a sorti l’expérience suprême “du chapeau”. Ca a fait son effet. On peut se dire aussi : “qu’est ce qu’on fout !?”
… Moi je dis : Chapeau ! … – fin –
Mais moi il y a un truc qui me gêne là dedans … un tout petit truc en fait … (Ca n’engage peut-être que moi mais aussi je ne suis peut-être pas le seul), et c’est pour cette raison que de mon côté je vais quand-même continuer les simulations dynamiques moléculaires voire augmenter mes moyens de calcul quand je le pourrais … quitte à peut-être perdre un peu mon temps au bout du compte, mais comme de grands chercheurs cherchent aussi ou ont cherché.
https://www.psiram.com/fr/index.php/Emilio_Del_Giudice
Si cela se trouve, effectivement peut-être que l’on ne trouvera rien.
Les sceptiques peuvent aussi souhaiter “bon courage” à ceux qui cherchent. c’est toujours sympathique.
C’était juste un petit coup de pied !
A bientôt.
Jean-Yves
Bonjour Jean-Yves, tous,
Après ces petites recherches qui m’ont aussi bien distrait, je vais retourner à mes activités.
Il me parait inutile d’insister tant que les intéressés n’expriment pas eux-mêmes l’envie de partager. il faudrait au moins qu’ils communiquent :
– le schéma de la partie électronique
– le programme de leur PC
Cela devrait suffire pour lever les doutes ou accusations de leurs détracteurs.
Ensuite, il serait temps pour la réflexion et non pour la spéculation (voire la sodomisation de diptères).
Ce qui me rassure est qu’il existe de très bons labos : http://www.in2p3.fr/laboratoires/laboratoires.htm , l’Institut Pasteur, le CERN, LIGO et Virgo, Super-Kamiokande et tant d’autres, pour avancer la recherche et produire des documents tangibles.
Bonne continuation.
Bonjour à tous,
Merci pour la liste de laboratoires Remy. Il y a effectivement de quoi faire. Je vais étudier cette liste. Je vais aussi essayer de recontacter le Professeur Marc Henry. La première étape que je souhaite soumettre est de vérifier l’existence d’une émission électromagnétique radio, microonde, ultrasonique ou audible (?) (en dessous de 20 gigahertz) par une solution aqueuse de composés, biologiques ou autres, avant de parler de l’expérience de transduction complète.
Pour les émissions dans le visible et l’Infrarouge, c’est effectivement bien connu.
Il est aujourd’hui connu qu’il y a des ondes électromagnétiques émises par les systèmes biologiques dans le rayonnement UV.
http://www.spirit-science.fr/doc_humain/ADN6photons.html
En même temps je vais effectuer de nouvelles simulations.
Je propose ci-après pour illustration une petite expérience musicale comparative pour illustrer ma vision sur la mémoire de l’eau :
https://www.youtube.com/watch?v=q8MtFhj82sQ
et (Ha !) :
https://www.youtube.com/watch?v=_zKiDXbwdR0
Les oreilles fines auront reconnu la version jouée sous la direction de Herbert Von Karajan.
Pour la première version je ne citerai pas le nom du chef d’orchestre. D’ailleurs, ça se passe de commentaires …
Pour toi Remy et pour te remercier de toute ta contribution dans nos échanges sur le blog (mais aussi pour tous), voici une autre expérience musicale passionnante dirigée par Un Chef d’Orchestre que tu apprécie, qui m’a beaucoup plu et que je partage :
https://www.youtube.com/watch?v=gy5Ve3338-E
Tout cela pour illustrer la naissance, et la bonne marche d’une découverte scientifique. On en conviendra, cela ne va effectivement pas toujours comme cela.
Petit divertissement de physique : une chaîne de correspondances étonnante :
A 20 gigaHertz qui est la fréquence d’absorption microonde de la “rotation” des molécules d’eau, la longueur d’onde des ultrasons (vitesse du son dans l’eau : 1500 m/s) de même fréquence est de 75 nanomètres. Elle correspond à la longueur d’onde du photon piégé dans les domaines de résonance (indice de réfraction de l’eau égal à 1.33, énergie du “gap” correspondant : 12,07 eV) et qui est la périodicité spatiale des domaines de résonance.
C’est une coïncidence qui m’a bien intéressé pour illustrer une résonance quantique.
Bien amicalement à tous.
Jean-Yves
Bonjour,
Je souhaitais quitter, mais Jean-Yves a joué sur la corde faible, et tiens voici de quoi rire avec https://www.youtube.com/watch?v=m8Y5x1N_aIg ou quand le génie se fait aussi cabotin pour donner de l’œuvre d’un compatriote une version fabuleuse.
Et pourquoi n’avais-je pas aussi évoqué ce travail, le meilleur sur le sujet ?
http://www.spirit-science.fr/doc_humain/ADN4musique.html
Un contact de plus, peut-être ? https://blog.espci.fr/mephy/?id=rencontres%3A2010-2
Ton hypothèse sur l’effet capacitif à mon avis l’emporte sur toutes les suppositions “abracadabrantesques”. Avec un peu d’imagination et le paramétrage tendancieux d’une FFT ou un bon fenêtrage, on peut trouver des motifs même avec un bruit blanc, un exemple avec http://www.ni.com/white-paper/4844/fr/
Cela produit de belles courbes, mais pour ce qui est de la lecture d’un brin d’ADN, je suis sec sans l’électronique et sans le programme. Pas d’autre idée …
Amitiés.
RT
Bonjour,
Merci encore pour tous vos liens mais là je suis vraiment complètement dépassé. Je ne suis pas docteur en physico-chimie (qui comprend tellement de spécialités que pour tout maîtriser…) mais seulement un simple prof de sciences physiques.
Bravo d’être des passionnés mais je pense que cette histoire de transmission génique par ordinateur va finir par tomber à l’eau,
si j’ose dire… j’étais juste passé sur ce site pour dire que l’homéo c’est du pipeau. Pour le reste ?
Si c’est comme la cosmologie on n’est pas sorti de l’eau-berge !
Bonne continuation et heureux d’avoir un peu suivi vos discussions. Amicalement.
maggam
Bonjour,
Ce fut un moment de détente en écoutant un grand orchestre dirigé par un chef à la chorégraphie (très codée d’après les cours qu’il donne au conservatoire) expressive.
L’association de notes de musique avec les protéines ou avec la physique des particules – l’article est très intéressant – j’en ai entendu parler dans une conférence du Professeur Marc Henry sur la chaîne youtube (je n’ai plus la référence – j’en ai écouté un certain nombre “à la pêche”). Il est fort de constater que ça marche et que l’on aboutit à des applications, et que d’ailleurs ces découvertes ne sont pas nouvelles. On peut lire dans l’article que beaucoup de chercheurs du domaine sont des musiciens.
Les ondes d’échelle sont également un aspect intéressant : Ainsi une protéine est bien plus que l’assemblage des acides aminés qui la constituent car elle possède des propriétés nouvelles indépendante des propriétés de chacun des acides aminés pris séparément. En chimie, la molécule d’eau est polaire alors que les atomes qui la constituent ne le sont pas. Il y a 107 éléments chimiques aux propriétés toutes différentes alors que l’on a que trois constituants de base (protons, neutrons et électrons).
Pour ce qui est de la transformée de Fourier, j’ai eu appris et expérimenté par le calcul informatisé que sur un intervalle de temps fini comportant un petit nombre de périodes du signal, le balayage en fréquence à l’aide de la transformée de Fourier donne des pics élargis. Merci Remy pour cette page de rappel mathématique, importante à consulter.
Le GDR MePhy semble être un organisme qui est assez pluridisciplinaire. J’ai lu qu’Il y a des conférences à l’Institut Henri Poincaré. C’est prestigieux.
Pour ma part – c’est peut-être un gag – je propose de chercher le mot clef “expérience du riz” et “Masaru Emoto”, le naturopathe japonais qui en a été à l’origine. Je n’ai pas de référence préférentielle car il y a pléthore de blogs et de vidéos diverses. J’ai tenté l’expérience mais avec du riz cru dans de l’eau (du riz cru sec ne donne pas grand chose) pendant 6 mois et elle a marché. Je l’ai recommencée depuis bientôt trois semaines avec de la semoule cuite (à l’eau) et ça semble marcher parfaitement : Les émotions négatives font pourrir l’aliment à grande vitesse alors que les émotions positives les préservent. Mais alors le rôle de l’eau dans tout ça ? (comme pour la musique et les protéines ?). Ce qui est étonnant, c’est que ça marche ! … Si l’eau n’a pas de “mémoire” (disons : pas de longue durée) elle n’est peut-être pas pour autant innocente dans nos affaires !
A bientôt.
Jean-Yves.
Bonjour express,
En attendant de savoir ce que la machine de l’expérience a dans les tripes, à titre très général je voulais signaler cet ouvrage que l’on voudrait tous avoir écrit, qui est bien au début, me plait moins ensuite :
Thermodynamique de l’évolution : Un essai de thermo-bio-sociologie Broché – 31 mars 2012, de François Roddier, ainsi que la vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=H7ErDjEOogg
Cela répond à la note de Jean-Yves sur les propriétés émergentes, bien qu’ici on touche à la culture générale plus qu’aux mécanismes fondamentaux, qu’il faudrait percevoir en finesse à tous les étages de la construction du vivant.
Nous sommes dans le brouillard avec des généralités, même si certaines interpellent comme https://www.youtube.com/watch?v=xO7MypWw_VM , un bon cours de biochimie serait un bon début.
Le cours 4, page 4 de cette URL https://moodle.umons.ac.be/course/view.php?id=53 est déjà plus joli que http://www.info.univ-angers.fr/~richer/ens/l3info/ao/img/gulftown_diemap.jpg car le principe est plus adaptatif.
Nous allons plus loin avec https://eventil.com/events/prediction-d-interactions-proteine-proteine-avec-du-deep-learning
Tout cela pour rappeler qu’à chacun son métier, établir des ponts au plus haut niveau reste de l’épistémologie, réservée aux génies ou aux leçons tirées en fin de carrière.
Faire parler les talents et les faire se rencontrer est l’ultime récompense, pas il ne faut pas en ABUSER, c’est ce que je crains par dessus tout.
Il serait temps de démonter cette “machine infernale”, non pour casser des rêves ni l’expérimentation de ces dernières décennies, mais pour éviter d’épouser la Science après en avoir tué un de ses pères, que Lumière soit faite, paraphrasant ainsi Cocteau.
Amitiés.
Remy Turing
Bonjour,
Je vais te répondre, Maggam, que le métier d’enseignant que tu fais est une bonne charnière pour articuler un dossier comme par exemple celui de la mémoire de l’eau. Je suis presque sûr que des élèves ont posé un certain nombre de questions suite à l’émission du 5 juillet 2014 sur France 5. Comment répondre aux questions des élèves en restant prudent tout en étant objectif ? Un cours sur les propriétés de l’eau est par exemple en plein dans le sujet. L’humilité est une qualité phare pour les profs mais il ne faut pas qu’ils se sous-estiment. En ce qui me concerne, j’ai été enseignant en chimie de laboratoire pendant 3 ans. J’étais en fait un piètre “conférencier” mais un bon expérimentateur (je passais beaucoup de temps au labo pour préparer les travaux pratiques dans le détail) . J’ai bien apprécié de motiver des élèves même s’ils n’étaient “pas très bons” pour leur montrer qu’en mettant du coeur à l’ouvrage, ils pouvaient faire fonctionner une distillation ou réussir un réaction chimique … et ça a souvent marché !
Aussi je trouve que que ta place est tout à fait parmi nous. Pour traiter un sujet aussi complexe (que la “mémoire de l’eau”), il faut éviter la monoculture des savoirs et des façons de penser.
Merci pour avoir dit que tu es enseignant (en Sciences Physiques).
Quand je dis que sur ce blog que nous pouvons réunir toutes les compétences pour refaire “proprement” l’expérience de transduction – et faire un bon exposé pédagogique du résultat si elle marche au bout du compte, je pense que je m’avance peu. Seulement voilà : nous ne sommes pas des chercheurs en laboratoire sur le sujet, ce n’est pas notre métier. Nous n’avons ni le temps ni les moyens matériels de pratiquer ce type d’expérience. Mais on peut faire des expériences corollaires plus simples et tout aussi spectaculaires.
Pour l’expérience du riz par exemple, nous ne sommes pas des japonais avec leur état d’esprit ! Mais personnellement j’ai appris – et aussi réappris – quelque chose en la faisant.
petit clin d’oeil :
https://blogs.mediapart.fr/bernard-sudan/blog/151014/un-nouveau-paradigme-en-biologie-et-en-medecine-leau-et-la-memoire-des-vibrations
Comme quoi, ça va loin !
Bonne soirée à tous.
Jean-Yves.
Bonjour Jean-Yves,
Ce n’est pas parce-que je n’ai plus d’arguments pour aller dans ton sens que je m’y oppose.
De passage juste pour signaler que la problématique est abordée plusieurs fois dans l’ouvrage ISBN 9782749149868 “La santé autrement” par le Dr Antoine Demonceaux, notamment p.27 à 45 = chapitre 2.
Le livre traite de l’homéopathie ; j’aime bien la phrase d’introduction du chapitre 2 : “Ce n’est pas parce que je ne connais pas ou que je ne comprends pas que cela n’existe pas” – Pr Luc Montagnier.
Il reste que j’ai du mal à saisir pourquoi une quantité aussi faible qu’une seule molécule pouvant avoir des effets sur le système immunitaire (j’y crois), pourrait émettre un signal électromagnétique détectable par des instruments prévus pour fonctionner à une autre échelle de puissance (d’un ordre supérieur de plusieurs puissances de 10).
On pourrait s’interroger :
– sur des interactions avec la matière si l’on a affaire à l’effet photo-électrique, ou avec les photo-multiplicateurs de super kamiokande,
– sur les interactions avec de la matière dans un état métastable comme dans les chambres à bulles,
-=> mais à quoi devrait-on la détection de signaux infinitésimaux sans cascade d’amplification autre que celle prenant naissance dans un bobinage et traversant des transistors soumis à leur propre agitation thermique ?
Ouvrons le ventre de la poule aux œufs d’or !
Amicalement.
Bonjour Remy,
Merci pour ton message.
Pour ma part, je te remercie par exemple pour m’avoir éclairé sur la performance du matériel électronique de détection nécessaire pour l’expérience de transduction. Il faut dire que l’expérience présentée dans l’émission du 5 juillet 2014 est effectuée dans des conditions tellement “dégueulasses” (pas de gants, pas de blindage …) – désolé, mais il effectivement faut dire ce que l’on pense au bout du compte – que l’on ne peut évidemment “rien en tirer” comme telle. Mon but est de faire une recherche par simulation dynamique moléculaire pour vérifier à l’aide de modèles basés sur des connaissances scientifiques prouvées si cette expérience a éventuellement malgré tout un sens. Je dois reconnaître que ce n’est pas facile. Mais bien entendu, rien ne vaut la preuve expérimentale pour démontrer la réalité d’un phénomène. Tant que le “remake expérimental” n’aura pas eu lieu, on ne pourra rien conclure. Je pense néanmoins que “ça vaut le détour” de la refaire. En échangeant nos compétences on a relevé entre nous bien des actions protocolaires à mettre en oeuvre pour faire une expérience un peu plus “crédible”.
J’ai rédigé récemment une note sur des simulations dynamiques moléculaire de domaines de cohérence dans l’eau. Il paraît qu’une expérience faite en Chine démontre leur existence dans des nanotubes (Chercher “domaines de cohérence” dans les rapports de l’ISIS) :
https://isias.lautre.net/IMG/pdf/sans_nom_1-3.pdf
Pour l’homéopathie, il y a un probablement un esprit corporatif qui fait que les différents antagonistes ont du mal à s’entendre. Les homéopathes travaillent avec des principes de dilution vieux de plus de 200 ans, jamais remis en cause même après la découverte de la limite d’Avogadro (postérieure à Hahnemann). On accuse alors l’homéopathie d’utiliser l’effet placébo … avec une petite amélioration d’autosuggestion car les homéopathes font quand-même un certain travail avec leurs patients … et ça marche dans de nombreux cas. Cependant, j’ai pu voir au travers de quelques lectures que le système immunitaire a une réaction biphasique en fonction de la concentration des agents infectieux : en dessous de d’une certaine concentration il est très actif, au dessus, il est dépassé. Cette concentration seuil se situe tout de même bien au dessus du seuil d’Avogadro. Il n’est donc pas à mon avis nécessaire de faire des dilutions très poussées pour obtenir une réponse “soignante” de l’organisme. D’ailleurs les laboratoires Boiron ont bien dû commencer à s’en apercevoir : ils commercialisent de la vitamine C diluée à 4CH (pas plus !). Effectivement, en faisant le calcul (on part d’une solution à 10 g/ L – un comprimé de 1000 mg dans un verre d’eau – et on dilue donc par 1E8), on peut montrer que chaque globule blanc de l’organisme reçoit tout de même une “douche” de quelques milliers de molécules d’acide ascorbique. Cela suffit probablement à le stimuler. Comment protéger la vitamine C de la dégradation gastrique et intestinale ? Les laboratoires pharmaceutiques savent bien le faire (par encapsulation par exemple). D’autant plus que les besoins journaliers par ingestion, de l’organisme en vitamine C sont assez faibles : environ 1 mg par Kg (un peu moins de deux oranges pour un individu adulte). La quantité qui parvient dans le sang est sans doute bien inférieure à cette valeur. Finalement on est déjà presque à des besoins homéopathiques !
Quand je considère tout cela, je suis assez enthousiasmé de voir que le débat n’est pas fini. Maintenant il faut convaincre.
Je te donne ci-dessous lien sur le discours de clôture de Cédric Villani lors de la conférence à l’UNESCO le 8 octobre 2014 :
https://www.youtube.com/watch?v=lrZY5OkA6Dg
Amicalement.
Jean-Yves.
Ce commentaire, je préviens, n’a rien de scientifique et l’on pourrait le mettre à caution puisque je suis un lointain cousin de Jacques BENVENISTE.
Je l’ai connu sur le tard quelques années avant son décès, et c’était un personnage très attachant je dois dire.
Il m’a exposé ce que je vais relater dans son laboratoire situé dans des Algeco, après qu’il soit tombé dans une disgrâce totale, en bas’ dans la cour même des locaux qu’il occupait précédemment à l’INSERM.
Ce qu’il m’a -entre autres expliqué- et qui motive ce commentaire aujourd’hui c’est qu’il avait remarqué (après bien des errements) qu’une personne de son laboratoire faisait d’échouer systématiquement les expériences de biologie s’il s’en approchait à moins d’un mètre environ.
Cela expliquait selon lui que ses expériences ne pouvait pas être reproductibles au taux nécessaire à leur validation.
Je souligne cela parce qu’il est important -si certaines expériences échouent régulièrement- que quelqu’un d’autre, dans les mêmes conditions expérimentales, les réalisent de telle sorte que l’on puisse mettre en évidence cette assertion.
Jean Jacques BENVENISTE
Bonjour,
Oui, Merci Jean-Jacques pour votre précision. Pour ma part j’ai effectivement appris cela en lisant les premières pages du livre “l’âme des molécules” du Dr Francis Beauvais qui a fait par ailleurs une analyse remarquablement menée des expériences avec les robots de l’association Jacques Benveniste. Il montre clairement que suivant l’opérateur on a des réponses statistiques très distinctes :
http://www.astrologie-quantique.info/Francis-Beauvais_Mecanique-Quantique-et-Memoire-de-l-Eau.pdf
Dans une autre approche qui peut néanmoins faire sourire, J’ai essayé l’expérience du riz du Dr Masaru Emoto, je l’ai faite avec du riz cru dans de l’eau et je l’ai recommencée avec de la semoule cuite à l’eau. Elle a marché dans les deux cas : le pot étiqueté “je te déteste” soumis aux émotions vocalisées correspondantes voit la partie de son contenu en contact avec l’air pourrir, tandis que le contenu du pot “je t’aime” (émotionné lui aussi de façon adéquate) reste “frais” (à quelques détails près). Le contenu du pot “témoin” (sans émotion) évolue “à sa façon” sans particularité. Je fais ces expériences seul. Est-ce que le résultat serait le même si une autre personne (éventuellement plus ou moins dubitative) était présente à côté de moi au moment des stimulations émotionnelles ? Bonne question.
Qu’est-ce que l’eau peut bien faire dans tout ça ?
* Pour Remy s’il revient faire un tour :
https://www.youtube.com/watch?v=6tQJ57M-e2U
mais aussi :
https://www.youtube.com/watch?v=2iRrhShS9Fs
Si les démarches scientifiques pouvaient avancer de façon aussi cohérente et déterminée, ce serait trépidant : on cherche on trouve – Mais on va trouver ! … C’est une véritable énigme policière !
A bientôt
Jean-Yves
Bonjour Jean-Yves,
Merci pour les URLs sur Celibidache, dans mes CD il n’y a pas tout …
L’Union européenne élabore en ce moment son cadre budgétaire pour la période 2021-2027, donc son budget pour la recherche et l’innovation. Pour celui-ci, la proposition de la Commission, qui date de … lire :
http://flip.it/OyBkZz
La mémoire de l’eau est un sujet tellement théorique et controversé qu’on demande aux étudiant de ne pas l’évoquer dans leurs copies. L’astronomie en un temps visait tellement haut, qu’elle fut interdite par l’Eglise …
Autant je ne crois pas en la détection d’un signal aussi ténu que celui d’une molécule avec les moyens engagés dans cette expérience, autant je m’intéresse au procédé technique utilisé (électronique, informatique).
Le Pr Montagnier n’entreprend plus lui-même les expériences, mais il aide la recherche au travers de son association IRLM (Institut de Recherche Luc Montagnier) il continue de prêter sa voix.
Au point qu’une commission parlementaire voit le jour sur http://www2.assemblee-nationale.fr/instances/fiche/OMC_PO747057
Composition du groupe d’études : maladie de lyme
au 12 novembre 2018
XVe Législature – Legislature courante
S’il remporte la bataille rageuse sur la maladie de Lyme, il permettra peut-être enfin à la science et notamment à la médecine de progresser sur le terrain des maladies infectieuses et des maladies auto-immunes.
J’ai lu l’article qui le déboulonnait sur https://chroniqueszetetiques.wordpress.com/2017/02/15/les-vaguelettes-de-luc-montagnier/ et la défense enthousiaste que tu as pratiquée.
Quand on lit “Notamment, l’origine bactérienne des maladies telles qu’Alzheimer et l’autisme lui permet de trouver des remèdes là où les autres échouent.”, il y a de plus en plus d’articles à ce sujet. Je peux fournir énormément d’URLs qui en font état. Il semble être dans le vrai.
Quand on lit “Il est tombé dans le mythe des aliments antioxydants, qui sont supposés guérir naturellement en retardant le stress oxydatif des cellules. “, cela fait certainement référence aux radicaux libres sources de cancers, encore une hypothèse largement travaillée par la communauté scientifique (biologistes).
Quand on lit sur les “aliments boostant le système immunitaire” (curcuma, par exemple ???), on sait au moins que nombre d’entre eux provoquent des intolérances alimentaires (IgG), tels les protéines de lait, mais aussi le lactose (un sucre), le gluten (maladie céliaque), …
Quand on lit “Sur la question de l’autisme en particulier”, je me limite à renvoyer sur http://sante.lefigaro.fr/article/autisme-une-approche-prometteuse/ qui l’un de ces milliers articles évoqués. L’intestin, notre deuxième cerveau, une hypothèse en expansion …
Quand on lit “en passant sur sa confusion entre une épidémie et un dépistage plus efficace”, qui renvoie aux faiblesses du test Elisa sur la maladie de Lyme, aux recommandations d’utiliser le test Western Blot (sujet débattu avec pugnacité par les défenseurs et détracteurs) …
Quand on lit “il avance que la maladie provient d’une faiblesse immunitaire laissant passer des bactéries dans le sang”, c’est tout le problème posé en référence à la Barrière Hémato Encéphalique et à la perméabilité intestinale (consensus médical +++). car les lymphocytes attaqueraient dans le cerveau des bactéries, des virus, et/ou des cellules de myéline présentant des épitopes de pathogènes (recherche très conséquente sur le sujet, très nombreuses interrogations). L’immunité croisée est une alternative à la pénétration de microbes dans le cerveau. Cela concerne aussi la maladie de Crohn, la RCH, etc. De nombreuses thèses …
Quand on lit “Par désespoir, certains décident de changer leur traitement pour suivre de nouvelles voies qui semblent prometteuses.” je vois un amalgame possible, mais il est vrai que si des patients explorent des pistes, d’autres ont abandonné leurs traitements (anticancéreux, etc), pour pratiquer (avec des conséquences souvent fatales) des traitements alternatifs (alimentation, compléments alimentaires, etc) qui ne marchent pas toujours (soyons prudents !).
Quand on lit “Bien que les thérapies réellement efficaces ne soient pas incompatibles avec le fait d’absorber des ondes ni de manger des brocolis”, il faut savoir que les choux en général sont proscrits aux patients traités par des anticoagulants, car le brocoli et autres (comme le persil, la salade, etc, mais en quantité moindre) contiennent des vitamines K.
BREF, il ne faut pas tout mélanger.
Le Professeur Montagnier est crédible sur la grande majorité de ses assertions, il est admirable.
Sur le chapitre qui nous intéresse, c’est bien une interrogation. Il n’affirme pas.
C’est le banc de test qui doit être examiné pour aller plus loin.
Je poursuivrai ma quête avec toi et d’autres, Jean-Yves.
Amitiés.
RT
Bonjour à tous, à Jean-Yves,
Une bonne fée m’a communiqué :
https://www.youtube.com/watch?v=kBFs2TF0xDw
http://jacques.testart.free.fr/index.php?post/texte868
https://histoire.inserm.fr/les-femmes-et-les-hommes/jacques-benveniste
Un article rappelle des faits sur l’expérience, son contexte,
https://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1208#nh8
Pour information la vidéo sur Youtube montre une impédance de 300 Ohms pour le bobinage (et ne fait pas état d’un aimant), cf à 6’48s.
Je m’interroge :
– sur le fait qu’une seule molécule peut déclencher une réaction immunitaire sur une cellule, en souvenir de ce qu’a écrit le Dr Deepak Chopra,
– sans encore considérer de mémoire de l’eau, une dilution poussée mais conservant – OU NON – UNE molécule (traces d’ADN ou d’ARN ou autre) suffirait à activer un basophile (OU A NE PAS l’activer), cf https://www.passeportsante.net/fr/Maux/analyses-medicales/Fiche.aspx?doc=analyse-polynucleaires-basophiles-sang
==> cette URL mentionne que “Ces cellules mobiles se déplacent vers les sites de l’organisme où siège une infection ou une inflammation. Cette migration se fait sous l’influence de molécules chimiques émises par l’agent pathogène ou induites par lui, qui les attirent au « bon » endroit.”
Cela m’interpelle, me fait penser au chimiotactisme, se référer aux https://fr.wikipedia.org/wiki/Chimiokine (s), mais comment agissent ces molécules ? Par diffusion, rencontres, …
Etape suivante, ce document :
https://www.phys.ens.fr/IMG/pdf/examen_2012-2.pdf
Cette phrase (sortie de son contexte) “l’échelle d’une cellule telle qu’une bactérie, les transports moléculaires s’effectuent majoritairement par diffusion.” me laisse penser que tout est régi par les rencontres de molécules, excusez mon faible niveau en biologie. C’es en tous cas “conforme” …
Mais SI l’eau aidait à conduire l’information, à diffuser A DISTANCE et/ou PAR TRANSFERT D’UN SCHEMA la “géométrie” de la molécule “recherchée” pour combler un site ou un site pour placer une molécule, nous serions bien hérétiques de le penser, mais nous pourrions nous rapprocher de la problématique ?
Je suspens pour le moment.
A très bientôt.
Amitiés.
RT
Jean-Yves, tous,
La vidéo HD https://www.youtube.com/watch?v=kBFs2TF0xDw donne beaucoup d’informations. Je m’y réfère par la position depuis le début du film.
Le laboratoire serait à Jouy-en-Josas (7’05s), j’espère qu’il y est encore.
– date du tournage donnée par des fichiers ? : 111212, soit 11 déc 2012 ou 12 déc 2011 ?
– les apports d’énergie que j’ai pu noter, sur la vidéo, viennent essentiellement du Vortex Génie 2 (agitateur, vu à 11’51s – 11’56s)
– le logiciel MATLAB est utilisé, on le voit à 15’00s, en dépit d’une erreur la moulinette parcourt des échantillons, qui ne correspondent pas aux numéros des tubes énoncés, mais ce peut être du au montage. Autre erreur – boot Windows – visible (à cause du montage ?) à 8’49s. Peu importe, après tout. Les fréquences sont clairement visualisables (15’42s, 15’59s) : entre 20 Hz et 16000Hz, elles sont filtrées par le logiciel, mais si ce capteur est de type utilisé en téléphonie c’est sa bande passante usuelle.
– le capteur comprend un bobinage et peut-être pas d’aimant (non figuré sur le schéma de principe à 6’47s). J’ai lu ailleurs que le PC utilise une simple interface d’acquisition.
– les tubes utilisés sont des 6è et 7è dilutions (15’27-15’31s).
– 2 nanogrammes de matière a été diluée au départ, avant les dilutions (12’09s)
– lecture des tubes pendant 6s (14’06s)
– la synthèse en Italie utilise un enroulement de spires très dense. Une solution contenant des acides aminés et la (les ?) polymérase(s) pour synthétiser la séquence d’ADN.
– il faut vraiment s’intéresser, comme tu le fais, aux domaines de cohérence.
– il y a “transduction”, le journaliste évoque une téléportation, on ne parle pas de “génération spontanée” mais que dirait Pasteur ? (Est-ce une blague ?)
C’est intéressant de visualiser, notamment à partir de 4′, une autre vidéo https://www.youtube.com/watch?v=WK3L2P33AKI qui fait le lien entre des pathologies, des microbes et leur (je dirais) “signature” numérique.
(Scusa pour les fautes d’orthographe résiduelles)
Bien à vous.
Bonjour,
Remy, merci pour avoir donné l’occasion d’écouter le Docteur Jacques Benveniste grâce à ton lien. Ce fut un vrai plaisir et j’aurais aimé être aussi le thésard de ce grand directeur de recherche. Au fond d’ailleurs, l’INSERM commence à lui rendre hommage (Cf les autres liens -2011 !). Celui que l’on a jeté autrefois avec les pieds, on vient maintenant le “rechercher” avec les mains ! Mais c’est tout de même une bonne chose.
Il y a un multiplex de 1h 15 mn qui suit la première séquence : Une bonne soirée en perspective !
Pour poursuivre dans les simulations dynamiques moléculaires, je fais un détour sur les vibration sonores dans l’eau. (cf. le bol tibétain) :
https://desmusiquespourguerir.com/le-pouvoir-des-bols-tibetains-instruments-therapeutiques/
mais le serveur du lien n’est pas toujours actif.
Je fais ainsi “vibrer” (par compressions et dilatations successives) la boite de simulation contenant les molécules d’eau à différentes fréquences et je regarde l’évolution de l’énergie de cohésion et les mouvements des molécules. On va voir ce que cela donne. Après je vais étudier les variations du moment dipolaire moyen de molécules d’eau en présence d’une molécule étrangère plus complexe que le méthane précédemment étudié : je vais essayer une molécule polaire plus proche d’un acide aminé. Ces simulations vont tenter de mettre en évidence la possibilité de génération d’un signal électromagnétique radio – aussi faible serait-il – par de l’eau en présence de biomolécules étrangères.
Le chimiotactisme : cela me rappelle une vieille simulation simplifiée d’une bactérie que je soumettais à un stress variable par destruction de sa membrane. Je regardais ensuite la courbe de récupération de la bactérie (noyau, ARN messager, ribosomes, milieu cytoplasmique avec acides aminés, protéines membranaires, membrane … et si je le reprenais en incluant une transmission électromagnétique entre les molécules …
Il y a d’ailleurs aujourd’hui un modèle sur la vie cellulaire assez élaboré :
https://www.pourlascience.fr/sd/biologie-cellulaire/simuler-une-cellule-vivante-7939.php
A bientôt.
Amitiés.
Jean-Yves.
Pourquoi s’acharner à chercher une explication chimique à un phénomène qui est purement physique. La mémoire de l’eau est une conservation d’ondes. Ces ondes, si elles correspondent au besoin d’un patient peuvent lui être transmises par l’eau qui n’est qu’un support. L’important est de pouvoir sélectionner cliniquement les produits et donc leurs ondes bénéfiques pour chaque patient.
Jacques
Bonjour,
Oui Jacques, En fait, la théorie des ondes électromagnétiques (ou aussi vibrationnelles) émises par les molécules vient en complément du chimiotactisme pour expliquer des phénomènes de façon plus satisfaisante que ce dernier dans certains cas et elle peut même englober cette ancienne théorie en donnant une explication en amont.
Le but n’était effectivement d’ailleurs au départ pas de faire le scandale de Galilée ou le pamphlet d’Einstein, et le Docteur Benveniste s’en serait fort bien passé : ci joint le multiplex suivant sur youtube (avec notamment son fils).
https://www.youtube.com/watch?v=FI98Xa091ds
Le but est d’élargir le paradigme scientifique pour introduire cette nouvelle théorie des ondes. Souhaitons une bonne réussite à ce projet.
Bien à vous.
jean-Yves.
Jean-Yves, maggam, tous,
L’hypothèse d’un emprunt d’énergie au vide est assez osée, je laisse de côté les diagrammes de Feynman et les particules virtuelles, rencontrés dans les expériences de hautes énergies.
Ma seule piste actuelle serait que la solution contenant encore la molécule étudiée est soumise au sein d’un volume d’eau, au champ magnétique de l’agitateur (Vortex Génie 2). Un champ électrostatique dans le flacon pourrait avoir été créé. Quelles conséquences ? Des électrons seraient excités. L’eau pure est très peu conductrice. Comment se comporterait-elle en regard de la molécule étudiée, présumée absente après n dilutions ?
L’effet Hall peut-il être invoqué lorsque le champ capté par la bobine est amplifié ?
Le lien avec https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/physique-stupefiant-effet-hall-quantique-temperature-ambiante-10396/ m’échappe. Mais on peut s’interroger sur des analogies possibles entre les cavités de JY et l’image de l’article : https://fr.cdn.v5.futura-sciences.com/buildsv6/images/largeoriginal/8/8/0/8809ade3ee_50003242_graphite-layers.jpg quand les “feuillets de graphène” sont étudiés pour STOCKER DE L’ENERGIE. Pourquoi ? Comment ? A tête reposée je lirai https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_des_bandes car il est question de conduction, de bande de valence, etc.
Il est trop tard.
Bonne soirée à tous.
Remy
Bonjour,
J’évoquais hier :
– l’induction électromagnétique (mélangeur) possible de la “solution” (eau pure et fragment d’ADN restant),
– la création de charges électrostatiques à cause du tube plastique qui aurait été agité, électrisé
1) Quelles conséquences de l’agitation sur les électrons de la “solution”
* soit sous l’effet du champ magnétique,
* soit sous l’effet d’un champ électrostatique, mais les charges ne seraient-elles pas à l’extérieur du tube ?! Je ne sais pas si la molécule d’eau polaire / le liquide pur non conducteur seraient soumis à un quelconque effet électrostatique.
Quelles relations, ainsi, entre les électrons, les fragments d’ADN, après un apport d’énergie électrique ?
2) On peut aussi s’intéresser aux effets mécaniques :
– ondes de Faraday (pour l’eau), les fréquences correspondent à celles analysées par le PC.
– piézoélectricité (je ne vois pas, concernant l’ADN) ?
– la rhéologie (de l’ADN),
et aux interactions entre l’eau et l’ADN ainsi “chahutés”.
Après excitation il y a relaxation. Peut-on parler de relaxation de contrainte à cette échelle ? Doit-on aborder sous l’angle mécanique ou électrique ? Ou faire un lien ?
Jean-Yves, les cavités formées par les molécules d’eau stockeraient-elles de l’énergie comme les feuillets de graphène, sous quelles conditions, et comment fait-on avec le graphène ?
A cette échelle, l’empreinte du fragment d’ADN qui serait stocké, aurait une fonction d’onde terriblement complexe. Peut-être que http://www.lct.jussieu.fr/pagesperso/chaquin/Introduction.pdf peut aider, cf p. 21 et 22 … Pour toi Jean-Yves, le §
4.6. Systèmes chimiques calculables
Et cela m’amène de nouveau au logiciel qui interprète les signaux reçus, que représentent-ils ? Les électrons excités, les atomes, les molécules … ?
Amitiés.
Rémy
Merci Jean Yves pour ce commentaire qui élargit ma vision du phénomène.
Je voulais seulement réagir parce que la mémoire de l’eau, je m’en sers en permanence cliniquement et qu’elle est évidente.
Je peux démontrer que je peux “charger” un tube d’eau avec des ondes sélectionnées cliniquement et obtenir une réponse musculaire immédiate lorsque le patient tient ce tube dans la main ou consomme l’eau chargée.
Il s’agit forcément d’un phénomène physique qui bouleverse le tout chimique thérapeutique classique.
Bonjour à tous,
Remy, j’ai regardé tes références. Merci à toi pour leur côté instructif à creuser.
Pour ce qui est des hautes dilutions, il y a effectivement plusieurs hypothèses sur leurs propriétés :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dilution_hom%C3%A9opathique
Voir également les travaux du Dr Jean-Louis Demangeat :
http://assh-asso.fr/recherche-ssh/recherche-fondamentale/243-article-dr-jean-louis-demangeat
C’est en anglais mais les grandes lignes sont très facilement appréhendables.
Pour le rôle que joue le vide : En fait, lui-même pas grand chose, mais le champ électromagnétique qui le remplit, lui a un effet. Il est vrai qu’il ne faut pas faire de “raccourci” : “l’énergie du vide” est une expression un peu rapide. “L’énergie du champ (électromagnétique) qui remplit le vide” est une expression plus complète. Le vide est simplement un support. Certes, il faut qu’il y ait du vide pour qu’un champ puisse y exister. un peu comme un dessin est matérialisé sur une feuille de papier. Mais une feuille blanche ne contient pas d’information et un dessin “dans l’air” ne peut être matérialisé.
Pour la petite nouvelle, j’ai envoyé au Professeur Marc Henry le compte-rendu d’un travail en simulation dynamique moléculaire sur les domaines de cohérence. Il m’en a fait un retour chaleureux avec des suggestions d’amélioration très motivantes. Je vais donc poursuivre ce travail qui m’a déjà pris 6 mois dans sa première version. Il faut beaucoup persévérer mais cela finit toujours par être récompensé.
Quant à “l’expérience du riz” que j’ai menée avec de la semoule depuis maintenant plus de deux mois, elle confirme bien les travaux du Professeur Masaru Emoto. La semoule “Je t’aime” a toujours un joli aspect et la semoule “je te déteste” a un aspect bien putréfié.
… Je consomme de l’eau “dynamisée” (ou “revitalisée”) faite “maison” (voir sur le web le battage commercial mais aussi les méthodes simples de préparation) depuis 8 mois maintenant, et elle me tient en forme ! C’est assez remarquable…
A bientôt.
Amitiés
Jean-Yves
Bonjour Jean-Yves, tous,
Jean-Yves, essaies-tu de redonner vie à la notion d’éther, qui a été abandonnée ?
Par ailleurs, si le vide est bien vide quoique parcouru par la “pollution” électromagnétique ou baigné des 3°K du fond de rayonnement cosmologique (CMB), un champ peut exister “indépendamment” de son environnement, voir la notion de spin … l’énergie du vide est peut-être plus un concept que l’on doit aux diagrammes de Feynman (particules virtuelles), car la physique en restait à l’époque à la conservation de l’énergie (Lavoisier, puis Noether). A moins que l’énergie sombre soit la manifestation de lilliputiens quantiques, dont les bras orchestrent la thermodynamique et le bal de quarks, bosons et autre vassaux.
Les interactions entre de l’eau dynamisée (très intéressant) et de l’ADN qui y a été présent pourrait avoir créé des “nanostructures de l’eau” géantes englobant l’ADN, mais je crois qu’on perd de vue une partie de l’article du départ.
Car s’il reste après la 6è dilution quelques 17000 molécules d’ADN, non seulement ce n’est pas l’unité, mais la superposition des signaux doit produire un brouhaha quantique, suffisamment incohérent pour brouiller tout signal, mais de toutes façons de puissance non corrélable à notre échelle, même avec un facteur 10^3 nous sommes loin de la sensibilité d’un capteur de type bobine avec l’ampli de l’expérience.
De mémoire (de la vidéo de l’expérience) il reste après élimination du bruit des projecteurs, un pic assez large centré vers 16kHz (violet), mais comment peut-il transporter suffisamment d’information pour que l’on puisse reconstituer la totalité d’une grosse molécule avec 98% de succès ?
Il faut retourner aux travaux de Shannon et à la théorie de l’information, quitter le monde ésotérique du “je t’aime moi non plus” et autres raisonnements qui disqualifient le sérieux de l’expérience.
Je n’ai pas plus d’idée pour le moment. Pourtant j’ai un peu fouillé autour de https://en.wikipedia.org/wiki/Relaxation_(NMR)
Courage et félicitations pour tes modélisations.
Merci pour les URLs, les travaux du Dr Demangeat sont agréablement complexes.
Avec mes amitiés.
Bonjour à tous,
Remy, Merci à toi pour l’URL donnant accès au wikipédia sur la RMN (“NMR” en anglais), j’ai pu avoir quelques explications sur l’écho de spin.
Pour ma part, je laisserais tomber pour le moment l’expérience de transduction de l’ADN telle qu’elle a été menée par le Professeur Montagnier et le laboratoire de Sannio Benveneto, non pas pour le concept expérimental qu’elle représente (car après tout dans l’absolu, ce n’est pas impossible que cela marche) mais pour les conditions de l’expérience qu paraissent un peu “magiques”. Je ne dénigrerais pas non plus les chercheurs qui ont mis au point cette présentation, bien que j’ai comme beaucoup d’entre nous des critiques à faire : Au fond cette présentation d’expérience, “C’était pour la télé”…
J’attends la “suite” en “grandeur nature” et rigueur “de rigueur” mais apparemment elle ne vient pas … malgré mes recherches nombreuses sur le web. Si quelqu’un d’entre nous a vu quelque chose, ce serait sympathique de nous faire part du lien correspondant.
Au niveau de la cellule par contre, et donc à toute petite échelle, l’hypothèse de communication électromagnétique est assez séduisante pour expliquer la rapidité des phénomènes cellulaires. Le chimiotactisme est basé sur la diffusion mais il serait ainsi assez lent : le temps de diffusion augmente avec le carré de la distance. Avec une communication électromagnétique par un champ électromagnétique transportant le signal “adéquat”, on fait de la migration. Le temps de migration augmente proportionnellement avec la distance. C’est plus rapide sur de “longues” distances : au plus quelques centaines de nanomètres suffisent à faire la différence.
Il y a autour de la mémoire de l’eau un grand nombre de concepts physiques nouveaux qui ne suivent pas tous la règle progressive du “rasoir d’Occam” dans les développements argumentaires et certains d’entre eux sont à mon avis “surdimensionnés” pour expliquer les phénomènes cellulaires voire l’expérience de transduction de l’ADN.
La notion de champ et d’espace me paraît bien adaptée mais pas besoin de chercher les hautes énergies. A notre échelle, les probabilités sont beaucoup trop faibles.
Les domaines de cohérence me paraissent intéressants surtout que dans la cellule il est de plus en plus démontré qu’il y a des échanges de photons UV, photons qui pourraient permettre à la molécule d’eau qui les absorbe d’acquérir le niveau d’énergie adéquat.
Reproduire l’expérience de transduction en simulation ? … Un rêve (!) et même une chimère ! Mais les petits indices ne manquent pas. Ceux-ci ne constitue pas pour autant aujourd’hui une preuve du résultat de l’expérience (je ne dis donc pas : vous voyez, ça marche dans l’ordinateur, donc ça marche en “vrai”! … Je dis : essayons !).
Dans la lignée des expériences surprenantes, à la suite de simulations avec des molécules d’eau soumises à des vibrations, j’ai un indice qui peut-être (je dis bien : peut-être) pourrait expliquer l’expérience du bol tibétain (on fait “chanter” le bol rempli d’eau et l’eau se met en “ébullition” au centre) :
https://desmusiquespourguerir.com/le-pouvoir-des-bols-tibetains-instruments-therapeutiques/
A partir d’une certaine fréquence ultrasonore de vibrations, l’énergie de cohésion de l’eau décroît et la structure moléculaire du liquide est pleine de “trous”. Il reste donc à rechercher des données expérimentales sur la propagation des hautes fréquences dans l’eau et sur l’émission de ces fréquences par le bol tibétain.
Je vais chercher …
A bientôt à tous
Amitiés
Jean-Yves.
Bonsoir Jean-Yves, tous,
Note : Sur le film https://www.youtube.com/watch?v=a_2_Qap3G1s
c’est à 13’45s qu’on voit le logiciel utilisé pour le traitement du signal : WaveLab (version 6), dont une version très élaborée, la plus récente, peut être téléchargée sur https://www.steinberg.net/fr/products/steinberg_trial_versionen/wavelab.html
A 14’07s on voit un pic de données “schématisé” (explicatif) puis un enregistrement des données d’au moins 3,5Mo (352800 octets) AU MOINS APRES 4s (la capture dure 6s, mais a été coupée au montage entre 4 et 6s). Fréquence d’échantillonnage 44100 KHz, soit 44,1 MHz, avec les remarques que :
– (à 14’15s) l’unité “KHz” est écrit sur l’écran avec K majuscule (en info K = 1024), pour une unité physique la majuscule ne me parle pas, est-ce une erreur du logiciel ?! Ou d’un programmeur, plutôt ? Oublions le million, il s’agit (cf ci-dessous) de 44100 échantillons codés sur 16 bits.
– pour moi KHz est faux. Si on se rapproche de la technique du son, cela correspond au format décrit par https://www.son-video.com/guide/dsd-tout-ce-qu-il-faut-savoir-du-format-direct-stream-digital
Hum, lire : “Retour en 1980, année où Philips et Sony publient le fameux Redbook, la bible du CD-Audio et de la numérisation du son selon la technique de la modulation d’impulsion codée (Pulse Code Modulation en anglais, soit PCM). Il s’agit d’une représentation numérique d’un signal analogique, où la hauteur du signal électrique est prélevée à intervalle régulier. Ce prélèvement est appelé échantillonnage et dans le cas du CD-audio, intervient 44100 fois chaque seconde (pour chaque canal). Chaque échantillon est codé sur 16 bits (binary digits), soit une série de seize 0 ou 1.”
– le produit de 44,1 mille d’échantillons pendant 6s (capture manuelle), codés sur 16 bits, occuperait un volume de 4233600000 = 4,2 Mo environ (en 6s). On n’est pas loin, ça colle.
Les “échanges de photons UV” sont trop énergétiques pour “nous”, on pourrait s’intéresser à la “fréquence ultrasonore de vibrations” des molécules d’eau, puisque c’est plus proche des 16kHz.
Selon Shannon, il faut échantillonner à 2f, donc si la fréquence d’échantillonnage est de 44100 Hz, le graphe représente des fréquences entre 0 Hz et 20 kHz max. C’est réglé de ce côté.
Donc nous étudions des phénomènes acoustiques. Pas la peine d’aller dans les ultrasons.
A cette fréquence, nous sommes plus en rapport avec des petits éclatements de micro-bulles ? Mais je n’imagine pas de signal magnétique ?!
Autre remarque : est-ce le logiciel ou une via une interface de programmation que le “KHz” s’est affiché ? Je crois qu’il s’agit juste d’un petit bug du logiciel, mais c’est étonnant (quoique époque : 1980 ?) …
C’est tout pour ce soir, je suis sec sur l’eau 🙂
Amitiés.
Remy Turing
Bonsoir JY, tous,
Non, 1980 en référence à DSD.
La version de WaveLab 6 utilisée date d’après 2007. Cela correspond à l’expérience (cf début de l’article).
https://www.steinberg.net/index.php?id=951&L=1
WaveLab 6.1.0 Update
November 6th 2007
Le manuel en français du logiciel est : ftp://ftp.steinberg.de/Download/WaveLab_6/Docs_Francais/WaveLab.pdf
S’il le fallait, confirmation p.333 de la fréquence d’échantillonage : “Fréquence d’échantillonnage – Insérera la fréquence d’échantillonnage
dans le ou les nom(s) en fonction de l’étendue sélectionnée.
Vous pouvez sélectionner divers moyens pour exprimer la fréquence d’échantillonnage ac-
tuelle, à l’aide du menu local Format, ex. 44100, 44.1 kHz, etc”.
On peut trouver aussi les “44100” dans le PDF, pages 60 et 607.
Tournons la “page”, ce qui est capté est un signal électromagnétique … dans le spectre sonore.
On lit sur http://www.pierre-eau-vive.com/procede-de-bio-dynamisation-de-l-eau-pierre-d-eau-vive.ws
“La fréquence vibratoire de l’eau de distribution se situe autour de 10 puissance 11 HERTZ c’est-à-dire au niveau des infra rouges lointains. Pour obtenir une eau avec des qualités biologiques, il faut augmenter sa fréquence au niveau de celle des cellules en bonne santé, qui correspond à la lumière bleue, à la limite des ultra-violets soît 10 puissance 15 HERTZ. Il s’agit donc de multiplier par 10.000 fois la fréquence initiale de l’eau ce qui représente un apport d’énergie considérable. ”
L’eau serait dynamisée avec des UV, non pas avec l’agitateur ?!
Ce serait écarter cette page … précisément : https://desmusiquespourguerir.com/se-soigner-par-leau-et-les-ondes/
et, du même auteur : https://www.vivresanslimites.org/memoire-eau-programmation/
Mais on n’a pas encore le lien entre l’ADN et la basse fréquence. La solution, quoi.
Amitiés.
RT
Bonsoir,
Merci à Eric L pour la transmission des informations en temps réel.
Remy, j’ai regardé tes références. Merci pour ta recherche perspicace et très professionnalisée. Effectivement, ça vaut le coup de “creuser” car il y avait quand-même un peu de logiciel dans l’expérience de transduction.
Moi j’ai eu moins de chances de recherche mais la vidéo suivante avait retenu mon attention à propos des ondes électromagnétiques :
https://www.youtube.com/watch?v=bH9FiHuHieo
Pour la basse fréquence, le Docteur Benveniste dans son livre “ma vérité sur la mémoire de l’eau”, chapître “vers la biologie numérique” pensait que la basse fréquence résultait de la combinaison de toutes les hautes fréquences de vibration des (bio)molécules. (J’ai eu téléchargé gratuitement le livre mais je ne retrouve plus le lien. Je l’ai également acheté en ouvrage pour 16 euro.)
Remarque : pour ce qui est du son dans l’eau, la vitesse du son dans l’eau avoisine les 1500 m/s, la fréquence de rotation des molécules d’eau (absorption maximale des ondes électromagnétiques) est d’environ 20 gigaHertz. Un hyperson de cette fréquence a donc dans l’eau une longueur d’onde de 75 nanomètres. Les domaines de cohérence ont une périodicité de 75 nanomètres également pour une énergie de “photon piégé” de 12,07 eV (indice de l’eau 1.33). Pas mal, non ? pour une coïncidence ! Après tout ça vaut ce que à vaut.
Je teste la reproductibilité de l’énergie de cohésion de l’eau soumise aux vibrations dans mes simulations. Ce qui est étonnant, c’est que lorsque je passe la fréquence équivalente à la “vitesse de rotation” des molécules d’eau, les images montrent un morcellement de la masse moléculaire : des cavités traversant la boite de simulation apparaissent en plus grande quantité. L’énergie de cohésion diminue sensiblement même si pour le moment les résultats ne sont pas très précis. Il me reste à étudier la l’éventuelle cohérence ou décohérence de phase qui en résulte.
Pour ma part, je fais donc un peu des détours pour mieux revenir par la suite dans le vif du sujet avec l’émission électromagnétique par des molécules en solution dans l’eau.
Par curiosité :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Longueur_de_Debye
Dans l’eau pure, la longueur de Debye (écrantage d’un champ électrostatique) vaut 700 nanomètres : l’eau pure est légèrement ionique (H3O+ et OH- à 10E-7 mole /litre. Plus la concentration en ions augmente et plus la longueur de Debye est petite. Dans une cellule vivante, est-ce que cependant elle est toujours dépassée entre deux points d’un processus d’échange ?
A bientôt.
Amitiés
jean-Yves
Bonjour,
Je lis toujours avec curiosité vos propos mais tout ça me semble être, sans trop d’ironie de ma part, un véritable bazar, parfois assez farfelu. Pourtant vous vous appuyez sur des articles plutôt sérieux. Ça part dans tous les sens et j’avoue ne pas tout comprendre mais pourquoi pas… J’ai parfois l’impression de feuilleter une bd de géotrouvetout (ça me ramène à mon enfance…) !
Mais surtout bonne continuation dans vos recherches !
Amitiés,
Michel
Bonjour Michel,
Merci pour votre remarque qui mérite un développement explicatif :
En fait c’est sûr, en ce qui me concerne je pars dans beaucoup de directions. La raison est que la question de la mémoire de l’eau me paraît pluridisciplinaire. Le Professeur Marc Henry d’ailleurs traite également plusieurs aspects outre la question des domaines de cohérence. Etant quelque peu curieux, j’ai vu par exemple cette idée des ondes sonores et j’ai décidé de faire des essais de simulation dessus.
Quand à l’eau dynamisée et l’expérience du riz, cela paraît effectivement être un gag bien que ça marche. mais cela peut par exemple expliquer pourquoi les expériences menées par le Docteur Benveniste ont échoué quand trop de monde se trouvait autour de l’expérimentateur, chacun étant une antenne électromagnétique avec ses émotions sur l’expérience en cours.
Pour l’expérience du téléphone portable immergé en “sous-marin”, c’est pour montrer que l’eau assez pure conduit les ondes électromagnétiques. J’ai acheté du gros sel pour refaire l’expérience dans de l’eau salée et ainsi conductrice. Si la transmission des ondes n’a pas lieu, en tant qu’ancien enseignant, l’intérêt de cette double expérience est pour moi immédiat : elle a pour but de bien lever le voile sur le fait que l’eau pure conduit les ondes électromagnétiques, ce qui rend d’ailleurs – il est vrai d’une façon un peu farfelue mais néanmoins “commune” – une partie de crédibilité à l’expérience de transduction de l’ADN du Pr Montagnier.
Tout le monde ne peut éventuellement pas se procurer un laser 100 MHz :
http://tpe-electro.e-monsite.com/pages/experience-2-propagation-d-une-onde-electromagnetique-dans-l-eau.html
Les collèges ou lycées qui en ont un par exemple, ont de la chance.
Remy a fait un excellent travail de recherche sur la vidéo pour identifier le matériel et le logiciel utilisé dans la captation et l’analyse du signal électromagnétique de l’expérience de transduction de l’ADN. Ces détails m’avaient échappé en ce qui concerne leur importance : je ne suis pas très compétent en traitement du signal même si j’ai quand-même quelques bases et que j’ai compris son raisonnement. J’ai plutôt noté, ayant travaillé aussi en génétique, certains détails de conditions de travail sur l’aspect manipulation des tubes, qui après réflexion pose question sans pour autant remettre en cause le bien fondé de l’expérience. A chacun sa compétence.
Merci pour votre retour qui est très précieux pour apporter une mise en forme pédagogique à ces expériences médiatisées sur Internet : J’ai vu par exemple des expériences avec les ondes sonores sur une plaque de métal saupoudrée avec du sel fin et frottée sur un bord avec un archer de violon. le sel se répartit en figures caractéristiques. Les luthiers se servent de cette technique pour optimiser la sonorité de leurs instruments. Il y a des recherches effectuées dans le même état d’esprit sur des ondes à la surface de l’eau dans des récipients de forme variée et soumise à des vibrations de différentes fréquences. On connait au lycée le tube de Kunt et la cuve à ondes (carrée). L’eau soumise à des vibrations peut faire aussi des structures tridimensionnelles avec adjonction d’une farine légère (maïzéna) :
https://www.koreus.com/video/liquide-dansant.html
on a “fouiné” un peu sur le web.
L’année scolaire et courte et les programmes scolaires chargés, mais il effectivement y a de quoi susciter la curiosité des élèves avec ces expériences peu connues. Pour ma part, pendant mes années d’enseignant, j’ai aussi passé du temps à essayer plusieurs expériences au labo (en respectant bien sûr les règles de sécurité).
Je vais remplir mon seau d’eau chaude, le sel s’y dissoudra mieux d’ici demain soir. En attendant les simulations tournent. Parfois d’ailleurs ça ne donne pas grand chose … bon … c’est comme ça. On essaye.
bien à vous et j’espère à bientôt.
Jean-Yves.
Bonjour,
Petite expérience simple et un tantinet farfelue :
Mon téléphone portable, enfermé dans un bocal (en verre) étanche et ce bocal étant plongé dans l’eau du robinet (dans un seau) de façon à ce que toutes les parois du bocal soient entourés d’eau, va-il être capable de sonner lorsque j’essaye de l’appeler avec un téléphone extérieur ?…
réponse : oui !
Essayer dans une baignoire (volume d’eau plus grand).
Donc l’eau assez pure est capable de transmettre des ondes électromagnétiques (au moins sur quelques centimètres). Est-ce que le téléphone ainsi protégé dans son bocal (lesté) va ainsi sonner entre deux eaux dans une piscine ? … En tout cas ça va dépendre de la conductivité de l’eau et donc de la quantité d’ions apportés par les adjuvants chimiques présents (notamment pour réguler le pH).
Dans l’eau de mer, ça ne marchera pas car la conductivité de l’eau de mer est assez élevée du fait de la teneur en ions apportés par le sel dissous. En fait il existe une distance seuil d’absorption des ondes d’autant plus courte que la conductivité de l’eau (avec ses ions dissous) est élevée.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Communication_avec_les_sous-marins
Je referai donc mon expérience avec de l’eau bien salée pour comparer.
L’eau pure utilisée pour une haute dilution est donc transparente aux ondes électromagnétiques, pas sur une distance infinie bien sûr car elle contient des ions H3O+ et OH- résultant de sa faible dissociation, mais sur une distance bien supérieure à la longueur de Debye !
autre expérience démonstrative :
http://tpe-electro.e-monsite.com/pages/experience-2-propagation-d-une-onde-electromagnetique-dans-l-eau.html
Bonne soirée à tous !
Amitiés.
Jean-Yves.
Bonsoir Jean-Yves, maggam, tous,
1) Je corrige une erreur :
“Le 13 novembre 2018 à 19 h 49 min, Remy Turing a dit :
Jean-Yves, tous,
La vidéo HD https://www.youtube.com/watch?v=kBFs2TF0xDw donne beaucoup d’informations. Je m’y réfère par la position depuis le début du film.”
L’URL de la vidéo à laquelle je me réfère est : https://www.youtube.com/watch?v=a_2_Qap3G1s
Retour donc, à cette vidéo de l’expérience …
Je cherche à savoir, dans le registre de puissance utilisable par le capteur à ventouse, quelles sources pourraient produire des signaux, “en concurrence” avec ceux des molécules, infinitésimales en comparaison.
Le signal reçu par le capteur (13’39s) ne peut pas être une onde sonore, car le capteur (13’41s) n’est pas adapté (ce n’est pas un micro, seulement un bobinage). Il est fait pour capter des ondes électromagnétiques (13’50s), typiquement entre 20-20000 Hz.
https://www.google.fr/search?q=capteur+t%C3%A9l%C3%A9phonique+%C3%A0+ventouse&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=0ahUKEwiOoY2Uk_DeAhVRzhoKHVjkDDIQ_AUIDygC&biw=1920&bih=925
Dans la vidéo, si les fréquences entre 0 et < 2 kHz sont des parasites émis par les projecteurs (cf 9'15s), seules celles autour de 3420 Hz (14'06s et surtout 34'54s) sont représentatives. (Pourquoi ai-je précédemment évoqué 16 kHz ?)
1) Il est fort à parier que le pic jaune à gauche de la courbe (9'15s et 9'44s) est un ronronnement du secteur à 50Hz, qui logiquement doit tout écraser.
C'est mieux à 9'59s, mais à 10'05s on parle toujours d'un bruit de fond …
2) A 16kHz, le signal peut-il être celui d'une alimentation à découpage ? Même si le mélangeur n'est pas en service, son alim pourrait ne pas être coupée.
On se souvient que la vidéo https://www.youtube.com/watch?v=a_2_Qap3G1s autour de 16' expliquait que l'eau émet les signaux "spontanément".
J'aimerais comprendre comment se fait le transcodage. La réponse est dans le programme qui convertit les signaux (14'38s, 15'42s, …) en informations sur les bases d'ADN.
Notons qu'à 15'59s, le graphe représenté est parasité dans les basses fréquences.
16'10s "En fausses couleurs apparaissent en bleu des pics" "qui sont les ondes émises par l'eau" …
Etrange peut-être, la préparation de l'ADN date du 09/03/2012 (10'09s)
Je n'ai pas encore d'idées pour la correspondance avec l'ADN.
A bientôt.
Amitiés.
Remy
… partout où j’évoque 16kHz, c’est environ 4kHz qu’il faudrait lire.
Explication : en téléphonie, le débit d’une voie (avec un “e”) est de 64kbits/s.
Cela permet de transmettre 64000 / 8 = 8000 octets codés sur 8 bits.
Comme Shannon recommande d’échantillonner un signal à la fréquence 2f, la bande passante du signal transmis est limitée à 4kHz.
C’est suffisant pour comprendre une voix humaine (avec suffisamment d’harmoniques).
C’est pour cela que le capteur a pour fréquences de travail celles représentées sur le graphe, jusqu’à 4000 Hz environ, même si pour l’expérience on se paie le luxe de représenter la bande passante plus haut (34’54s) jusqu’à 20530Hz sur le graphe (presque à 22050Hz, la moitié de 44100Hz déjà évoquée).
C’est plus rigoureux de l’écrire ici, dans un paragraphe à part.
Amitiés.
RT
A propos de la transmission des ondes dans l’eau : http://tpe-electro.e-monsite.com/pages/experience-2-propagation-d-une-onde-electromagnetique-dans-l-eau.html
– les microondes ne passent pas, le VHF non plus, … on communique sous l’eau (salée) avec les sous-marins en ondes longues, c’est pourquoi ils trainent une ligne de plusieurs dizaines de mètres derrière eux : multiple impair de lambda sur 4.
– je ne vois pas à faible énergie une onde faire fondre un glaçon. 100MHz est très loin du rouge et de l’infrarouge.
On pourra creuser …
Merci Jean-Yves pour les différentes URLs, il y a encore à visionner et à lire, je m’absente un peu.
Amitiés.
RT
Bonjour Remy, Maggam, tous.
Merci Remy pour ta recherche. Effectivement, maintenant je me remémore bien les pics sur l’écran de l’ordinateur dans la vidéo. Ce qui me paraît effectivement étonnant, c’est que la position supposée du pic du signal de l’ADN coïncide avec le pic de parasite avant l’extinction des projecteurs ! Et en plus l’allure du “signal” présenté à l’écran ne change pas entre le signal de fond et le signal avec le tube. Il semble y avoir juste une “amplification” du “signal”.
Alors :
– Soit la présentation vidéo est un peu “surfaite” pour faire une illustration de quelque chose de véridique que l’équipe du Pr Montagnier a observé mais qui est difficile à reproduire avec le matériel dont ils disposent pour la vidéo.
– Soit ils sont passés à côté d’un artéfact qui les auraient alors bernés.
En passant d’ailleurs : pour étudier un signal aussi faible facilement noyé dans un bruit de fond, ne faut-il pas procéder par acquisition “différentielle” en simultané avec un échantillon” blanc” ? Il semblerait que ce n’est pas ce que l’équipe du professeur Montagnier a fait dans la vidéo …
Je n’en démords pas qu’il faut donc refaire cette expérience en la repensant depuis le début.
Evidemment, les ondes électromagnétiques doivent être très faibles mais je je crois pas quelles soient inexistantes. Il faut pouvoir détecter des courants probablement de l’ordre du nanoampère voire ou du picoampère dans le bobinage avec une amplification suffisante sans bruit. J’ai cherché des liens techniques mais je n’en n’ai pas trouvé de pertinents. Mais je sais qu’au CEA à Grenoble par exemple ils savent le faire (souvenir de thèse).
Petite anecdote pour conclure sur l’expérience du téléphone portable enfermé hermétiquement au sec dans un bocal et plongé dans un seau d’eau, salée à 100g par litre cette fois : Et bien je l’ai appelé de mon téléphone fixe et il n’a pas sonné. Pour parer à l’éventualité d’une erreur sur le numéro d’appel, j’ai laissé un message sur la messagerie. Quand j’ai sorti le téléphone de l’eau, j’ai vérifié sur celui-ci que le message était bien enregistré.
Donc cette expérience marche bien. J’ai calculé les épaisseurs d’effet de peau : dans l’eau du robinet elle est de 5 à 10 cm. dans mon eau salée elle vaut 4 à 5 mm, cela pour la fréquence de transmission de 1 gigaHertz. Pour Maggam, cela peut être une bonne illustration ludique devant des élèves que seule l’eau pure ou presque pure et donc presque isolante est transparente aux ondes électromagnétiques et que l’eau riche en ions et donc conductrice est opaque à ces ondes.
Pour des fréquences de l’ordre du kilohertz, pas d’ambigüité sur cette propriété puisque l’épaisseur de la peau de transmission croît inversement avec la racine carrée de la fréquence.
Ci joint le lien suivant sur le travail d’analyse du signal sur les hautes dilutions du Docteur Benvéniste notamment pour toi Remy, qui es très observateur (vidéo en anglais) :
https://www.youtube.com/watch?v=8hfYKQDhVTQ
Merci à Eric L. pour l’efficacité de la transmission des commentaires.
A bientôt,
amitiés
Jean-Yves
Bonjour Jean-Yves,
Si je reprends ton texte :
– “je me remémore bien les pics sur l’écran de l’ordinateur dans la vidéo” : je préfère citer la source et le moment d’apparition, car tous ces graphes me semblent mélangés, fautes d’interprétations lors du montage peut-être, et au pire d’une confusion plus générale.
– “la position supposée du pic du signal de l’ADN coïncide avec le pic de parasite avant l’extinction des projecteurs !” : à quelle fréquence fais-tu allusion ? C’est à 34’54s qu’on les lit le mieux.
– “Et en plus l’allure du “signal” présenté à l’écran ne change pas entre le signal de fond et le signal avec le tube.” Idem, à quelles mn/sec ?
Alors :
– “Soit la présentation vidéo est un peu “surfaite” pour faire une illustration de quelque chose de véridique …” : j’ai bien peur que les expérimentateurs aient voulu tenter de démontrer ce qui est possible (émission de signaux par l’ADN), en s’abusant ou en se laissant abuser, par une technologie qui ne correspond pas en terme de puissance, à l’échelle du phénomène.
– “acquisition “différentielle” ” : je vois ce que tu veux dire. En astrophotographie on effectue un “noir”, pour éliminer les pixels morts / défectueux du capteur.
– “un échantillon” blanc” ” : c’est ce qu’a proposé l’éclairagiste à 9’18s-9’21s : “on peut éteindre tous les projos ? Pour faire un bruit de fond. Comme ça on saura si c’est les projos ou pas”.
Note qu’à 9’09s le bruit de fond (graphe de gauche) évoqué par le Pr Montagnier ne doit par être considéré comme normal, car le 50Hz est si bruyant que l’échelle du graphe écrase les autres signaux (fréquences 4kHz …).
– “Il faut pouvoir détecter des courants probablement de l’ordre du nanoampère voire ou du picoampère dans le bobinage avec une amplification suffisante sans bruit.” : nous n’aurons pas de courant, rien de détectable avec de tels instruments, je crois que l’ordre de grandeur ne correspond pas. Et l’expérience est trop approximative.
Il conviendrait de spécifier tout par écrit, comme dans un projet technique, pour commencer il faut exposer ce que l’on recherche, situer les grandeurs, donner les caractéristiques des composants et appareils, etc. Le bruit électronique est infiniment supérieur à celui des phénomènes étudiés.
Et l’on doit absolument examiner le programme qui interprète les fluctuations et qui en extrait le code de la molécule, ce qui est considérablement plus expert que l’expérience technique elle-même.
Amitiés.
RT
Chers Jean-Yves, maggam, tous,
Voici qui pourrait nous éclairer, énergie à l’appui !
https://home.cern/fr/news/news/isolde-peers-world-dna
“ISOLDE explore l’ADN
Les chercheurs d’ISOLDE au CERN ont utilisé une variante ultrasensible de la spectroscopie de RMN pour étudier les interactions avec l’ADN ”
Les phénomènes étudiés diffèrent, mais le temps de résonance du sodium avoisine la seconde, et l’ADN est au cœur de l’étude.
Notez quand-même, que les énergies et les outils d’observation sont très différents de ceux de l’expérience ici ; et pourtant : “Toutefois, cette technique est relativement peu sensible ; pour qu’un signal RMN utile soit produit, il faut un grand nombre de noyaux magnétiques. En revanche, la spectroscopie de RMN bêta est sensible même avec un nombre beaucoup moins élevé de noyaux magnétiques dans l’échantillon. Dans cette variante de la résonance magnétique nucléaire, qui est jusqu’à un milliard de fois plus sensible que la technique classique, les noyaux magnétiques peuvent être orientés précisément au moyen d’un rayon laser ; le signal RMN est détecté lorsque des particules bêta (électrons ou positons) sont émises par les noyaux magnétiques à durée de vie courte implantés dans l’échantillon.”
C’est au LHC qu’ils ont la connaissance la plus “fine” (!) sur le sujet.
S’ils pouvaient donner des avis …
Amitiés.
Remy
Bonsoir,
Ce document nous met sur la voie de l’algorithme pour passer du signal à l’ADN, et bien plus encore rend la démarche lisible : http://www.univ-orleans.fr/mapmo/membres/anker/documents/bibliographie/BergouniouxTS.pdf
Page 33 une allusion à l’ADN, mais pas encore de clé. J’aime bien page 165 un spectre temps-fréquence : Une représentation 2D variant dans le temps produit une figure en 3D, comme observée sur les graphes de l’expérience.
L’amplitude de chaque fréquence est périodique, les maxima sont à peu près constants dans le temps. Le 50Hz est démasqué, en tous cas (34’53s, à gauche en jaune).
Bonne nouvelle : les signaux du graphe ne semblent pas être des parasites, car leur représentation en FFT est régulière, autrement leur distribution serait aléatoire !
Je me concentre, à vous Cognacq Jay !
Amitiéd.
RT
Bonjour à tous,
On va se faire peut-être d’abord un peu plaisir :
https://www.youtube.com/watch?v=yaSJdO64GKU
En ce qui me concerne je vagabonde aussi un peu dans les projets de simulation, mais voici :
Remy, Merci pour le lien de Isolde. Je vais le regarder en détail. J’ai cherché également des informations sur le LHC :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_collisionneur_de_hadrons
un autre petit lien :
http://www.composelec.com/amplificateur_de_mesure.php
Qu’est-ce que vaut ce type de montage ? D’ailleurs, dans son système d’acquisition, l’équipe du Pr Montagnier l’a t’il utilisé ?
Pour le tube blanc, mon idée est de faire deux circuits d’acquisition, un avec le tube de haute dilution à partir de la solution d’ADN de départ et un autre avec un tube identique de haute dilution équivalente ayant contenu une solution “blanche” sans ADN et de faire la différence des deux signaux émis. Si le bruit de fond est aléatoire, la diminution du bruit ne sera pas très grande mais si une fréquence parasite (d’origine capacitive par exemple) est présente, elle devrait être bien atténuée.
L’idée d’un cahier technique de l’expérience de transduction est une bonne idée. Je vais le commencer maintenant avec vos conseils à tous qui seront les bienvenus. On a déjà effectivement fait le tour de pas mal de questions.
J’essayerai de recontacter le Professeur Marc Henry dès que j’aurai repris les simulations sur les domaines de cohérence avec les améliorations qu’il a proposées, mais également aussi selon le résultat d’un autre projet de simulation avec une molécule un peu plus “proche” par ses propriétés, d’un brin d’ADN que la molécule de méthane.
Quand au cahier des charges, il serait bon de le faire évaluer, peut-être par le Professeur Henry que je trouve très ouvert. Je ne sais pas si le Professeur Montagnier voudrait directement s’y attarder pour le moment.
Pour les simulations d’ondes sonores dans l’eau, je n’ai rien obtenu de vraiment “fantastique” dans cette première série d’essais (l’énergie de cohésion diminue un peu avec l’augmentation de l’hyperfréquence) . Je vais tout de même la parachever (encore quelques essais) pour avoir une série de référence. j’ai d’autres idées pour améliorer et poursuivre ce projet mais on verra plus tard (L’idée de base est une correspondance entre la longueur de l’onde sonore (ou mécanique) de fréquence correspondant à la fréquence de rotation des molécules d’eau, et la longueur d’onde des photons UV piégés correspondant au gap énergétique entre l’eau à l’état fondamental et l’eau excitée dans les domaines de cohérence),
La truite ne va pas nous échapper ! à nos épuisettes !
A bientôt
Amitiés
Jean-Yves
Bonjour à tous,
Si quelqu’un veut se lancer à son tour, jetez un œil sur https://linuxmao.org/Spectrum3d
un freeware sur Linux.
J’ai oublié de dire que les fonctions de l’étude du PDF précédent de M. Bergounioux utilisent SCILAB© ou MATLAB©.
Amitiés.
RT
Bonjour à l’équipe,
Remy, merci pour le lien vers le logiciel “Spectrum3D”. J’ai vu que l’on peut faire des graphes en 3D “intensité en fonction du temps et de la fréquence”. Ca me fait penser à l’étude d’une réponse impulsionnelle. J’avais pensé que pour un signal continu, on pouvait faire un diagramme 3D “intensité et phase en fonction de la fréquence”. Je vais regarder le logiciel plus en profondeur.
J’ai commencé à rédiger quelques lignes du cahier des charges. Au fur et à mesure un certain nombre de détails techniques me semblent importants à considérer comme par exemple les longueurs (et impédances) identiques des câbles de transmission si on fait des analyses comparatives des signaux, ceci pour avoir une correspondance de phase. Je pense qu’Il faut également faire une détection avec un capteur à haute impédance et isoler séparément dans des enceintes en mumétal le capteur des étages d’amplification pour éviter un retour Larsen dans le capteur d’entrée tant les amplifications devront être importantes (peut-être au moins deux étages).
Pour la PCR, des précautions expérimentales doivent être prises car elle est poussée à l’extrême (30 cycles soit une augmentation de la quantité d’ADN par 35 milliards de fois ! Il faut un grande hygiène lors des manipulations pour éviter les moindres sources de contamination. Ci dessous le principe :
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9action_en_cha%C3%AEne_par_polym%C3%A9rase
Je vais regarder par curiosité le coût du matériel grâce notamment aux liens donnés dans les précédents messages.
Un exposé bien intéressant ! Remy :
https://www.youtube.com/watch?v=SthKs40ClCY
On poursuit.
Amitiés
A bientôt
Jean-Yves.
Bonsoir Jean-Yves, tous,
Le capteur pose problème. Franchement, question sensibilité je suis incapable d’imaginer l’interaction d’une molécule dans son milieu avec un capteur électrique, alors je me modernise et me rapproche de capteurs plus spécifiques.
Il y a eu une révolution technologique dans ce domaine et si l’on consulte (la version cache de) http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:jZeAVLE1ISkJ:dspace.univ-tlemcen.dz/bitstream/112/995/7/CHAPITRE03.pdf+&cd=7&hl=fr&ct=clnk&gl=fr (l’autre pas disponible), on lit qu’il existe des biocapteurs dits ″ biocapteurs d’affinité ″ fondés sur de simples interactions entre les analytes chimiques en solution et le biorécepteur. L’analyte à détecter n’est pas détruit.”.
Difficile de trouver un tel type de capteur, adapté à l’expérience.
Je suis tombé sur cette excellente thèse http://rdoc.univ-sba.dz/bitstream/123456789/2164/1/D_Math_RAKRAK_Kaddour.pdf , et pour ce que j’en ai compris, on devrait plutôt utiliser un MET, ou bien à l’avenir des nanotubes de carbone, qui pourraient permettre de lire une molécule.
Je vais devoir faire un pause pour analyser le document suivant, qui se base sur des concentrations de molécules, mais dont l’expérience n’est autrement pas si éloignée dans ses conditions, que celle qui nous intéresse (mesure de résistances …) : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01715215/document
La grande différence est que la molécule attendue est connue.
Je reviendrai sur les caractéristiques du capteur (impédance, etc) si l’on continue avec l’existant, car son impédance, sur la vidéo, est de 300 Ohms.
A bientôt.
Amitiés.
Remy
Bonjour à tous,
Remy, merci encore pour tes URL. J’ai téléchargé les deux documents pour les examiner moi aussi.
Je te donne entièrement raison sur le fait que capter le “signal électrique” d’une molécule d’ADN avec une “bobine” est une chose “improbable” …
Dans cette expérience il y a un chercheur renommé qui s’est investi dans cette voie et qui affirme (ou prétend …pour des raisons que j’imagine sans pour autant les déshonorer), antécédents à l’appui, que ça marche.
Pour ma part, j’ai bien envie de la “refaire” (envers et contre tout) avec la même philosophie pensée par cette équipe en apportant les améliorations que l’on peut imaginer au montage expérimental.
Si ça marche : très bien, et en plus fait dans les règles de l’art et de transparence.
Si ça ne marche pas : on cherche ce qui “coince” dans l’expérience et sinon on reconnaitra ce qui est théoriquement faux et piégeant, tout simplement.
Le cahier des charges se poursuit :
il serait optimal de travailler dans une salle protégée le plus possible du rayonnement magnétique voir dans une boite à gants protégée. On aura des courants très faibles avec des fréquences parasites à compenser et un bruit de fond qu’il faudra minimiser.
Une feuille de mumétal de 0,1 mm d’épaisseur donne une atténuation en puissance de 10 dB pour le 50 Hz et donc plus pour les plus hautes fréquences. Elle coûte moins de 300 euro du m2 (les prix fluctuent selon les produits).
Un circuit intégré ampli de mesures coûte entre 5 et 10 euro pièce. On peut certainement trouver des cartes d’acquisition allant jusqu’aux hyperfréquences. les prix ont l’air de vite monter avec les performances.
Pour la stimulation du tube récepteur, il faut également une reconstitution du signal sur une large gamme de fréquence.
Petit à petit, ça prend donc forme.
A bientôt
Amitiés
Jean-Yves
Bonjour Jean-Yves, tous,
Les biocapteurs d’affinité sont centrés sur la molécule à analyser, mais procèdent par étude de leur concentration.
La thèse de médecine suivante (2016) est une référence en la matière, un document passionnant et très clair, qui classe et explique les biocapteurs : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01801458/document (Introduction générale, pages 52 à 57 sur 183, etc, je n’ai pas fini).
Evidemment, s’il s’agit de caractériser une molécule, nous nous écartons des micro-cavités, de la résonance, etc, donc du sujet.
Le problème d’utiliser un capteur résistif, de faible impédance qui plus est (300 Ohms), c’est qu’il va engendrer un courant qui va exploser tout espoir de capter un phénomène probablement 10^10 fois plus faible … on ne joue pas dans la même cour. J’ai un problème avec ça.
Si l’on considère que le capteur à 300 Ohms est une sorte de “transducteur potentiométrique”, il faut savoir si on mesure une concentration de molécules dont on analyse les propriétés, ou si on veut analyser UNE molécule.
Il n’y a que le MET avec UNE molécule sur un substrat qui me semblerait permettre la lecture à cette échelle. Et comment se comporteraient des molécules d’eau disposées autour de l’ADN ? Bonjour les artefacts.
Et si l’on supprime l’ADN, que se passera-t-il ? Ce qui me rassure, c’est le calcul indiquant qu’aux dilutions 6 et 7 il reste des milliers de molécules d’ADN, mais on ne peut plus parler de “mémoire de l’eau” ? Pourquoi n’y aurait-il plus d’ADN ? C’est aussi la question. Car mesurer le signal émis par des milliers de molécules d’ADN serait à la portée des différents outils étudiés par la thèse de médecine ci-dessus).
Voilà, plus de questions que de réponses. Courage.
A bientôt.
Amitiés.
Remy Turing
Bonsoir Jean-Yves,
Une digression sur la musique, qu’il m’a fallu reformuler pour ne faire aucune pub pour des sites marchands.
Parmi de nombreuses interprétations appréciables du quintette “la truite” de Schubert, il y a celle de Renaud Capuçon/Gérard Caussé/Gautier Capuçon/Alois Posch/Frank Braley . Non seulement le jeu est excellent mais le son est très bon. La version du Quartetto Italiano est une référence absolue.
Il existe encore une excellente version de “la truite”, avec le quatuor “la jeune fille et la mort” par Emil Gilels & Amadeus Quartet & Rainer Zepperitz
Sinon il y a de tout sur un site d’enchères, notamment la version du “Beaux Arts trio” que j’aime beaucoup, mais qui est plus énergique.
En SACD, on trouve le quatuor “la jeune fille et la mort” + l’immense “sonate pour arpeggione et piano” par Michal Kaňka cello, Praga Camerata ~ Pavel Hula enregistré au Prague Domovina Studio, en 2007, c’est à tomber par terre, à écouter en 5.1.
Je crois qu’on peut échanger des mails (même jetables), rien que pour la musique, afin de rester dans le sujet ici. Regarde plus haut, le mail que j’ai indiqué marchera toujours (! stockage 8 jours).
Amitiés.
Remy
Bonjour Remy,
C’est OK pour les mails jetables sur yopmail. com dans les échanges musicaux. J’aurai d’ailleurs besoin de les utiliser pour te transmettre, si on peut mettre des pièces jointes, un exemplaire du cahier des charges de l’expérience de transduction dont je commence la rédaction. Tu feras comme tu le sens si tu veux t’adjoindre ou pas à ce document que je transmettrai ensuite au Professeur Marc Henry. Maggam est invité à se joindre à ce projet s’il le souhaite car nous avons aussi pas mal échangé.
Bon week-end
Amitiés
Jean-Yves.
Bonsoir à tous,
Remy, Merci pour ton analyse de la situation expérimentale et de ton compte-rendu de ta première lecture sur les biocapteurs. Ca me rappelle quelques souvenirs d’école à propos d’un cours sur les capteurs. On mesure ainsi la concentration d’espèces spécifiques en solution mais la mesure reste intemporelle.
Tu touches aussi du doigt une question préliminaire: Est-ce qu’au moins une solution d’ADN émet un signal ? … avant de s’intéresser aux hautes dilutions nanofiltrées ?
Un plan d’expérience est donc à prévoir dans le cahier des charges car il faudra comparer vraisemblablement plusieurs signaux avec des tubes contenant l’ADN de départ, la (ou les) haute(s) dilution(s) (successives).
Pour la détection du signal électromagnétique, une bobine est un bon moyen même si son impédance augmente avec la fréquence. Cependant, jusqu’à quelle sensibilité peut-on aller sachant qu’elle génère un bruit de fond ?
J’ai pensé à un capteur à effet Hall : On détecte le champ magnétique de l’onde émise :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Capteur_%C3%A0_effet_Hall
Sinon il y a le transistor à effet de champ : On détecte le champ électrique de l’onde :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Transistor_%C3%A0_effet_de_champ
mais est-ce que le temps de réponse et la sensibilité de ces dispositifs permettront de détecter au moins des signaux BF de très faible intensité sinon plus ? Pour le moment je n’ai pas encore cette réponse… Je cherche.
un microcapteur à effet Hall ou un transistor à effet de champ ne coûtent que quelques euro.
Remarque : pour le transistor à effet de champ, le tube de polyéthylène contenant la solution va peut-être générer un bruit de fond important du fait des charges électriques à sa surface.
Cela mérite vraiment des essais car la question de la détection me paraît assez délicate.
Je continue en attendant les suggestions
amitiés
Jean-Yves
Bonjour à tous,
Je ne suis pas physicien, je suis neuro-radiologiste interventionnel. J’ai mis au point une méthode d’harmonisation des muscles de la colonne vertébrale en utilisant des substances homéopathiques, phytothérapiques, allopathiques ou de l’acupuncture ou de l’eau chargée par de la musique. Tous ces “produits” sont sélectionnés cliniquement par ma méthode clinique d’étude de l’harmonie des muscles de la colonne vertébrale. J’obtiens une modification immédiate des forces musculaires de l’ensemble du corps. (“Mal au dos . Une autre vision”. https://www.amazon.fr/dp/B07K7Q5BSY)
Ma méthode clinique est basée sur la création d’un contact entre la main du patient (organe émetteur et récepteur au plan énergétique) et le point du corps à tester en associant en même temps l’étude de l’harmonie des muscle de la colonne.
Pour l’étude de la pathologie du dos, pour éviter les torsions du corps du patient, j’utilise une électrode artisanale en cuivre qui relie la main du patient et le point à tester.
Comme je l’ai dit les résultats sur les muscles de l’ensemble du corps sont immédiats.
Ma question est la suivante :
Il existe très certainement une différence de potentiel de très faible intensité au niveau de l’électrode. Comment puis je la documenter et la mesurer ? En sachant que cliniquement ce phénomène est évident et je suis prêt à en faire la démonstration à ceux qui sont intéressés.
Merci
Bonjour Jacques,
Merci pour votre message : Je suis allé sur le lien URL qui conduit à votre livre et j’en ai lu la présentation. Je trouve votre investigation très intéressante. Dans ma carrière professionnelle j’ai eu à présent deux formations sur les gestes et postures où on a également parlé des traumatismes du dos. Dieu merci en ce qui me concerne, je n’ai pour le moment pas de problèmes graves, quelques douleurs parfois lors d’une posture prolongée (assis). Le meilleur “remède” que j’ai trouvé dans ce cas c’est de … marcher ! (sans porter de charge – notamment excessive). Marcher un peu tous les jours ne serait-ce que pour le plaisir de marcher un peu. J’ai des collègues qui ont des problèmes de dos considérés par la médecine traditionnelle comme “incurables” (hernies discales notamment) alors qu’ils sont relativement jeunes.
Vous avez une question à résoudre assez semblable à la notre. Voici ce que je peux proposer sous réserve de ma compétence, aujourd’hui :
Pour détecter une éventuelle différence de potentiel entre l’électrode et le point de contact du corps il faut utiliser un voltmètre de haute impédance interne (résistance en courant variable ou continu) capable de mesurer des très faibles différences de potentiel. Un multimètre classique du commerce par exemple n’est pas assez performant : Sa résistance interne est trop faible devant celle de la peau notamment (quelques centaines de kilo-ohms quand elle est sèche en basse tension de quelques volts seulement. La peau mouillée a une résistance plus faible (quelques dizaines de kilo-ohms ou moins). Un multimètre de laboratoire pourra être équipé à ses bornes d’entrée d’un amplificateur d’instrumentation (ou de mesure) qui a la propriété de ne pas altérer le signal et qui a une très grande impédance d’entrée (plusieurs dizaines voire plusieurs centaines de méga-ohms) :
http://www.composelec.com/amplificateur_de_mesure.php
Le gain de l’amplificateur peut être adapté à la mesure selon les cas. Il en existe dans des circuits intégrés tout prêts (sous la forme d’une simple “puce”) sur certains sites commerciaux.
Il est même alors possible de suivre le signal transmis par l’électrode sur un oscilloscope ou sur un ordinateur avec un logiciel de traitement du signal (Cela a peut-être son importance dans la thérapie que vous effectuez).
Je ne suis pas électronicien mais le montage de l’amplificateur de mesure ne me paraît pas très complexe. Il en existe des modèles peu onéreux.
La mesure de l’intensité du courant associé à la différence de potentiel pourra être effectuée en intercalant une résistance de quelques kilo-ohms seulement entre le corps du patient et l’électrode, en mesurant la tension (qui sera alors assez faible) à ses bornes avec le montage précédent (et en appliquant la loi d’Ohm I = U / R).
J’espère avoir pu ainsi vous donner pour le moment une première piste.
Bien à vous.
Jean-Yves.
Bonsoir Jean-Yves,
Bien posée, la question de l’ADN : la molécule émet-elle un signal ? Tu es plus fort que moi pour savoir ce qui se passe au niveau des couches électroniques. Les documents que j’ai parcourus évoquent aussi les forces de Van der Waals, mais c’est tellement imperceptible … ce ne semble pas à notre portée. En tous cas si l’on n’étudie qu’UNE seule molécule … ça remet en peu en cause l’expérience, toujours se demander combien il reste de molécules d’ADN aux 6è et 7è dilutions.
A propos de suggestions, relis un peu les posts, et je dois en faire de même, car les suggestions de l’un et de l’autre n’ont pas toutes reçu un écho.
– Le 15/11 j’évoquais l’effet Hall, sans avoir lu toutes ces nouveautés sur les BIOcapteurs, car depuis nos cours il y a eu des évolutions énormes, plusieurs sauts technologiques.
– Concernant les FET (mon post du 02/10), je ne suis même pas sûr qu’ils soient assez sensibles. Je tenterai de trouver une notice technique.
Le bruit de fond est partout, il faudrait en énumérer les sources (fils, semi-conducteurs, rayonnement ambiant du 50Hz, des équipements, etc).
Il est tard, à très bientôt.
Amitiés.
Remy Turing.
Bonjour Jacques, Jean-Yves,
Pour tenter de répondre à Jacques sous l’angle électrique / électronique, pour mesurer “le potentiel au niveau de l’électrode” :
– s’il s’agit du potentiel, on mesure une tension (en Volts, ou plutôt ici en mV, voire en µV) entre deux points à préciser. Cela se fait quand on pratique des ECG, des EEG. Une réponse triviale sur https://forums.futura-sciences.com/physique/483205-courant-electrique-corps-humain.html
– si vous parlez d’intensité, il s’agit d’un courant, entre deux points à préciser.
Sur le fond, j’accorderais plus de crédit aux hypothèses que le cuivre, métal, présente des électrons “en excédent” qui neutraliseraient localement des ions +, donc l’acidité.
Comment peut-on affirmer un effet global sans déplacement d’ions ?
Sans aller jusqu’à https://www.mollat.com/livres/1478424/sylvain-belanger-une-sante-de-cuivre-outils-favorisant-le-mieux-etre-la-circulation-de-l-energie-et-l-elargissement-de-la-conscience vous pourriez contacter l’auteur de http://www.magnetiel.com/plaque-de-cuivre/ ?
Si je peux donner un avis, qui fait référence au cours de Feynman déjà évoqué, le champ électrique sur Terre est de 100V/m. Le corps étant moins conducteur qu’un fil de cuivre, un courant infime pourrait passer entre les deux parties du corps situés à des hauteurs différentes. On peut imaginer utiliser un transistor à effet de champ, composant dédié aux mesures les plus sensibles.
Cf https://forums.futura-sciences.com/physique/311825-champ-electrique.html
Test avec: https://www.sonelec-musique.com/electronique_realisations_detecteur_electrostatique_001.html qu’il faudrait réaliser avec un circuit protégeant l’entrée des décharges électrostatiques (une résistance + 1 condensateur à ajouter ; cela peut nous intéresser pour l’expérience du Pr Montagnier).
Curiosité : quels sont les effets psychologiques possibles de votre expérience (effet placebo, PNL, …) ? Qu’en pensent des ostéopathes ?
Bien cordialement.
Remy
Bonjour Rémy,
Je vais aller voir les références que vous m’indiquez et je vous en remercie. Je ne garantis pas que je puisse comprendre.
En revanche je suis certain qu’il ne s’agit pas d’un effet placebo. Le patient n’est pas sollicité et la réponse est clinique et objective.
En ce qui concerne les ostéopathes, je pense que cela les intéresse. Le 8 octobre; je présente une conférence d’une heure au congrès de l’IPSN à Marseille où ils seront assez nombreux.
Je confirme que peux faire la démonstration du phénomène pour ceux que ça intéresse.
Bonjour à tous les amis,
Le 1 décembre 2018 à 15 h 33 min, Jean-Yves Dolveck …
m’a répondu à propos de yopmail.
Le 29 septembre 2018 à 9 h 56 min, Rémy Turing a (rédigé la procédure, facile) :
…
Voici le mail sur lequel vous pouvez déjà me joindre : alt.ju-58jpqyo@yopmail.com
Amitiés.
Bonsoir.
RT
Bonjour à tous,
Le problème du bruitage électronique me semble presque insoluble. Pour apercevoir le graviton il y a quelques années (théoriquement, une entité certaine), ce fut un dur labeur pour le détecter et grâce à des milliers de signaux et l’inespéré bon signal d’une fusion de deux trous noirs, chose fût faite.
Ne pourrait-on pas s’instruire de cette merveilleuse découverte pour mieux s’affranchir ou du moins mieux maîtriser ce bruitage qui est plus que gênant pour avoir des données correctes d’un phénomène aussi subtil que l’information entre deux entités (ADN, cellules, etc.) dans l’eau ? mais là encore, quels spécialistes pourraient s’y intéresser ? quasiment reproduire une fusion (équivalente à celle de deux trous noirs dans l’eau) ?
Amitiés,
maggam
Bonsoir à tous,
L’analogie de maggam n’est pas mauvaise de regarder la méthode de détection du graviton :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Graviton
Je vais chercher plus de liens en ce qui concerne leur détection.
Pour ma part, je crois en les travaux de Jacques : voici le lien suivant :
https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00233383/document
Le corps (humain) doit compenser cette différence de potentiel. Il y a donc des micro-courants dans le corps. Ce que fait Jacques, c’est qu’il shunte une partie du corps avec l’électrode en cuivre. Il doit donc y avoir un micro-courant associé à une différence de potentiel. Belle étude en perspective !
Le cuivre :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Cuivre
me paraître un bon métal pour cette étude. son potentiel redox de référence est de 0,34 V, dans la gamme de stabilité de référence de l’eau (0 V – 1,23 V). On n’est donc pas gêné par des réactions électrochimiques parasites de contact avec le corps.
Rémy, voici mon adresse yopmail :libanittaxo-0555@yopmail.com, avec mes amitiés. merci pour ton aide didactique.
En ce qui concerne les simulations dynamiques moléculaires sur les vibrations mécaniques (hyperfréquences sonores) dans l’eau. Après la fin de ces première série d’essais il apparaît une anomalie au passage de la fréquence de rotation des molécules d’eau (expérimentalement 20 GHertz) : Un petit pic inversé apparaît dans le spectre en fréquence. je ferais d’autres essais plus tard pour vérifier que je n’ai pas affaire avec un artéfact d’acquisition bien que je suis bien en dessous de la fréquence de Shannon dans les essais déjà effectués. Si ce pic inversé se confirmait, cela serait un indice en faveur du fait qu’il est possible de produire des domaines de cohérence à partir des micro-ondes voire également avec les fréquences de Schumann du champ électromagnétique terrestre (Ce que suppose le laboratoire de l’Université Sannio Benevento avec le Professeur Vitiello*), du fait des correspondances numériques que j’ai citées le 22 novembre 2018 à 0h10.
*Leur article :
http://iopscience.iop.org/article/10.1088/1742-6596/306/1/012007/meta
J’ai attaqué une série d’essais sur la mesure du moment dipolaire moyen dans l’eau. On va voir ce que cela donne.
Pour le buzz avec un peu d’humour : j’ai un de mes ordinateurs qui a “fumé” ! (l’alim.) Je ne sais pas si les données du disque dur seront cependant récupérables … Heureusement que j’avais un double des données sur ma clef USB ! … Too much work perhaps !
Amitiés à tous et à bientôt
Jean-Yves
Bonjour Jean-Yves, tous,
Jean-Yves, aïe, tu publies ici et m’as envoyé libanittaxo-0555@yopmail.com qui est la boite mail que tout le monde peut lire maintenant, alors qu’il fallait m’envoyer son alias : ‘E-mail alias’ pour cette boîte: alt.c4-dvl0b4m@yopmail.com
… et tu as écris à mon alias en utilisant comme adresse expéditeur … mon alias.
Peu importe, il suffit que tu choisisses une autre boite expéditeur, dont tu donnes ici ou sur yopmail l’alias.
Merci pour le lien sur la thèse.
Concernant le graviton, je suis passé à Virgo (malheureusement en extérieur car en août c’est fermé), je connais un peu l’expérience car elle est la poursuite de celle de Michelson et Morley, en réussi cette fois, puisque des ondes gravitationnelles ont été détectées déjà plusieurs fois (au prix de l’usage de technologies très sophistiquées, notamment pour l’isolation mécanique).
https://www.youtube.com/watch?v=yk-CLVy_Y5w
La résonance de Schumann interpelle, je suis en train de visionner https://www.youtube.com/watch?v=wlY-dDfyryY
Bravo pour cette piste !
J-Y, si l’alim est HS cela n’implique pas que les disques aient été atteints. Des micro-coupures EDF ont déjà affecté un PC, dont j’ai simplement remplacé l’alim, avec Corsair les nouvelles micro-coupures n’ont pas engendré de reset.
Amitiés.
RT
Bonsoir Remy,
Autant pour moi, j’ai effectivement eu un doute que quelque chose clochait dans ma création de mail sur yopmail quand j’ai essayé l’accès mais sur le coup je n’ai pas compris pourquoi … Je vais donc recommencer.
Les ondes de Schumann en théorie :
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9sonances_de_Schumann
J’avais vu aussi des vidéos de belles images d’ondes de Schumann mais pour l’instant je n’ai pas encore retrouvé les liens.
En aparté, j’ai visionné la vidéo sur les ondes gravitationnelles : il est sûr qu’avec des bras de 3 km de long, la détection est plus sensible qu’avec les bras de 10 m de long dans la première expérience de Michelson et Morley :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Exp%C3%A9rience_de_Michelson_et_Morley
Si la déviation du faisceau laser varie par exemple avec le carré de la distance, cela fait une augmentation de la sensibilité par 90 000 ! … et ça a marché !
… Très instructif.
Merci à toi.
Amitiés
Jean-Yves.
Bonjour Jean-Yves,
Je suis actuellement très pris et dois encore effectuer quelques lectures avant de revenir.
Notamment pour approfondir tes références (Schumann, …) et revoir des vidéos.
Toutefois je reste à l’écoute du site et surveille mes mails sur yopmail.
A très bientôt.
Amitiés.
Remy
Bonjour les amis,
Cette information, insolite également, et prometteuse, vous intéressera sûrement : https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/et-si-les-lasers-reduisaient-la-radioactivite-a-seulement-quelques-minutes-801278.html
En attendant, je vous souhaite d’excellentes fêtes de Noël et de fin d’année, j’ai encore à faire mais reste à l’écoute.
Jean-Yves, n’hésite pas à échanger avec moi sur yopmail.
Amitiés.
RT
Bonjour à tous,
Pour ma part j’ai lu l’article en lien sur la décomposition des atomes par laser. Cela me scientifiquement très intéressant surtout pour de la recherche fondamentale ou des applications médicales. On pourra par exemple reproduire le cycle de vie d’une étoile ou produire des éléments radioactifs à usage médical. Pour ce qui est de détruire les déchets nucléaires, je suis un peu sceptique : Si ce n’est pas pour produire des atomes ou isotopes stables (la probabilité n’est pas de 100% en regardant le tableau de Mendéléieff) on risque de s’embarrasser massivement (sur 30 ans) de déchets à courte durée de vie mais extrêmement violents et nocifs, alors que bien enfuis les déchets à longue durée (plusieurs centaines de milliers d’années) de vie sont peu actifs : les sites d’enfouissement sont également très surveillés. Il faudra aussi construire des infrastructures permettant de canaliser l’énergie produite … On sait déjà la polémique qu’a engendré la création et l’exploitation d’un (!) surgénérateur (et alors un laser de 100 térawatts ?). Il faut donc aussi réduire l’activité nucléaire – qui certes est “peu coûteuse” – et développer l’exploitation des énergies nouvelles non polluantes.
Pour ce qui est de la mémoire de l’eau, les simulations dynamiques moléculaires continuent et les derniers résultats confirment la possibilité d’une émission locale d’ondes électromagnétiques par un ensemble de molécules d’eau contenant ou non des molécules étrangères dissoutes. Est-ce qu’à l’échelle d’une éprouvette de haute dilution on aurait un signal global détectable ? C’est toute la question que l’on va tenter résoudre par une nouvelle proposition d’expérience de transduction de l’ADN actuellement en cours de rédaction.
bien à vous tous et bonnes fêtes de fin d’année à tous.
Jean-Yves.
A Jean-Yves, maggam, Jacques, tous,
Tous mes vœux de bonne année, de bonne santé, d’amitié, pour cette nouvelle année 2019 !
J’espère que vous avez passé de bonnes fêtes.
A bientôt.
Remy
Bonjour Remy, Jacques, Maggam, tous,
Bonne année, bonne santé et meilleurs voeux.
Pour ma part, à la fin de l’année 2018 et après de bonnes fêtes, la mémoire de l’eau a été très productive et elle continue de l’être.
Bien à vous tous.
Amitiés.
Jean-Yves.
Merci Jean Yves (avec retard)
Je vais étudier en détail votre commentaire et je reviens vers vous
Bonsoir Jacques,
J’espère que ces données vous seront effectivement utiles. J’ai vu sur Internet qu’il existe un grand nombre de liens sur l’électrostimulation avec (donc) un micro-courant donné par une machine extérieure. Je me demande si ces appareils sont capables de reproduire fidèlement les signaux naturels du corps (de la main dans votre étude).
Il vous sera aussi possible d’administrer des signaux naturels amplifiés de façon réglable avec l’amplificateur de mesure.
Pour l’instant, en cherchant sur Internet, je n’ai pas trouvé d’autre lien satisfaisant pour la mesure de micro-courants ou de micro-tensions, mais je reprendrai les recherches à l’occasion.
Bien à vous.
Jean-Yves.
Bonsoir Jean-Yves, tous,
Juste pour vous communiquer l’URL en français correspondant à l’expérience : https://books.google.fr/books?id=_bUbBQAAQBAJ&pg=PA49&lpg=PA49&dq=Journal+of+Physics:+Conference+Series306(2011)+012007&source=bl&ots=TYh8a6DQ4y&sig=ACfU3U0zWiO9zEhm5-PeSra75uhBbrWqWQ&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiRqYuN0v_gAhWVAmMBHQXADe4Q6AEwAXoECAkQAQ#v=onepage&q=Journal%20of%20Physics%3A%20Conference%20Series306(2011)%20012007&f=false
Il existe un livre correspondant à ces infos de Google : cf https://books.google.fr/books?id=_bUbBQAAQBAJ&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q&f=false
Amitiés.
RT
Bonsoir Remy,
… Ce livre montre également de très jolies images de structures de l’eau selon différents dispositifs d’écoulement (vasques vives …).
C’est une lecture intéressante à plein de points de vue.
Il y a une conviction scientifique de plus en plus forte des propriétés de mémoire de l’eau :
par exemple :
https://www.youtube.com/watch?v=z5_SPltPuJg
Amitiés
Jean-Yves
Bonjour,
Jean-Yves, j’ai regardé cette vidéo ( https://www.youtube.com/watch?v=z5_SPltPuJg ), mais vers 5′ à 5’10s, quand le Pr Montagnier mentionne 7 à 8 dilutions, nous avons vu que, le nombre de molécules d’ADN étant gigantesque au départ, on ne peut dire qu’il n’y a plus d’ADN.
Or il s’agit bien de la 6è ou 7è dilution :
– cf ton msg 23 septembre 2018 à 21 h 55 min,
– cf calcul mon message du 20 novembre 2018 à 10 h 14 min … il reste après la 6è dilution quelques 17000 molécules d’ADN. Et encore après la 7è et 8è dilution.
C’est un autre raisonnement que de prouver que l’ADN a disparu …
Sinon, tu connais l’argent colloïdal ? Il est aussi dynamisé. Un lien par exemple : https://www.alternativesante.fr/antibiotiques/l-argent-colloidal-antibiotique-interdit
L’énergie mécanique de l’agitateur (Vortex Génie 2) pourrait-elle créer une résonance entre les molécules d’ADN ? A priori de les remuer créerait une sacrée entropie … mais après, pourrait-on parler de “cristallisation” dans la solution qui retourne au repos ? Les molécules peuvent-elles “communiquer” via un champ EM composite, entrer en résonance ? Et leurs signaux s’ajouter ?
Amitiés.
Remy
Bonsoir Remy,
Merci pour ton retour sur la vidéo. moi j’ai bien aimé l’esprit de collaboration qui en émane. Est-ce que englober l’homéopathie et la notion de médecine quantique sera une bonne solution pour lever les scepticismes, je ne sais pas. J’ai toujours dans l’idée de soumettre un cahier des charges pour refaire l’expérience de transduction mais cette vidéo montre que les recherches sur les applications évoluent et ainsi la position que peut avoir une telle proposition d’expérience va en dépendre.
Pour ce qui est des simulations dynamiques moléculaires, je suis encore loin pour ma part d’illustrer une communication électromagnétique entre deux molécules mais on peut illustrer qu’un groupe de molécules d’eau autour d’une molécule étrangère émet une fréquence électromagnétique. Il me faut cependant faire des essais de répétabilité et les simulations durent assez longtemps avec mon matériel (jusqu’à un mois !).
Pour ce qui est du lien sur l’argent colloïdal, c’est très intéressant. Là encore, en France on interdit de vendre de l’argent colloïdal. Quelle raison a été trouvée ? Dans la même idée, l’huile essentielle de sauge (la thuyone) par exemple est prohibée alors que les limites de toxicité et les bienfaits sont connus.
https://www.passeportsante.net/fr/Solutions/HuilesEssentielles/Fiche.aspx?doc=huile-essentielle-sauge-sclaree
https://fr.wikipedia.org/wiki/Thuyone
Amitiés à toi
jean-Yves.
Bonjour Jean-Yves, tous,
Je poursuis au sujet de la “communication” entre molécules.
Il faudrait élargir les considérations, impliquer plusieurs compétences (bien que les expérimentations sont à la portée d’un enfant !) :
– cristallisation en milieu liquide (exemple du sel coloré dans le jeu https://www.amazon.fr/s?k=Clementoni+-+52067+-+Cr%C3%A9e+Tes+Cristaux&__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&ref=nb_sb_noss )
– principe d’entropie qui conduit des molécules à se disperser dans une solution : cf expérience d’osmose … https://fr.science-questions.org/experiences/135/Osmose_a_travers_une_membrane/
En corsant un peu :
– à voir 1) https://www.canal-u.tv/video/universite_de_tous_les_savoirs/la_chimie_du_et_pour_le_vivant_la_recherche_face_aux_enjeux_du_debut_du_21eme_siecle.1480
– à voir 2) https://www.canal-u.tv/video/universite_de_tous_les_savoirs/la_modelisation_des_molecules_de_la_vie.1475
Cela ramène mes interrogations toujours aux mêmes questions : les propriétés téléologiques des … particules (oui ! à ce niveau aussi fin !). La chimie et la géométrie sont liées, comme le sont la physique et la géométrie. Combien de vies nous faudra-t-il pour se forger une idée ?
Amitiés.
Remy
Bonjour,
Petite note pour rappeler cet ouvrage que nous avons tous lu, mais les questions restent, même si la Science progresse, le mystère n’est pas encore résolu …
http://www.seuil.com/ouvrage/qu-est-ce-que-la-vie-erwin-schrodinger/9782020202237
Et la pierre philosophale, toujours … mais pourvu que le processus soit pur sur tout son déroulement.
Jean-Yves, le cahier des charges et la modélisation sont les aspect pratiques et théoriques, encore dissociables, ce ne sont pas comme les travaux de Faraday et de Maxwell.
Comment ta modélisation peut-elle parvenir à simuler un comportement “macroscopique” ? Comment exprimes-tu l’équation de Schrödinger de ton “système” ? Ce doit être une formule colossale à calculer ? D’où la durée que tu indiques. Quel processeur utilises-tu ? Sous Linux ? Il n’est pas dans nos moyens d’utiliser un processeur vectoriel à moins que partie de ton logiciel de simulation comporte des instructions en assembleur comme indiqué dans https://fr.wikipedia.org/wiki/Single_instruction_multiple_data … mais on ne peut tout refaire.
Peux-tu solliciter un laboratoire, qui aurait déjà travaillé sur le sujet ? As-tu formulé les specs que tu pourrais leur soumettre, plutôt que d’en rester aux outils d’un particulier ? Cf Tinker-HP relaté dans mon message du 19/09/2018.
Enfin, je vais pouvoir écouter le reste de l’héritage musical décrit sur https://www.mphil.de/en/label-mphil/sergiu-celibidache.html car sur les 49 CD je n’avais pas tout. Et je reviens à Bach, parce-que https://www.journaldepapageno.fr/index.php/post/2010/07/04/Le-nombre-d-or-dans-la-musique-de-Jean-Sebastien-Bach et Fibonacci, comme Leonardo … étaient des novateurs. Et ce serait dommage de se limiter à ce lien extraordinaire : https://www.youtube.com/watch?v=vjkKUFkcxXc !
Mes amitiés.
Remy
A tous,
“Les mathématiques sont le langage de la nature”, merci Galilée, (http://archipope.over-blog.com/article-21287920.html ).
L’ADN est-il un objet fractal ? Cela nous aiderait-il ?
Une protéine qui se replie exprime-t-elle des propriétés fractales ?
Les objets fractals comme des feuilles ou des brocolis étant à la fois une production obéissant aux lois de la thermodynamique, suivant un schéma mathématique, réglé par des combinaisons biologiques,
si les structures se maintiennent dans des états de moindre énergie potentielle (entropie = second principe de la Thermodynamique),
quel comportement peut avoir une molécule d’ADN (le référentiel) au sein d’un environnement fait de molécules d’eau ?
Aux physiciens théoriques : les échanges d’énergies entre une molécule organique et des molécules d’eau se font-ils jusqu’à entrer en résonance ? Quelle résonance ? Jean-Yves étudie cela précisément …
Quelles résonances entre des molécules de composition et de “poids” différents (eau = 18 Daltons) ?
Existe-t-il un comportement “de groupes” (de molécules distantes) ? Par le moyen de signaux EM propres à leur composition ?
Les rayonnements de ces molécules distantes (qui après agitation, retournent dans un état de repos) peuvent-ils s’accorder (phase), s’ajouter (amplitude), pour délivrer un signal que l’on puisse capter ?
Voici quelques questions sans équations, … brainstorming.
Amitiés.
Remy
Bonsoir à tous,
Merci Remy pour tes nombreux liens et pour l’approche que tu soulève à propos de la simulation dynamique moléculaire et des équations quantiques (Schrödinger), et des fractals. Monalisa a fait l’introduction musicale de ma réflexion pour argumenter.
Pour ce qui est de la simulation dynamique moléculaire, le type de simulation que j’utilise n’est pas “ab initio”. Je n’y résous pas de manière systématique l’équation de Schrödinger. Cependant, j’utilise un mode de déplacement des atomes basé sur des mouvements aléatoires avec la minimisation de l’énergie d’interaction locale. Il y a donc une approche probabiliste de la position des molécules d’eau et des molécules étrangères dissoutes. Les atomes constituant les molécules sont représentés par des fonctions mathématiques (potentiels) illustrant des probabilités d’interaction en fonction de la distance. On peut mettre en évidence des comportements de groupe, mais dans mon travail, les boites de simulation sont de faible dimension. Il existe effectivement une influence de la taille de la boite sur l’expression des lois d’évolution trouvées mais pas sur l’évolution globale. Ainsi par exemple dire que le temps de persistance de cavités moléculaires augmente exponentiellement avec la taille de la molécule étrangère n’est pas exact, mais dire que le temps de persistance augmente avec la taille de cette molécule est vrai. Pour ce qui est des signaux électromagnétiques émis par les molécules d’eau autour d’une molécule étrangère, cela risque d’être également le cas : la fréquence du signal va peut-être varier avec la taille de la boite, mais le fait qu’elle sera différente de celle émise par de l’eau pure restera vraie. Il n’est pas exclu que si les boites de simulation sont de taille suffisamment grandes, l’effet de la taille va disparaître et on observera des propriétés “constantes”.
Pour ce qui est des fractals, c’est très intéressant et cela amène à considérer les ondes d’échelle. Il existe des fractals homothétiques avec des lois de changement d’échelle constantes, ainsi par exemple pour simplifier, un gros cube fait avec des petits cubes. Il y a aussi des fractals non homothétiques avec des lois de changement d’échelle qui restent constantes. Ainsi par exemple un arbre : quand on change d’échelle, les grosses branches ne sont pas disposées rigoureusement de la même façon petites branches et ainsi de suite vis à vis des rameaux. L’aspect homothétique n’est que global. Ensuite il existe des fractals non homothétiques avec des lois de changement d’échelle non constantes : ainsi un atome, une protéine, une cellule vivante et un être vivant. Que dire de l’ADN ? Bonne question que je vais travailler. Et pour l’eau je me pose déjà la question du caractère fractal (à mon avis non homothétique mis avec des lois de changement d’échelle constantes) des agrégats de molécules d’eau. J’ai effectué des simulations dynamiques moléculaires sur la connectivité de l’eau entre molécules. Il y a de gros indices ! Je reste cependant un peu limité par la taille de mes boites de simulation mais j’ai envoyé les résultats de mon travail sur ce sujet à un laboratoire de recherche. … Ainsi ceci pourrait bien expliquer cela …
Amitiés à tous.
Jean-Yves
Chers amis,
Vous savez que le ministère de la santé a saisi la Haute autorité de Santé (HAS) pour connaître son avis “quant au bien-fondé du remboursement des médicaments homéopathiques”. Son avis est attendu pour le mois de juin.
Au vu des recherches et discussions que vous partagez sur ce fil et dont certaines ont trait à l’homéopathie, ressort-il aujourd’hui un élément ou un autre qui pourrait être versé au débat ? Quelle serait votre position par rapport à la problématique actuellement soulevée dans la société ?
Cordialement
J-L M-L
Bonjour Jean-Luc,
Pour commencer merci pour ton approche citoyenne, j’ai écouté avec bonheur “Quart d’heure de célébrité de Jean-Luc Martin Lagardette” sur https://www.dailymotion.com/video/xg3pod et noté “le droit du citoyen à une information fiable”.
C’est impossible n’étant pas médecin d’afficher un point de vue éclairé sur l’homéopathie, de plus “la médecine n’est pas une science exacte”.
En tant que patient (lambda) j’ai bénéficié d’un effet positif (placébo ?) en prenant de l’Arnica Montana 5CH après des chocs, ainsi qu’une disparition en 12 heures d’aphtes après avoir pris du Borax 5CH, ce témoignage est bien maigre en comparaison d’études habituellement conduites par des professionnels sur des cohortes de centaines de patients, études randomisées réalisées en double aveugle et contre placebo.
En toute humilité, je ne crois pas sur cette page on puisse trouver jusqu’à présent d’avis autorisé, juste des réflexions et tâtonnements abordant le sujet, sauf le livre du Dr Deepak Chopra en mémoire. Beaucoup ont écrit …
L’avis n’est-il pas largement partagé, que l’homéopathie permet à de nombreux patients de se soigner de certains maux, à coûts moindres pour la Sécurité Sociale ? Des médecins prescrivent de l’homéopathie, des compléments alimentaires (souvent très chers) et d’autres soins non remboursés (en vente libre).
La Liberté, un des piliers de notre Constitution … pourvu que l’on respecte “primum non nocere” et que l’on n’abandonne pas un traitement salvateur pour des “fantaisies”.
Pour ma part j’assume l’achat de ces “cachets” non remboursés, mais regrette les déremboursements massivement imposés depuis 2016 (honoraires du médecin traitant plafonnés en secteur 2, etc).
Amicalement.
Remy
Bonjour Jean-Luc, bonjour à tous,
J’ai regardé avec beaucoup d’intérêt cette vidéo daylymotion du quart d’heure de célébrité. Merci Jean-Luc pour cet éclaircissement du fonctionnement de la Presse et des média. Ce fonctionnement est en effet très complexe. Il ne faut pas confondre le journaliste qui recherche l’information et l’éditeur de média qui va faire mettre en forme l’information selon une recette de contraintes juridiques, politiques ou commerciales : l’éditeur “vend”de l’information. Le débat sur la liberté de la Presse est aussi vieux que l’existence de celle-ci comme en relatent mes réminiscences de mes suivis de cours d’Histoire de lycéen !
Pour la question du déremboursement des soins homéopathiques, bien que n’étant ni médecin ni pharmacien, si un référendum avait lieu au niveau de la population, aujourd’hui je répondrai qu’il faut maintenir le remboursement des soins homéopathiques, bien que je ne suis pas un adepte de l’homéopathie. J’ai eu pris une fois un médicament homéopathique pour – tant s’en faut – un mal de gorge bénin, mais ce médicament m’a quand-même bien soulagé. Mon argument est que beaucoup de gens se soignent par homéopathie, et l’Homéopathie soigne … La Sécurité Sociale est un service au nom de tous les citoyens et elle ne doit pas en principe faire de discrimination sur les pratiques médicinales non nocives pour la population. Certes, l’aide de la Sécurité Sociale doit préférentiellement se porter sur des médicaments reconnus efficaces. Ainsi effectivement, certains médicaments allopathiques sont aussi de moins en moins remboursés car reconnus peu efficaces. A contrario, la médecine homéopathique a prouvé son efficacité auprès des patients qui y ont recours.
J’ajoute l’argument scientifique suivant : Le principe de la médecine homéopathique est très ancien. Il remonte au moins à l’Antiquité. On raconte qu’un citoyen romain buvait chaque jour un verre contenant de la cigüe fortement diluée par crainte d’être empoisonné avec celle-ci par ses ennemis. Cette pratique lui sauva effectivement la vie.
Samuel Hahnemann a chercher à quantifier le processus de dilution pour optimiser les antidotes ainsi créés … sauf qu’en 1810, le nombre et la limite d’Avogadro n’était pas encore connus et que l’on sortait tout doucement de l’Alchimie. Le Docteur Hahnemann n’avait donc pas encore de repère pour la limite de ses dilutions. Or les médicaments ainsi préparés ont soigné … à quelle dilution ? Personnellement je ne suis pas assez calé dans les statistiques sur les médicaments homéopathiques mais elles existent. Aujourd’hui la limite d’Avogadro est connue et on la brandit chez les sceptiques comme le sceptre (d’ailleurs plus que le seuil !) de la crédibilité !
J’ajoute enfin de façon plus prosaîque qui les laboratoires Boiron commercialisent aussi beaucoup de médicaments ayant des dilutions homéopathiques se situent avant la limite d’Avogadro (12 CH), et que par opposition quand on regarde les compositions de certains médicaments allopathiques, la molécule active est en fait parfois présente seulement en toute petite quantité par rapport aux excipients ! … Et les quantités ingérées restent faibles par rapport au poids du corps. Donc pour conclure je dirais avec humour : Cherchons d’abord le bon sens !
Amitiés
Jean-Yves
Bonjour à tous,
Je viens de terminer une note de travaux sur la cohérence de phase dans les domaines de cohérence de l’eau. Cela a marché relativement bien : on peut illustrer que les molécules d’eau sont plus en cohérence de phase dans les domaines de cohérence que dans l’eau à l’état fondamental.
Je continue mon étude avec une application par simulation en échelle intermédiaire. Là encore les premiers résultats sont parlants : des molécules d’eau excitées énergétiquement qui échangent leurs énergies font apparaître des domaines connexes et de grande surface comme des domaines de cohérence fluctuants. Je n’ai pas encore bien pu illustrer toutes les relations physiques qui en découlent. Les idées d’améliorations vont bien finir par faire surface avec un peu de persévérance.
Amitiés à tous.
Jean-Yves.
Je préfère ne rien dire… site un peu délirant, à priori.
Bonjour,
Pour le lien entre les domaines de cohérence et les propriétés de mémoire de l’eau – au temps pour moi, pour ne pas l’avoir précisé – je propose par exemple de lire la publication du Professeur Luc Montagnier, E Del Guidice et G Vitiello (lien suivant 🙂
https://iopscience.iop.org/article/10.1088/1742-6596/306/1/012007/meta
le texte de la publication (en anglais) est à télécharger en format PDF.
En souhaitant à tous une bonne lecture et pour certains d’entre nous de bons souvenirs.
Amitiés.
Jean-Yves.
Ping : La mémoire de l'eau - Energia Libera
Bonsoir à tous,
L’heure – depuis des années ! – est à la modélisation des interactions entre molécules, avec l’utilisation du Big Data (banques de données), à tous les niveaux jusqu’au macroscopique.
Jean-Yves, où en es-tu dans tes modélisations ?
Le PDF que tu désignes https://iopscience.iop.org/article/10.1088/1742-6596/306/1/012007/pdf demande qu’on trace un graphe, comme un “mind mapping” https://www.mind-mapping-decision.com/mind-mapping-definition/, en regroupant dans différentes branches :
– les objets (informatiques) : toutes les molécules entrant dans le modèle, les bosons, etc
– les mécanismes auxquels on fait appel
– les équations,
– les fréquences mises en jeu
– …
Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement … le document devrait être mis à plat, ce que tu as du faire pour tes modélisations, comment le réutiliser pour reproduire l’expérience ?
Passer du logiciel aux transistors, des résonances de Schumann à l’agitateur et au capteur.
Amicalement.
Remy
Bonjour à tous,
Merci Remy pour le lien sur le Mind Mapping. C’est intéressant pour faire des résumés graphiques (posters). Il existe d’ailleurs des logiciels de création de mind maps :
https://www.mindjet.com/fr/mind-mapping-nb6/?campaignID=7011M000000GEbV&msclkid=9895b61ff1d31d6c0254eb0995eb17af&utm_source=bing&utm_medium=cpc&utm_campaign=1.41%20Search%20-%20FR%20-%20NB%20-%20Mapping%20-%20FR&utm_term=%2Bmind%20%2Bmapping&utm_content=1.02%20Mind%20Maps
… Une “mind map” (traduire : “carte mentale”) pour expliquer tous les aspects de la “mémoire de l’eau”. Voilà ce qu’il faut !
… Et bien la voici ! c’est une belle réalisation !
https://mind42.com/public/3665087f-c46a-4798-bcc3-c141fc45916d
Elle est assez vaste !
Pour ma part, l’heure est à la tentative de publication de certains résultats de simulation sur les domaines de cohérence de l’eau. J’en dirai plus quand ce travail aura abouti.
Bonne continuation à tous.
amitiés.
Jean-Yves.
Bonjour
Vous en avez rêvé ? Jean-Yves l’a apportée ! Merci !
Cette mind map est un excellent rappel du contexte.
Il faudrait lui adjoindre les particules, les équations, les calculs, … évoqués, schémas …
Je ne suis pas assez scient pour comprendre les analogies que l’on pourrait faire entre :
– les Domaines de Cohérence, qui laissent passer des ondes mais pas de la matière
– la positionnement des protéines qui s’attachent aux parois des cellules (phospholipides) ou les traversent
– la pompe à protons
– les mécanismes de libération par des vacuoles
– la perméabilité intestinale (par ex.)
– le repliement des protéines, leurs interactions, le fonctionnement biologique d’une transcription (ARNm) comme illustré sur https://www.youtube.com/watch?v=TfYf_rPWUdY
– …
Des lois physiques, chimiques commandent à toutes les échelles.
Depuis Schrödinger et https://fr.wikipedia.org/wiki/Qu%27est-ce_que_la_vie_%3F , l’ADN a été découvert, son expression déchiffrée, mais les cellules se déterminent selon leur position dans un tissu, leur comportement n’est pas le même en 2D et en 3D cf https://www.inserm.fr/actualites-et-evenements/actualites/organoides-quelle-place-dans-recherche-demain alors, sont-elles libres ou déterminées par une loi d’ensemble ?
Si l’on considère que les cellules sont le résultat de symbioses établies au cours de 4 milliards d’années entre des organites, puis des constructions de plus en plus élaborées (procaryotes, puis eucaryotes, etc), un ARN et/ou un ADN “peut” exister préalablement à tout sauf aux acides aminés, aux-mêmes nés des premières fusions d’étoiles, agrégats célestes, soupes primitives, etc.
Des lois de la biologie issues de rencontres fortuites, nous réduisons l’origine du vivant aux concentrations, interactions chimiques, et pourquoi pas, en usant de la thermodynamique, aux seules lois physiques. Comme le Monde est simple !
Encore une “échelle” à descendre, arrivant aux baryons les plus communs, protons et neutrons ; mais si l’on veut bien considérer les photons, ne seraient-ce pas eux qui font le jeu ?
Commandant les changements de niveaux d’énergies, messagers (bosons), ondes et corpuscules, rayonnements, EM, ils font tout avec un minimum d’énergie, la leur.
Et si l’on ne raisonnait QUE en prenant comme référentiel et objet d’études les photons, oubliant tout ce qui compose la matière de l’ADN ? La matière serait un substrat sujet aux changements d’états provoqués par les photons …
Les énergies considérées dans les calculs ne seraient que celles paramétrées dans des matrices de photons.
Nous changerions de paradigme, passant de l’émergence au réductionnisme.
Votre avis ?
Amitiés.
Remy
Bonsoir à tous
Très jolie vidéo Remy sur la transcription de l’ARN en protéines dans les ribosomes. Pour ce qi est des organoïdes, le lien cité donne accès à une vidéo sur le développement biologique en 3 dimensions dans un gel.
Pour ce qui est des échelles d’étude et d’après quelques lectures, le scientifique que je suis peut dire que le monde infiniment petit (noyaux d’atomes et en deçà) est entièrement quantique. Pour les molécules et les protéines, la physique quantique et la physique classique jouent un rôle équivalent et surtout lié (on a trop tendance à ne l’aborder que par un modèle classique ou que par un modèle quantique; il faut un modèle mixte). Pour la dimension cellulaire, la biologie donne de bons modèles mais une part de physique quantique n’est pas à négliger même si elle devient assez faible. Pour le monde à dimension humaine, la physique classique est bien adaptée mais ce que l’on sait, c’est que certains facteurs aspects restent à détermination aléatoire. On développe alors des théories statistiques mais qui ne sont pas forcément quantiques. Pour l’astronomie à l’échelle des système planétaires, la physique classique est assez bonne mais on commence à trouver des problèmes relativistes (par exemple l’orbite de Mercure). Pour l’Astronomie à grande échelle (galaxies et plus grand) la phyisque relativiste s’impose. Tout ceci pour un tableau actuel de notre environnement. A d’autres instants de l’existence de l’univers, la répartition des échelles d’étude devait être différente (par exemple au moment du big bang).
La biologie classique étudie les systèmes par les interactions de la matière. Les avancées modernes parlent de l’importance du rayonnement (biophotons). Une théorie mixte “matière -lumière” et également (ce qui ne fait pas doublon d’expression) “classique quantique”. On va suivre.
Personnellement, je pense que l’on va ainsi plutôt du réductionnisme vers l’émergence. mais effectivement, en omettant certains aspects phénoménologiques dans les théories descriptives, on risque de déplacer purement et simplement la vision réductionniste et on ne progressera donc pas plus …
J’envisage pour ma part de suivre des formations à caractère “globaliste” en biologie quantique. Il y en a qui sont mises en place par des biologistes et des physiciens. Des connaissances éclectiques sont de plus en plus de rigueur pour aborder les Sciences de la Vie.
https://www.youtube.com/watch?v=N6rv2_ebwFs
Bonne continuation à tous
Amitiés
Jean-Yves
Cher Jean-Yves,
Nos résumés peuvent faire sourire … Cependant :
!!! MERCI !!! pour ton lien sur les leçons du Professeur Marc Henry, que j’ai pris tant comme un devoir d’humilité que comme une invitation à s’investir …
– Préalablement, le réductionnisme est une chimère, “en la matière”.
– 1) L’animation initiale m’enchantait, donnant une belle illustration des équations de Maxwell, une petite cuiller sur le principe d’incertitude d’Heisenberg …quelques rappels de bases 😉
– 2) ce fut vite enchainé par l’exposé magistral (!) et didactiquement simplifié de quelques principes choisis, du fonctionnement de la machinerie cellulaire, s’appuyant sur des décennies d’expérience(s), invitant à revenir sur les slides.
– 3) c’est un feu nourri de raisonnements de haute voltige, invitant à considérer : les proportions et poids comparés des molécules d’eau, leur omniprésence, la densité enveloppant les autres molécules au sein de la cellule, leur propagation avec quel débit et quelle énergie, … j’arrête là, c’est beaucoup plus vaste et dense. C’est à voir, quelques génies sauront en bénéficier pleinement.
A quand le prix Nobel pour le Pr Marc Henry ?
Toujours un soutien pour le Pr Montagnier, think different, out of the box!
Amitiés.
Remy
Bonjour à tous,
Remy, merci pour ton retour sur la vidéoconférence du professeur Marc henry. Pour ma part je l’ai trouvée très intéressante non seulement pour son contenu (j’ai refait quelques calculs) mais également pour les aspects transférables à d’autres domaines (je m’intéresse aussi beaucoup au phénomène de diffusion moléculaire dans les polymères).
Le Professeur Marc Henry a monté une association : Natur’Eau Quant” dont le siège est à Vézenobres (Gard 30). Il anime beaucoup de conférences sur le rôle de la Physique Quantique en Biologie, il prend aussi une part de défense active pour l’Homéopathie.
Un prix Nobel ? Ce n’est pas simple a priori car il faut que les recherches, les découvertes ou les idées soumises à évaluation aient apporté une avancée sociale ou technologique significative reconnue. Actuellement, c’est encore le plein combat pour les faire entendre. Le lien suivant permettra d’en savoir plus sur ce “parcours du combattant” :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_Nobel
Pour ma part je suis heureux de participer à ce challenge à ma façon. Cependant même la plus belle des expériences (ou des simulations !) ne doit pas avoir de prétention bien qu’elle est ou soit toujours un moment d’euphorie. La Recherche est parfois ingrate … les choses se font donc petit à petit dans un esprit d’émulation et aussi de coopération. Bien sûr il y a parfois quelques coups de patte …
Un “bon ministre” de l’Enseignement et de la Recherche avait dit : “Des chercheurs qui cherchent on en trouve … mais des chercheurs qui trouvent on en cherche !”. Ce propos “à l’aigre” n’est pas de mon avis, et je pense avec un vécu à l’appui, que même le chercheur qui a “échoué” est une excellente balise pour faire avancer dans la bonne direction ceux qui ont par la suite la chance de “trouver” (un bien grand mot d’ailleurs). L’humilité, la persévérance et l’engagement sont trois des qualités importantes d’un chercheur. Savoir communiquer est aussi un grand atout. Le Professeur Marc Henry l’a (comme le Professeur Luc Montagnier d’ailleurs) et c’est un point fort.
Amitiés
Jean-Yves.
les échanges sur ce forum me font grand plaisir… et me conduisent HUMBLEMENT à vous demander si vous connaissez “l’intelligence émotionnelle des plantes” de Cleve Backster.
Les préfaces de Bénédicte Fumey et Jacques Collin me paraissent très intéressantes et bien en rapport avec votre problématique (on y parle aussi de M. Montagnier…)
“« Ce livre engage le monde universitaire à une profonde réflexion, en particulier les chercheurs en biologie, en médecine et autres sciences du vivant. Puisse la science rejoindre enfin cette conscience qui l’a enfantée et qu’elle a ignorée pour le plus grand malheur de l’humanité. » Jacques COLLIN Les plantes sont-elles en résonance avec l’Homme et le règne du vivant ? Si l’« intelligence collective » se définit comme la capacité de s’adapter à son environnement et d’en tirer profit pour en faire bénéficier la collectivité, les dernières recherches scientifiques prouvent sans conteste que le règne végétal en est pourvu. Cette « neurobiologie végétale » qui n’ose pas encore être ainsi nommée, dans la mesure où les plantes ne possèdent ni neurones ni cerveau, est désormais un domaine de recherche qui touche autant celui de la physique quantique que celui des neurosciences. Dans cet ouvrage, Cleve Backster nous explique le fonctionnement de la « perception primaire » des plantes, cette relation presque affective, cette « énergie pensive » fondée sur des sentiments et des émotions comme l’affection, la bienveillance, l’amour inconditionnel, la beauté et l’harmonie. Il démontre que tout le vivant, incluant l’homme, est relié d’une façon intime et immédiate à la matrice de l’univers. Engagé en 1948 par la CIA comme spécialiste de l’hypnose, CLEVE BACKSTER y a développé l’usage du polygraphe (détecteur de mensonges). Un jour de 1966, il s’amusa à tester une plante en y branchant un polygraphe, avec l’intention de brûler une feuille. À sa grande surprise, la plante ne réagit pas au moment de l’acte, mais au moment où il avait eu l’intention de le faire. La plante avait lu dans sa pensée ! Pendant plus de quarante ans, Cleve Backster ne cessa d’étudier la « perception primaire » des plantes sur un plan rigoureusement scientifique.”
Les scientifiques (ah ?) ont rejeté pendant longtemps ses travaux, au prétexte qu’il ne pouvait pas y avoir intelligence sans système neurologique… Et si il pouvait exister, coexister d’autres “systèmes” ? Et si, “il ne s’agit pas d’un mystérieux système de traitement situé hors du cadre scientifique mais plutôt d’un traitement qui fait partie de la façon dont l’univers fonctionne” ?
Bonsoir à tous,
On semble traduire à l’échelle macroscopique ce qui se passe au niveau moléculaire, à 4’07s, dans la démonstration que l’assemblage est rendu possible, par les résultantes des forces électromagnétiques (la chimie) ? Laconformation des molécules en 3D est illustrée vers 5’56s, sur la vidéo https://www.dl-additive.com/impression-4d/
Autre vidéo sur : https://www.ted.com/talks/skylar_tibbits_can_we_make_things_that_make_themselves?language=fr
Le challenge lancé par Skylar Tibbits / TED ressemble à cela : recréer des boites intelligentes pour les assembler, ou descendre au niveau des atomes pour trouver des briques de base (molécules) qui vont s’auto-assembler, se répliquer et s’auto-réparer.
Welcome into Transformers’ land! Ou bien bravo à la compréhension fine du monde, à sa modélisation …
Dans notre cas, le brassage est assuré par l’agitateur. Il serait bien d’avoir accès au code du PC de l’expérience. Ou bien est-ce à nous de transcender cette machine ?
Amitiés.
Remy Turing
Bonjour à tous.
Pour répondre à Monsieur Ker_mkt, j’ai vu à la télévision un reportage sur la sylvothérapie, pratiquée au Japon (étreindre des arbres est bénéfique). les arbres émettent des ondes électriques dans leur espace environnent. D’ailleurs, étreindre des arbres est parfois un geste naturel que font les petits enfants en promenade en forêt.
Les liens suivants en diront plus long :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sylvoth%C3%A9rapie
https://www.consoglobe.com/sylvotherapie-les-arbres-soignent-maux-cg
Pour répondre à Rémy : Merci du lien sur l’impression 4D. On y voit l’application pour des objets à taille humaine mais également des hypothèses sur la structuration des protéines. cela me rappelle un documentaire internet du CEA que tu as donné, dans lequel il est expliqué la recherche sur le rôle des interactions intramoléculaires dans la structuration des chaînes d’acides aminés.
Pour ma part je m’interroge sur le rôle de l’eau dans tous ces phénomènes naturels. Et pour compléter le tableau des mystères de l’eau, en voici un autre :!
Expérimentalement on montre que la permittivité électrique de l’eau diminue avec la température : elle passe de 80 à 20°C à 55 à 100°C soit une chute de 36%. Bizarrement, je n’ai pas retrouvé ce résultat dans mes simulations : l’énergie de l’eau pure simulée dans un champ électrique d’intensité donnée décroît très peu avec la température : moins de 3% qui est dans la marge d’erreur, alors que d’autres simulations reproduisent bien la réalité expérimentale : par exemple la permittivité de l’eau simulée diminue en présence d’un composé ionique (simulé) et cela de manière significative et comparable à la réalité expérimentale aux concentrations reproduites. Je cherche une explication “classique” (application du “rasoir d’Ockham”) avant d’avancer le rôle des domaines de cohérence …
Vive le Château La Pompe !
Amitiés.
Jean-Yves.
Bonsoir Jean-Yves, Ker_mkt, tous,
Je n’ai pas d’avis sur la question posée par Ker_mkt, mais qui me plait bien, le sujet est abordé sur le net, exemples :
https://www.jardiniers-professionnels.fr/communication-entre-les-arbres/
https://www.lesoleil.com/actualite/science/le-pouvoir-cache-des-plantes-382a3c7925ac250aac661d17f65deadf
… merci de nous avoir invités sur la question ; j’ai lu également sur les lectines, défenses de plantes qui ne sont pas nées pour que nous les mangions, alors elles se protègent … cf “The Paleo Solution: The Original Human Diet”, par Robb Wolf, …
Sur l’expérience de Pr Montagnier, avez-vous vu l’article : https://www.ouvertures.net/pr-montagnier-sourd-aux-interpellations-de-biochimistes-sur-ses-experiences-sur-la-memoire-de-l-eau/ ? Suggestions intéressantes.
Note perso : le Professeur est né à Chabris, où j’ai des attaches. Ca fait plaisir 😉
Amitiés.
Bonjour à tous,
Remy, merci pour ces liens sur les facultés de communication, de détection et de défense des plantes. On a donc “pas tout vu”.
Chabris, c’est donc dans le département de l’Indre, près du Cher.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Luc_Montagnier
Pour ce qui est des solutions proposées par les deux biochimistes : oui elles sont intéressantes. On reste un peu “sur notre faim” étant donné qu’il n’y a pas de suite. Le Professeur Montagnier semble cependant considérer que son protocole expérimental de détection des signaux électromagnétiques de l’ADN est acquis et il a envisagé par la suite des nouvelles applications qui fonctionnent même s’il y a des contreverses.
https://www.associationlymesansfrontieres.com/le-pr-montagnier-a-donne-une-conference-a-paris-le-27-janvier/
Le Professeur Montagnier s’est insurgé contre la vaccination intensive :
https://www.sciencesetavenir.fr/sante/vaccins-decryptage-de-l-etrange-conference-de-presse-des-professeurs-luc-montagnier-et-henri-joyeux_118446
A-t-il tort ou raison ? En fait pour le moment il y a surtout des réactions “affectives” (ou lucratives!) de défense de la vaccination. Et cela nuit bien plus au Professeur Montagnier, issu quand-même de la Sainte Science Biologique Française – on lui reproche d’abord sa dissidence – que la mise en évidence probablement très objective de risques de la sur-vaccination. Du coup, il vit reclus et injoignable en Chine …
Le dossier est à suivre assurément.
La Mémoire de l’Eau : affaire mémorable !
Bien à vous tous.
Amitiés.
jean-Yves.
Water Memory Due to Chains of Nano-Pearls
Jérôme Benveniste, président de l’association Jacques Benveniste pour la Recherche, nous signale une publication du physicien belge Auguste Meessen, professeur à l’université catholique de Louvain, qui selon lui « démontre l’évidence physique du phénomène de la mémoire de l’eau publié le 30 juin 1988 dans Nature par Jacques Benveniste. »
Meessen, A. (2018) Water Memory Due to Chains of Nano-Pearls. Journal of Modern Physics, 9, 2657-2724.
https://doi.org/10.4236/jmp.2018.914165
Vidéo de la présentation du Professeur Auguste Meessen :
https://youtu.be/woLF5tQZIz0
L’étude me semble très complète et précise, dommage que certains esprits fermés soit disant bien pensant la rejetterons sans s’y intéresser! On avance qu’à très petit pas avec ce groupe encore trop puissant de retardataires!
Bonjour et Merci Eric pour ces liens qui me paraissent très précieux. Au premier coup d’oeil de lecture, la publication du physicien Auguste Meessen m’interpelle d’autant plus que lors de mes essais de simulation dynamique moléculaire, j’ai observé des comportements des molécules d’eau en relation avec ce qu’il décrit : des structures en chaîne autour d’ions et des relations de connectivité importantes dans l’eau qui font penser à des structures polymérisées. Il y a un nouveau champ d’essais de simulations à faire.
Bien à vous.
Jean-Yves.